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La Vita di Michelangelo

Michelangelo Buonarroti nacque il 6 marzo 1475 a Caprese, vicino ad Arezzo, fu messo a balia in una località nei dintorni di
Firenze, Settignano, presso una nutrice che era figlia e moglie di scalpellini e grazie alla quale avrebbe acquistato la sua familiarità
con gli strumenti del mestiere.

Mentre è sicuro che come pittore si formò nella bottega del Ghirlandaio, per quanto riguarda la scultura si sa solo che tra il 1489 e
il 1492 frequentò a Firenze il giardino Medici, in Piazza San Marco, dove erano custodite le sculture delle collezioni d'arte
classica e quattrocentesca di Lorenzo il Magnifico. Oltre a studiare con attenzione le antichità nella collezione medicea,
Michelangelo nel giardino di San Marco deve avere anche assorbito il clima culturale che Lorenzo aveva saputo creare intorno a
sé riunendo filosofi come Marsilio Ficino e letterati come Agnolo Poliziano, famoso per la sua conoscenza delle letterature
classiche, autore di componimenti poetici in volgare modellati sugli esempi antichi.

Nel 1496 Michelangelo passò a Roma per poi far ritorno nella città toscana nel 1501 ormai famoso. Il Papa Giulio II, nel 1505 lo
invitò di nuovo a Roma dove si trasferì definitivamente dedicandosi a imprese pittoriche, scultoree e architettoniche. Morì nel
1564 mentre lavorava alla Pietà Rondinini. Come tutti gli artisti del Rinascimento era convinto che l'arte consistesse
nell'imitazione della natura attraverso lo studio degli antichi, secondo lui, un modello di bellezza che ogni artista si forma nella
mente è un modello ideale che conferma tutto ciò che vuole raffigurare. Per Michelangelo la cosa più bella del creato è l'uomo, o
meglio il perfetto corpo umano, in quanto rispecchia la bellezza divina.

Successivamente, in seguito alla caduta dei valori cristiani, a causa della Riforma Protestante, la Chiesa attraverso la
Controriforma, risponde con mezzi propagandistici. Nel 1498 il cardinale Jean Bilhères, incarica Michelangelo di scolpire un
gruppo marmoreo rappresentante la Pietà. La struttura piramidale dell'opera, a carattere ancora gotico e sicuramente imposta dalla
committenza, non influisce sui contenuti neoplatonici che l'artista voleva esprimere. Infatti l'opera fornisce informazioni non solo
riguardo al pensiero di Michelangelo, ma anche contenuti etico-politici della Chiesa controriformista.

La vida de Miguel Ángel

Michelangelo Buonarroti nació 06 de marzo 1475 en Caprese cerca de Arezzo, se hizo a la enfermera en una ciudad cerca de
Florencia , Settignano, a una enfermera que era la hija y esposa de canteros y por la cual adquirió su familiaridad con las
herramientas del comercio

Si bien es cierto que a medida que se formó un pintor en el taller de Ghirlandaio , con respecto a la escultura sólo se sabe que entre
1489 y 1492 asistió al jardín Medici en Florencia, en la Piazza San Marco, donde las esculturas se mantenían de las colecciones de
arte clásica y quince de Lorenzo el Magnífico. Además de estudiar cuidadosamente las antigüedades de la colección Medici ,
Miguel Ángel en el jardín de San Marcos también debe de haber absorbido el clima cultural que Lorenzo fue capaz de crear en
torno a sí mismo que reúne a filósofos como Marsilio Ficino y escritores como Agnolo Poliziano , famosa por su conocimiento de
la literatura clásico, autor de poemas en la lengua vernácula inspirado en ejemplos antiguos .

En 1496 , Miguel Ángel fue a Roma antes de regresar a la famosa ciudad de la Toscana en 1501. El Papa Julio II en 1505 le invitó
de nuevo a Roma, donde se trasladó dedica permanentemente a las empresas pictóricas , escultóricas y arquitectónicas . Murió en
1564 mientras trabajaba en el Mercy Rondinini . Como todos los artistas del Renacimiento estaba convencido de que el arte
consiste en la imitación de la naturaleza a través del estudio de los antiguos, según él, un modelo de belleza que cada artista se
forma en la mente es un modelo ideal que confirma todo lo que se quiere mostrar . Para Miguel Ángel lo más hermoso de la
creación es el hombre, o más bien el cuerpo humano perfecto , ya que refleja la belleza divina.

Posteriormente, tras la caída de los valores cristianos , debido a la Reforma Protestante , la Iglesia a través de la Contrarreforma,
que responde a los métodos de propaganda. En 1498 , el cardenal Jean Bilhères , instruye a Miguel Ángel para esculpir un grupo
de mármol que representa la Piedad . La estructura piramidal de la obra, sin embargo, carácter gótico y definitivamente impuesto
por el cliente, no afecta a los neoplatónicos contenido que el artista quería expresar. De hecho , el libro proporciona información
no sólo sobre el pensamiento de Miguel Ángel, sino también el contenido ético y político de la Iglesia de la Contrarreforma

http://www.e-torricelli.it/pmm/marat/michelangelo.html#marat
D’un Marat à l’autre, les mystères de David
14 février 2010 · par Giulio · dans Arts. ·

Septembre 2008. Le milieu de l’art se presse galerie Turquin, à Paris, pour venir découvrir une trouvaille
exceptionnelle : trois tableaux redécouverts autour du peintre Jacques-Louis David (1748-1825).
Exceptionnelle avant tout car trois peintures d’un maître du 18 ème circulant sur le marché est un fait
rarissime. Exceptionnelle aussi car parmi elles figure une version inconnue de La Mort de Marat (ou Marat
assassiné).

Nous connaissons tous cette peinture, conservée au musée des Beaux-Arts de Bruxelles, illustrant dans nos
livres d’histoire la mort de Marat, symbole de la Révolution. Baudelaire l’a même célébrée : « Cruel comme
la nature, ce tableau a tout le parfum de l’idéal » (cité dans Beaux Arts magazine). Le récit de ce chef
d’œuvre reste davantage méconnu.

J.-L. David. La mort de Marat. Toile 165 x 128 cm.


Bruxelles, Musée Royaux des Beaux Arts de Belgique

Dès la fin de 1789, Jacques-Louis David travaille à la victoire de la Révolution. Abandonnant ses
représentations antiques, il se consacre désormais à célébrer ces nouveaux héros. Il vote la mort de Louis
XVI en 1793. Son statut d’artiste patriote est déjà bien installé quand Jean-Paul Marat, député montagnard à
la Convention, meurt assassiné dans sa baignoire par Charlotte Corday. Nous sommes le 13 juillet 1793. Dès
le 14, jour des funérailles, le député Guirault demande à David – un des derniers à avoir vu Marat vivant,
dans cette même baignoire -, de commémorer cet attentat.

Trois mois jour pour jour après cette commande, le 14 octobre 1793, le peintre annonce que le tableau est
achevé. L’hommage est exposé le 16 dans la cour du Louvre, le matin de l’exécution de Marie-Antoinette.
La peinture est éblouissante. On ne voit pas l’assassin, Marat est seul dans sa baignoire sabot portant la
dédicace À Marat, David, véritable cercueil et son épitaphe. Le martyr est sublimé, béatifié, dans cet angle
de lumière christique. Oubliés les stigmates de sa maladie de peau ; arrondi, le corps chétif du
révolutionnaire affaibli. La peau est encore dorée. Et le rictus bien vivant laisse entendre que la figure de la
république sera éternelle.

David offre sa toile à la Convention, où elle sera accrochée pour entrer dans l’Histoire. À propos de Marat,
l’artiste déclare ce jour-là : « Il est mort votre ami, en vous donnant son dernier morceau de pain… ». La
toile lui sera rendue en 1795, après la chute de Robespierre et la disgrâce du peintre. Le chef d’œuvre sera
offert à la Belgique par le petit-fils du maître, Jules David, reconnaissant de l’accueil réservé à son aïeul,
exilé par Louis XVIII après la défaite de Napoléon à Waterloo.

Il existe quelques copies connues de La Mort de Marat, des répliques officielles réalisées dans l’atelier de
David à partir de 1794. Les plus célèbres sont celles exposées au Louvre et au Château de Versailles. La
version retrouvée par l’expert Hubert Duchemin du cabinet Turquin, elle, reste une énigme et nourrit le
mystère entourant la genèse de l’œuvre.

Version de la galerie Turquin. Toile 73 x 91 cm.

L’affaire ne date pas d’hier. Les arcanes de la conception du tableau divisent les spécialistes depuis un
certain temps. Ce qui interpelle les historiens et alimente les polémiques, ce sont d’abord les trois mois
passés par David avant de montrer sa peinture. Une éternité en ces temps traumatiques. Mais surtout, c’est
l’absence de dessin préparatoire pour ce tableau. Il y a bien celui vendu par Sotheby’s en 2007, mais la
grossièreté du trait rend l’attribution incertaine. La galerie Turquin soutient que son Marat pourrait bien être
cette esquisse préalable. Et quelques connaisseurs du peintre sont prêts à le croire.

Une analyse scientifique réalisée sur la toile de Bruxelles à la fin des années 1990 avait déjà montré que
David avait modifié son Marat en cours d’exécution, raffermissant les traits de « l’Ami du peuple », le
rendant « vivant ». Les traits originaux dévoilés sur la radiographie  étale un Marat cadavérique, la mâchoire
tombante, le corps relâché. Ce Marat caché ressemble étrangement à la version de la galerie Turquin.
L’analyse a aussi révélé une mise au carreau sous-jacente, un procédé permettant de reproduire à une échelle
différente un modèle original. Un quadrillage qui certifie la thèse d’un dessin, ou d’une peinture,
préparatoire. L’artiste aurait ainsi reproduit son esquisse sur le format final avant de retoucher son héros, de
transformer Marat en icône impérissable de la Révolution, gommant son expression de mort. Dans son
numéro de juin 2009, le magazine l’Histoire sur-titrait « Pourquoi David a-t-il corrigé les traits de son
Marat assassiné ? Il s’agissait rien de moins que de sauver la république. »
Détails. Version de Bruxelles en haut, version Turquin en bas.

Vendu une petite misère comme poster peint à un collectionneur particulier lors d’une vente aux enchères il
y a quelques années, la découverte a rapidement éveillé les soupçons de quelques experts. Cette toile est
d’époque, ça ne fait aucun doute. Elle atterrit devant les yeux avertis d’Hubert Duchemin et son intuition est
sans appel. En piteux état, la toile est restaurée de main de maître avant d’embarquer dans un train
d’éminences pour une confrontation en règle à Bruxelles.

C’est la stupéfaction. La technique, les proportions, la même dédicace (À Marat, David) qu’on ne retrouve
sur aucune copie connue, cette similitude avec le dessin sous-jacent. La composition de la galerie Turquin
est réalisée au 7/10ème de l’œuvre définitive. Certes la composition a perdu de sa verticalité avec la
négligence du temps, mais la facture est celle d’un grand. David aurait pu peindre ce premier jet dans
l’urgence de l’époque, encore sous le coup de l’émotion, en le signant violemment, avant d’être attrapé
comme d’un devoir de mémoire lui imposant de repenser son œuvre, littéralement canoniser Marat. Ce qui
lui aurait pris trois mois. « Notre tableau, dénué des froideurs et du souci didactique d’une grande
commande, témoigne seulement de la profonde émotion de David devant la dépouille de son ami » donne
une publication de la galerie Turquin.

Attribuer une œuvre d’une telle importance à un peintre aussi immense, ç’est un travail de longue haleine.
Les grands spécialistes qui ont parole d’évangile n’osent s’avancer. De quelques centaines à quelques
millions d’euros, d’un grenier au ministère, il y a trop d’enjeux. Par-dessus le marché, les historiens
chevronnés ne trouvent aucune trace faisant état de cette étude préparatoire. Seule une mention a été
récemment signalée dans Histoire des salons de Paris, de la mémorialiste duchesse d’Abrantès. Elle
parlerait d’une esquisse de Marat, donnée par David à un certain M. Bonnecarèce. Un indice précieux pour
une future attribution.

Si la composition est authentifiée, si la caste d’éminences grises d’une seule voix attribue la toile à David,
l’État entrera très certainement en jeu. Il pourrait exercer son droit de préemption. Une interdiction de sortie
du territoire, en quelque sorte, pour avoir enfin une version du maître de « l’un des dix chef d’œuvre de la
peinture française » (Beaux Arts magazine). Ce droit d’acquisition de l’État impliquerait sûrement une
dévalue pour ce trésor, les musées n’ayant pas le portefeuille des oligarques. Le sceau de l’État serait
cependant un gage définitif d’authenticité pour cette personnification romantique de la République. Affaire à
suivre.

D’un Marat à l’autre, les mystères de David


14 février 2010 · par Giulio · dans Arts. ·

Septembre 2008. Le milieu de l’art se presse galerie Turquin, à Paris, pour venir découvrir une trouvaille exceptionnelle : trois
tableaux redécouverts autour du peintre Jacques-Louis David (1748-1825). Exceptionnelle avant tout car trois peintures d’un
maître du 18ème circulant sur le marché est un fait rarissime. Exceptionnelle aussi car parmi elles figure une version inconnue de
La Mort de Marat (ou Marat assassiné).

Nous connaissons tous cette peinture, conservée au musée des Beaux-Arts de Bruxelles, illustrant dans nos livres d’histoire la
mort de Marat, symbole de la Révolution. Baudelaire l’a même célébrée : « Cruel comme la nature, ce tableau a tout le parfum de
l’idéal » (cité dans Beaux Arts magazine). Le récit de ce chef d’œuvre reste davantage méconnu.

J.-L. David. La mort de Marat. Toile 165 x 128 cm.

Bruxelles, Musée Royaux des Beaux Arts de Belgique

Dès la fin de 1789, Jacques-Louis David travaille à la victoire de la Révolution. Abandonnant ses représentations antiques, il se
consacre désormais à célébrer ces nouveaux héros. Il vote la mort de Louis XVI en 1793. Son statut d’artiste patriote est déjà bien
installé quand Jean-Paul Marat, député montagnard à la Convention, meurt assassiné dans sa baignoire par Charlotte Corday.
Nous sommes le 13 juillet 1793. Dès le 14, jour des funérailles, le député Guirault demande à David – un des derniers à avoir vu
Marat vivant, dans cette même baignoire -, de commémorer cet attentat.

Trois mois jour pour jour après cette commande, le 14 octobre 1793, le peintre annonce que le tableau est achevé. L’hommage est
exposé le 16 dans la cour du Louvre, le matin de l’exécution de Marie-Antoinette. La peinture est éblouissante. On ne voit pas
l’assassin, Marat est seul dans sa baignoire sabot portant la dédicace À Marat, David, véritable cercueil et son épitaphe. Le martyr
est sublimé, béatifié, dans cet angle de lumière christique. Oubliés les stigmates de sa maladie de peau ; arrondi, le corps chétif du
révolutionnaire affaibli. La peau est encore dorée. Et le rictus bien vivant laisse entendre que la figure de la république sera
éternelle.

David offre sa toile à la Convention, où elle sera accrochée pour entrer dans l’Histoire. À propos de Marat, l’artiste déclare ce
jour-là : « Il est mort votre ami, en vous donnant son dernier morceau de pain… ». La toile lui sera rendue en 1795, après la chute
de Robespierre et la disgrâce du peintre. Le chef d’œuvre sera offert à la Belgique par le petit-fils du maître, Jules David,
reconnaissant de l’accueil réservé à son aïeul, exilé par Louis XVIII après la défaite de Napoléon à Waterloo.

Il existe quelques copies connues de La Mort de Marat, des répliques officielles réalisées dans l’atelier de David à partir de 1794.
Les plus célèbres sont celles exposées au Louvre et au Château de Versailles. La version retrouvée par l’expert Hubert Duchemin
du cabinet Turquin, elle, reste une énigme et nourrit le mystère entourant la genèse de l’œuvre.

Version de la galerie Turquin. Toile 73 x 91 cm.

L’affaire ne date pas d’hier. Les arcanes de la conception du tableau divisent les spécialistes depuis un certain temps. Ce qui
interpelle les historiens et alimente les polémiques, ce sont d’abord les trois mois passés par David avant de montrer sa peinture.
Une éternité en ces temps traumatiques. Mais surtout, c’est l’absence de dessin préparatoire pour ce tableau. Il y a bien celui
vendu par Sotheby’s en 2007, mais la grossièreté du trait rend l’attribution incertaine. La galerie Turquin soutient que son Marat
pourrait bien être cette esquisse préalable. Et quelques connaisseurs du peintre sont prêts à le croire.

Une analyse scientifique réalisée sur la toile de Bruxelles à la fin des années 1990 avait déjà montré que David avait modifié son
Marat en cours d’exécution, raffermissant les traits de « l’Ami du peuple », le rendant « vivant ». Les traits originaux dévoilés sur
la radiographie étale un Marat cadavérique, la mâchoire tombante, le corps relâché. Ce Marat caché ressemble étrangement à la
version de la galerie Turquin. L’analyse a aussi révélé une mise au carreau sous-jacente, un procédé permettant de reproduire à
une échelle différente un modèle original. Un quadrillage qui certifie la thèse d’un dessin, ou d’une peinture, préparatoire.
L’artiste aurait ainsi reproduit son esquisse sur le format final avant de retoucher son héros, de transformer Marat en icône
impérissable de la Révolution, gommant son expression de mort. Dans son numéro de juin 2009, le magazine l’Histoire sur-titrait
« Pourquoi David a-t-il corrigé les traits de son Marat assassiné ? Il s’agissait rien de moins que de sauver la république. »

Détails. Version de Bruxelles en haut, version Turquin en bas.


Vendu une petite misère comme poster peint à un collectionneur particulier lors d’une vente aux enchères il y a quelques années,
la découverte a rapidement éveillé les soupçons de quelques experts. Cette toile est d’époque, ça ne fait aucun doute. Elle atterrit
devant les yeux avertis d’Hubert Duchemin et son intuition est sans appel. En piteux état, la toile est restaurée de main de maître
avant d’embarquer dans un train d’éminences pour une confrontation en règle à Bruxelles.

C’est la stupéfaction. La technique, les proportions, la même dédicace (À Marat, David) qu’on ne retrouve sur aucune copie
connue, cette similitude avec le dessin sous-jacent. La composition de la galerie Turquin est réalisée au 7/10ème de l’œuvre
définitive. Certes la composition a perdu de sa verticalité avec la négligence du temps, mais la facture est celle d’un grand. David
aurait pu peindre ce premier jet dans l’urgence de l’époque, encore sous le coup de l’émotion, en le signant violemment, avant
d’être attrapé comme d’un devoir de mémoire lui imposant de repenser son œuvre, littéralement canoniser Marat. Ce qui lui aurait
pris trois mois. « Notre tableau, dénué des froideurs et du souci didactique d’une grande commande, témoigne seulement de la
profonde émotion de David devant la dépouille de son ami » donne une publication de la galerie Turquin.

Attribuer une œuvre d’une telle importance à un peintre aussi immense, ç’est un travail de longue haleine. Les grands spécialistes
qui ont parole d’évangile n’osent s’avancer. De quelques centaines à quelques millions d’euros, d’un grenier au ministère, il y a
trop d’enjeux. Par-dessus le marché, les historiens chevronnés ne trouvent aucune trace faisant état de cette étude préparatoire.
Seule une mention a été récemment signalée dans Histoire des salons de Paris, de la mémorialiste duchesse d’Abrantès. Elle
parlerait d’une esquisse de Marat, donnée par David à un certain M. Bonnecarèce. Un indice précieux pour une future attribution.

Si la composition est authentifiée, si la caste d’éminences grises d’une seule voix attribue la toile à David, l’État entrera très
certainement en jeu. Il pourrait exercer son droit de préemption. Une interdiction de sortie du territoire, en quelque sorte, pour
avoir enfin une version du maître de « l’un des dix chef d’œuvre de la peinture française » (Beaux Arts magazine). Ce droit
d’acquisition de l’État impliquerait sûrement une dévalue pour ce trésor, les musées n’ayant pas le portefeuille des oligarques. Le
sceau de l’État serait cependant un gage définitif d’authenticité pour cette personnification romantique de la République. Affaire à
suivre.

TRADUCC.

Marat Por otro , los misterios de David

14 de febrero 2010 • • por Giulio en los Arts. •

Septiembre de 2008. El centro de la galería de arte Turquin prensa en París para venir a descubrir una rara encuentran : tres
pinturas redescubiertas por el pintor Jacques -Louis David ( 1748-1825 ) . En primer lugar porque excepcionales tres pinturas de
un maestro de la 18a circula en el mercado es extremadamente rara . Destaca entre ellos aparece también como una versión
desconocida de La muerte de Marat (o Marat ) .

Todos sabemos que esta pintura en el Museo de Bellas Artes de Bruselas , que ilustra en nuestros libros de historia La muerte de
Marat , símbolo de la Revolución. Baudelaire fue incluso se celebra : "Cruel como la naturaleza , esta tabla tiene toda la fragancia
del ideal " (citado en la revista Beaux Arts) . La historia de esta obra maestra es más incomprendido.

JL David . La muerte de Marat . Lienzo 165 x 128 cm.

Bruselas, Museo Real de Bellas Artes de Bruselas

A finales de 1789, Jacques -Louis David trabaja en la victoria de la Revolución. El abandono de sus antiguas actuaciones, que
ahora se dedica a celebrar estos nuevos héroes . Votó a favor de la muerte de Luis XVI en 1793. Su condición de artista patriótico
ya está instalado cuando Jean -Paul Marat , montaña diputado a la Convención , fue asesinado en su bañera por Charlotte Corday .
Tenemos 13 de julio 1793 . Desde el 14 º día del funeral, el diputado Guirault preguntó David - uno de los últimos que han visto
Marat viven en el mismo baño - para conmemorar el ataque.

Tres meses después del día en este orden , 14 de octubre de 1793, el artista anunció que la pintura se ha completado . El tributo se
establece en 16 , en el patio del Louvre, la mañana de la ejecución de María Antonieta. La pintura es impresionante . No vemos el
asesino , Marat está solo en su baño de asiento con la dedicación a Marat , David, un ataúd real y su epitafio . El mártir se
sublima , beatificado en este rincón de la luz de Cristo . Olvida el estigma de su enfermedad de la piel , redondeado , cuerpo
enclenque de revolucionario debilitado. La piel sigue siendo de oro. Y sonrisa viva sugiere que la figura de la república será eterna
.

David ofrece el lienzo de la Convención , donde se colgó de hacer historia . Acerca de Marat , el artista dijo ese día : " Es su
amigo muerto , que le da su último pedazo de pan ... " . La pintura se volvió a él en 1795 , tras la caída de Robespierre y la
desgracia del pintor . La obra será enviado a Bélgica por el hijo del pequeño -master , Jules David , reconociendo la recepción de
su abuelo, exiliado por Louis XVIII después de la derrota de Napoleón en Waterloo.

Hay unos pocos ejemplares conocidos de La muerte de Marat , réplicas oficiales realizadas en el taller de David de 1794. Las más
famosas son las del Louvre y Versalles . Encontrado por el experto versión Hubert Duchemin gabinete Turquin , sigue siendo un
enigma y alimenta el misterio que rodea el origen de la obra .

Versión Turquin de la galería. Lienzo 73 x 91 cm.

El caso no es nuevo. Las complejidades del diseño de la tabla dividen especialistas desde hace algún tiempo . Lo que se refiere a
los historiadores y alimenta la polémica , es sobre todo hace tres meses por David antes de mostrar su pintura. Una eternidad en
estos tiempos traumáticos. Más importante aún, es la ausencia de dibujo preparatorio para esta tabla . No fue el vendido por
Sotheby en 2007 , pero la rudeza de la línea hace que la atribución incierta. La galería admite Turquin su Marat podría ser el
primer boceto. Y algunos conocedores del pintor están dispuestos a creer .

Un análisis científico realizado en la lona en Bruselas a finales de la década de 1990 ya había demostrado que David había
cambiado de Marat funcionamiento , reafirmar las características del " amigo del pueblo ", lo "vivo" . Las características
originales de la radiografía reveló un margen de cadáver Marat , caída de la mandíbula , el cuerpo libera . Este Marat oculta
asemeja extrañamente la versión de la galería Turquin . El análisis también reveló un método subyacente cuadratura para
reproducir una escala diferente de un modelo original. Una red que acredita la tesis de un dibujo o una pintura, preparatorio. El
artista habría reproducido el dibujo en el formato final y toque a su héroe , transformada icono inolvidable Marat de la revolución ,
borrando su expresión de la muerte. En su número de junio de 2009, la revista de la historia, titulado " ¿Por qué David se corrigió
las características de su Marat ? Era nada menos que salvar la República. "

Detalles. Versión de Bruselas hasta la versión Turquin abajo .

Vendido un poco de la miseria como post pintó un coleccionista privado en una subasta de unos años , el descubrimiento fue
rápidamente sospechar de algunos expertos. Esta pintura es el tiempo, no hay duda . Cayó frente experto Hubert Duchemin y su
intuición es ojos finales. En mal estado, el lienzo se restaura con maestría antes de embarcar en un tren para una regla eminencias
enfrentamiento en Bruselas.

Eso es asombro. La técnica , proporciones , la misma dedicación ( Para Marat , David ) que se encuentra en cualquier copia
conocida , la similitud con el dibujo subyacente . La composición de la galería Turquin se realiza 7/10ths de la obra final. Aunque
la composición ha perdido su verticalidad con el abandono de la época, pero el proyecto de ley es que un gran . David podía pintar
el primer chorro en el tiempo de emergencia , incluso en el calor del momento , al firmar con violencia antes de ser capturado
como la imposición de un deber de recordarlo a repensar su trabajo , literalmente, Marat canonizar . ¿Qué le habría tomado tres
meses. " Nuestra mesa , carente de frialdad y preocupación la enseñanza de una orden grande, sólo refleja la profunda emoción de
David frente a los restos de su amigo " le da una galería Turquin publicación.

Asignar una obra de tanta importancia como pintor enorme C'est un largo suspiro. Los principales expertos que evangelio no se
atrevió a moverse . A pocos cientos a unos pocos millones, Departamento ático, hay demasiados temas. Por encima del mercado ,
los historiadores experimentados encuentran ningún registro que indica este estudio preliminar. Sólo una mención Recientemente
se ha informado de la historia de París salones de la duquesa de Abrantes memorialista . Hablaba un boceto de Marat , a cargo de
un tal David Bonnecarèce . Una pista valiosa para futuras asignaciones .

Si la composición está autenticado , si los corredores de casta con una sola voz le da el lienzo David , el Estado definitivamente
pulg podría ejercer su derecho de tanteo . La prohibición de salir del país, en cierto modo, para finalmente tener una versión del
maestro de " uno de los diez obra maestra de la pintura francesa " (revista Beaux Arts) . El derecho de adquirir el estado
seguramente implica una devaluación de este tesoro , los museos no tienen los oligarcas de la cartera. El sello del estado sin
embargo una autenticidad definitiva para esta personificación romántica de la República se comprometió . Manténgase en sintonía
.

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