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CM Philosophie morale :

M.Marzano

Centrer sur le consentement, avec la notion d’autonomie,


Comment consentement et autonomie ont leur place dans le médicale ?
Spécificité des normes morales, par rapports aux normes sociales et juridiques.

Modalité d’évaluation : deux devoirs sur tables, milieu et fin, 1 : notions clair, 2 :
soumettre un dilemme au début, en résolvant ce dilemme, en la justifiant sur la
base des principes et des valeurs. Oublier la dissert. Capacité logique et
argumentatives.
TD : Exposés, Me too et affaire Weisseman. Qu’est-ce que l’abus, et l’abus de
confiance ? donc éthique sexuelle.
DST : 1 : 18 février
2 : 1 avril (8 avril, correction)
15 avril : exposé

Philosophie morale et éthique :

Différences entre les deux : pas de différences fondamentales, mais on a


tendance à enseigner qu’il y aurait une différence, car philosophie de Paul Rickert,
philosophe Fr, car là où la morale a tendance à renvoyer le bien le mal, et bien
l’éthique renvoie au questionnement autour de dilemme moraux.
Nietzsche condamne la morale, « hypocrisie », en FR on considère que la morale
renvoie à une autorité compétente censée nous dire ce qui est bien et ce qui est
mal.
Universalité du bien et du mal, là où la philosophie morale renvoie…
Mais éthique et morale ont la même étymologie, morale vient du latin, Mos
Moris, et éthique, ethos du grec et il signifient tous les deux : Mœurs.
Essaie de comprendre les valeurs qui structure la société, et nos mœurs, en
sachant qu’il faut faire attention, la tendance est de tout mélanger, éthique est à
la mode.
On a tendance à employer des concepts qui ne le sont pas vraiment ->
interchangeable, ce sont des couples conceptuels, bien/mal, juste/injuste/permis/
interdit.
Nuance importante, mais on a tendance à les interchanger, juste-> justice-> sens
juridique du termes, retombe donc dans le permis, mais la justice n’est pas
universelle, les lois ne sont pas universelles dans les pays, permis social, pas de
fonction juridique, normes sociales sont implicite, donc sanction explicite, ou
implicite.
Normes juridiques pas morale, peine de mort, 1981 en France, normes définit
comme immoral. Le système nazi, légitimé mais complètement immoral.
Notion de bien et mal sont des notions universelles, différents dieux expliquant ce
qu’il fallait faire de Bien ou Mal, c’est la morale hétéronome. -> grecs autre,
normes. (Normes venaient d’un autres qui était dieu)
Morale reproduisait la vision religieuse.
Changement de paradigme au 18eme siècle, avec la philosophie des lumières
et Kant qui fait basculer hétéronomie a autonomie, signifie donner soi-même sa
propre norme.
Chacun a donc sa notion du bien et du mal. Autonomie, chacun est censé avoir sa
propre notion du bien.
Dans une société autonome, la société est juste si elle permet aux individus de
laisser vivre les différentes visions du bien, donc la pluralité des valeurs doivent
coexister, coexistence des différentes versions du bien, donc personne ne doit
prendre le dessus sur l’autre.
Pas de différence entre éthique et morale, mais la différence est ce passage
à autonomes, ce passage à l’éthique moderne, car on choisit notre morale.
Nécessite de bien sépare, société, normes sociales et éthiques.

Pour quelles raisons s’intéresser à la philosophie morale ?

La morale n’est pas que des agents sociaux, nous sommes tout d’abord des agents
moraux, car nous pouvons choisir entre des actions différentes et des gestes
différents

Avant de décider, on analyse la chaine des conséquences, nous sommes


responsables des conséquences de notre choix qui nous sont connu, ce qui nous
caractérise nous sommes responsables de nos décisions, c’est une responsabilité
morale.
Éthique nous donne les instruments pour justifier ou pas notre conduite.
Notre capacité est de choisir, justification de son choix, de ce choix que l’on
prend, différences entre explication d’une action et justification d’une action.
Explication : Comment/rendre intelligible notre action et nos choix.
Justification : on explique le Pourquoi et on légitime notre action, et elle varie
selon les normes et les valeurs que l’on utilise pour justifier notre conduite ?
Il y a donc du parce qu’explicatif, je justifie de manière éthique, car cela est bien,
justifier renvoie à une normes une valeur, alors que lorsqu’on explique c’est plus
de notre envie.

Quelle est cette différence entre les normes sociales, juridiques et éthiques ?

Normes ou une règle est une proposition normative, relève d’une catégorie des
propositions par exemple descriptive. Propositions descriptives lorsque nous
parlons, celle-ci ont la caractéristique de décrire, il y a une valeur de vérité que
l’on peut connaitre en comparant notre vision du monde avec le monde.
Autre proposition qui ne sont pas vrai ou fausse, mais qui demande une
justification, on se pose le « pourquoi ? », c’est bien c’est mal mais ce n’est pas
vrai ou faux, toute les proposition tu dois, il est interdit etc, ce sont des
proposition normatives, et les propositions évaluative, elles demande à être
justifie de 3 pdv : juridique, sociologie ou éthique.
La structure est la même pour ces propositions, pas vrai ou fausse, la nature de la
justification change selon la norme a laquelle on est confronter (social, morale,
juridique)
EX : Il est bien de venir en cours, ce n’est pas vrai ou faux, pq il est bien de
venir ? justifier car on intègre des valeurs.
Norme sociale :

Une norme sociale est une proposition normative, prescriptions d’un certains
comportements, et aussi une partie descriptive. Ce comportement est rependu,
donc il devient une norme, force normative de ce comportement. Pour les
déviants, sanction implicite et non explicite. On considère qu’il est normal car il
est rependu, cela devient une norme et celui qui ne la suit pas est considérer
comme déviant.
D’autre gens vont être entrainer dans cette norme.
Résultat de la fréquence d’un comportement dans une société qui devient
contraignant pour les autres membres de la même société, attitude rependue
devient normal, cela donne de la force normative, et cette norme s’impose aux
autres.

Normes juridique et morale :

Ces normes sont purement prescriptives, et cela demande a être justifier.


La norme juridique (loi) est considérée comme une norme sanctionnée, résultats
de la décision d’une autorité compétente. Sanction de façon explicite, payer ou
emprisonner.
Sanction liée au non-respect de la norme, il faut respecter cette norme juridique,
le législateur a une autorité pour écrire les lois, c’est un élu du peuple, il
représente le peuple.
Une loi n’a pas besoin de chercher une explication à l’extérieur (que dans les
systèmes de droit).
Critère pour devenir une norme de l’état, processus juridique, légitime d’un pts de
vue juridique, mais pas éthique -> Donc désobéissance civile, encourager si la loi
est immoral.

Normes éthiques et morales :

Norme éthique n’est pas sanctionner, on peut être balmer ou louer, si


l’attitude est éthique, mais pas de sanction explicite s’il se conduit contraire à
l’éthique.
On est plus dans un régime hétéronome, l’autorité ne nous permet pas de justifier
cette norme éthique. Il faut toujours justifier cette norme éthique, en s’appuyant
sur des valeurs qui sont au nombre de 3 : la dignité /l’utilité /l’autonomie.
On a la possibilité d’avoir des systèmes moraux diffèrent, cette différence est liée
à la valeur que l’on considère au centre de cette norme éthique.
Ex : Tu ne tueras point, elle est valable si on choisit la dignité comme valeur
de base, si on prend la valeur de l’utilité, l’utilité général demande de tuer une
personne pour en sauver 100. Si on n’est pas quantitative, on ne prendrait pas
l’utilité. Selon la notion que l’on choisit, on choisit une justification qui va avec, il
peut y avoir des systèmes mixtes.
Une norme éthique peut être justifié si elle renvoie à une valeur, ou
plusieurs valeurs, pour la dignité, on pense à Kant, ce qui caractérise un être
humain c’est la valeur de soi, donc sa dignité, différence entre choses et
personnes, chose ont une valeur instrumentale et elle peut diminuer au fur et à
mesure, et les personnes ont une valeur intrinsèque, on n’a pas plus ou moins de
valeur, elle ne diminue pas. C’est une valeur en soi, donc elle ne dépend pas du
comportement.
Début 19eme, notion d’utilité, évaluation des conséquence, maximisation de
l’intérêt général.
Et l’autonomie intégrer par Kant, comme expression de l’autonomie,
Définition contemporaine de l’autonomie : « tant qu’un individu ne force personne,
on doit respecter ses choix, on doit respecter toutes les actions morales ».
Il y a la fois dans cette notion, dignité et liberté.

J.Herus, Survival, 1978 : rareté des ressources dans le cadre des transplantations,
raison utilitariste car il faut sacrifier une personne en oubliant la dignité de qq.

CM2
Derrière la valeur de l’autonomie : d’un point de vue morale je ne peux pas
condamner le choix de qq.

Notion de consentement :

Le consentement est une expression de l’autonomie, concept qui a émergé


dans le domaine juridique et après est venu dans l’éthique, mais le consentement
relève de l’éthique uniquement en expression de l’autonomie.
Moral : action du consentement de l’individu, actes moraux des actes
immoraux.

Quelle est la signification du consentement ?


Peut-on vraiment consentir à tout ?

Un ingénieur berlinois, il voulait rencontrer qq qui voulait être tuer et


manger, une quantité de personnes ont répondu positivement à sa demande.
Il fait sa sélection et a choisi la personne qu’il allait prendre. La police a eu vent
des conversations entre les deux berlinois, ils ont retrouvé de la chair humaine
dans le frigo.
Il y a donc eu un procès, il y a eu des circonstances atténuantes, mais plus tard
l’acte de tuer reste cette nature de tuer même avec le consentement de la
personne.
On se verrait légitimer des actes illégitimable ?

Qu’est ce qu’on entend par consentement ?


Est-ce que le consentement est une expression de l’autonomie ?

Il faut commencer par un constat qui est tout d’abord le changement de


paradigme, éthique hétéronome et paternalisme à une éthique autonome. On
reconnait la place de la subjectivité de chacun.
Éthique sexuelle… Domaine ou on voit ce changement de paradigme.
Avant le médecin décidait à la place du patient, les médecins était légitime à
imposer leur propre vision, cela était conforme au serment d’hypocrate -> Primum
non nocere, « tout d’abord n’est pas nuire ».
Cela donne naissance au principe de bienfaisance, il ne faut donc pas nuire
au patient, et au nom de cette bienfaisance, on justifie le paternalisme médical.
Maintenant, on a donné une grande place au consentement du patient, en 2002 en
France, reconnaissance des patients au actes médicaux.
Extrait de cette loi de 2002 : « Toutes personnes prend avec les
professionnelles de santé et compte tenu des informations qu’ils lui fournissent les
décisions concernant sa santé, le médecin doit respecter la décision de la personne
après l’avoir informé des conséquences de ses choix. »
Le mot clé est « avec », a partir du moment où on considère que ce n’est
plus le médecin qui décide, on engage notre responsabilité et les médecins se
désengage, en France avec le avec, on veut prendre en compte le fait que nous
allons décider et prendre nos décisions avec les médecins, donc cela empêche la
déresponsabilisé médicale. Il faut que le médecin reste un médecin et reste avec
son patient et décide ensemble, la décision est partagée.
Le patient ne se retrouve pas dans une situation assez facile pour prendre la
bonne décision, la relation médecin patient est caractériser par une asymétrique
intrinsèque et profonde.
D’un point de vue formel entre adultes consentant, on est sur un niveau de
symétrie, d’un point de vue existentiel, on est pris dans une asymétrie qui est
existentielle, et ce n’est pas toujours un rapport de force entre les deux.
Deux agents sociaux ayant les mêmes informations, on peut les voir comme
symétrique mais en fait c’est plutôt asymétrique, car ce n’est jamais symétrique.
Influencer par l’affect mais pas que.
Il y a des asymétries plus ou moins forte, et dans le cas patient/médecin, il
faut reconnaitre les différentes asymétries : 1. Asymétrie épistémique (sur la
connaissance médicale que en tant que patient je n’ai pas) / 2. Asymétrie
émotionnelle (avoir besoin de l’aide du médecin, avoir besoin d’être entendu,
compris par un médecin car je suis dans une situation de vulnérabilité).
Consentement prend place lorsqu’il est contextualisé, ou même lorsque la
vulnérabilité du patient est reconnue.

Domaine de la sexualité

Dans l’éthique sexuelle, on est passé d’une morale substantielle à une


morale formelle.
Substantielle : Critères universelle de ce qui est légitime ou pas. Cad que ce
qui rendait légitime l’acte sexuel était la procréation, et c’est une norme
hétérosexuelle, si mon acte sexuel est l’idée de procréer, il est légitime, si en
revanche il n’a pas ce but, il est vu comme illégitime. A partir du moment, où la
contraception a été mise en place (fin des années 60), la norme de la reproduction
se fait moins sentir.
Formelle : Fait référence à un cadre contractuel, ce qui légitimerait les
rapports sexuels, c’est le consentement. Dans les années 80, on introduit le viol
dans les textes de lois. On a mis du temps à reconnaitre que qq ne peut pas
consentir à l’acte sexuel (même dans le mariage).
Dans le domaine de la santé, il ne faut pas absolutiser le concept de
consentement, on donne notre consentement à partir de ce qu’on a vécu,
psychologie, réalités sociales…
Le consentement est fondamental car on risque de perdre les caractéristiques
multiples qui nous font. Trouver le juste milieu, prendre au sérieux mais savoir
d’où il vient et problématiser le contexte à l’intérieur duquel surgit le
consentement de qq.

Qui dit je lorsqu’il dit « je consens » ?


Exemple de :
Paul Valery : « Qui pleure si proche de moi, au moment où je pleure ? » quelle
partie de moi est en train de s’exprimer ? Dans le consentement, il faut se poser
cette question, quelle partie de nous consent ou non ?

Domaine du travail :

Dans l’éthique du travail, dans les années 80, changement de paradigme, ->
renversement des pyramides.
1986, PDG d’une entreprise d’aviations :
➔ Un chef doit être un meneur, et peut compter sur la compréhension et
l’engagement de chacun.

On passe d’une conception pyramidale, cad chef et salarié qui doivent obéir à
une autre dans laquelle les salariés doivent contribuer pour l’entreprise a partir de
leur engagement et leur initiative, mais c’est une instrumentalisation du langage
de l’autonomie, car les buts restent fixés par les PDG.
L’autonomie des salariés résident donc dans les moyens détenus par les salariés
pour réaliser le but, en utilisant leur sentiment de culpabilité en leur faisant croire
qu’il participe à la pérennité de l’entreprise.

➔ Comment et sur quelle base d’argument pouvons-nous justifier la


prostitution ?

o Autonomie du corps (disposition de son propre corps)


o Dignité du corps car travail comme les autres

CM3

Le consentement :

Est-ce que le consentement se suffit toujours ?


Est-ce qu’il s’agit seulement d’un concept juridique ?

Ex-acte :
Ex-post : deux dimensions de la définition du consentement
Pour essayer de voir si ce concept juridique est aussi justificateur du pdv moral.
Définition « consentir » : accepter que qq chose s’efface/ autoriser, permettre/
approuver, souscrire.
Il y une monté en puissance de la présence de la subjectivité, il y a aussi un
renforcement progressif.
▪ Autoriser/permettre-> dimension contractuelle
▪ Accepter-> dimension passivité car on se limite à dire oui ou non, moins de
subjectivité.
▪ Approuver/souscrire : idée d’enthousiasme, subjectivité, et définir le projet
de vie.

Le consentement est en principe justificateur s’il est une expression de la


subjectivité cad de l’autonomie, et de ce fait il peut être considérer comme
justificatif de ce que l’on fait.
Encore faudrait-il savoir ce que l’on entend par autonomie, étymologie : auto-> soi
et nomos-> normes,
Du point de vue philosophique -> 2 visions : Kant et J.S. Mill.
Kant : notion de dignité, qu’est-ce que les lumières, 1784
JS Mill : Concept de liberté, De la liberté, 1859

Kant : notion de dignité, qu’est-ce que les lumières, 1784

Il faut sortir l’homme de sa minorité dont il est lui-même responsable. La


minorité cad l’incapacité de se servir de son entendement sans la direction
d’autrui, minorité dont il est lui mm responsable, « saperea aude » est le courage
de te servir de ton propre entendement, voilà la devise des lumières.
Jusque-là les êtres humains n’ont pas eu le courage de suivre leur raison, ils se sont
mis a juste obéir, sans avoir la capacité de réfléchir par soi-même, donc avoir le
courage de raisonner par eux-mêmes.
Celui qui continue de ne pas laisser les humains réfléchir per eux-mêmes commet
un crime.
➔ Rappelle : Autorité compétente avant c’était autorité religieuse.
On peut comprendre de façon autonome, 1ere fois que l’on insiste sur cette notion
d’autonomie.

Sauf qu’au 16e, un italien Pico de La Mirandole, exaltant l’homme et sa


capacité à prendre en main son destin, et il imaginait encore des contrainte sur
l’homme.
Il ne faut pas suivre les directives des autres, comprendre ou on veut aller de
manière indépendante.
Il faut voir la signification exacte du courage et la notion qui va avec est
l’impératif catégorique, a 2 caractéristiques, une plus formelle et une plus
substantielle.

o PDV formel : « Agit de telle sorte que la maxime de ta volonté puisse être
ériger en loi universelle »
➔ Il ne suffit pas de vouloir quelque chose pour que ce que je veuille soit
morale, il faudrait que je veuille quelque chose que tout le monde veuille.
Au sein de notre raisonnement que l’on puisse atteindre l’universalisme.

o PDV substantiel : « L’humanité est, elle-même une dignité : en effet


l’homme ne peut être utiliser par aucun homme simplement comme moyen,
mais doit toujours être traiter en même temps comme fin, et c’est en cela
que consiste sa dignité. »
➔ Il suggère l’idée que la dignité serait une propriété de la nature humaine, ou
de chaque personne ? c’est la tension, on dirait qu’il n’arrive pas à se
décider, dignité dans l’humanité et une autre fois en tant qu’humain.

Ex : Pour concilier cette tension, on considère qu’une prostitué agit de telle


sorte qu’elle porte atteinte à sa dignité, mais la dignité de qui ? elle en tant
que personne ? ou elle en tant que personne de l’espèce humaine (Homme) ?
Mais si elle décide de façon autonome, elle juge sa propre dignité, on ne
peut jamais uniquement instrumentaliser quelqu’un, mais
instrumentalisation cad traiter comme des choses, et puisque l’homme n’est
pas qu’objet.
Le problème n’est pas l’instrumentalisation, mais si on ne fait que ça et
qu’on ne voit pas l’autre comme un humain (sujet) mais plutôt comme
une chose(objet).

JS Mill : Concept de liberté, De la liberté, 1859

D’abord il essaye de défendre la liberté individuelle : « les seules raisons


pour lesquelles les hommes seraient justifié à interférer avec la liberté d’action
de la liberté d’entre eux, sauf si l’action de l’autre peut me nuire ou de nuire à
qq d’autre » (protéger moi, et qq d’autre)
En ce qui concerne nous-même, notre indépendance est absolue, pas de raison
d’interférer avec la liberté de chacun.

Cette façon de se conduire étouffe la liberté de nous, il faut permettre à


qqn de construire son propre projet de vie, il faut arrêter cette unification des
manières.
Mais on ne peut pas faire n’importe quoi, car il y a plusieurs contraintes, et limites
à prendre en compte : « le principe de liberté ne peut exiger qu’on soit libre de
n’être pas libre. Ce n’est pas la liberté que d’avoir la permission d’aliéner sa
liberté. »
➔ Même si le principe de liberté est le principe sur la base du quelle on
construit sa position éthique, il reste une contrainte interne de logique. Le
concept lui-même a une contrainte, cela sera une telle contradiction qui
n’irait pas avec le concept de liberté. Si je me vends comme esclaves je
renonce à ma future liberté.

Le suicide : au nom de la liberté, on ne pourra plus revenir en arrière et on est


plus libre. - Gestes qui détruise la substance même du concept de liberté
Il y a une autre nuance pour expliquer lesquelles il ne faut pas absolutiser la
liberté : parce qu’il y a des personnes qui n’ont pas tous les instruments, pas eu la
chance d’avoir cela, on peut aider et accompagner ces personnes.
« Il y a un degré de bêtise et de bassesses ou justification de gout : qui en font
l’objet de répulsion, de mépris. »

CM4
Le consentement suffit-il à lui tout seul ?
Oui il peut être mais seulement si par le consentement on exprime son autonomie.
Cependant deux autonomies :
- Consentement, autonomie et dignité avec Kant
- Consentement, autonomie et liberté avec Mill

L’éthique médicale : besoin du consentement pour agir


L’éthique sexuelle : un consentement clair mais on peut revenir en arrière

La justification morale démarre à partir du moment où elle justifie l’autonomie.

La valeur instrumentale est caractéristique des choses contrairement à la valeur


intrinsèque qui est une valeur en soi.

L’évolution du rapport entre consentement et autonomie dans l’éthique


médicale :

Des évolutions différentes entre l’Europe et les EUA et le Canada.

1978 : USA – publication du rapport Belmont – pour la première fois on essaye de


montrer quels sont les principes clés qui doivent régir la recherche médicale
éthique. Ce sont le respect de la personne, la bienfaisance et la justice (question
de distribution des ressources).

A côté de la bienfaisance (qui est la base du serment d’Hippocrate) émerge le


concept de respect de la personne.

Cependant à Nuremberg ressortait déjà la nécessité de respecter les personnes et


donc de ne pas faire des recherches sur des personnes qui n’ont pas la possibilité
de donner leur consentement. Le progrès de la science ne justifie pas l’utilisation
de l’être humain sans son consentement.

On ratifie avec Belmont la nécessité de respecter la personne.

1979 : le principe de respect de la personne débarque dans le domaine du soin.


The principal of biomedical ethics ; le principe de respect de la personne est
nommé comme autonomie. Avant d’accomplir des recherches mais aussi pour
accomplir des soins qui nous concerne. C’est pour la première fois que l’on écrit et
argumente que chaque patient doit être considéré comme une personne
autonome, faisant des choix et prenant des décision capable de faire des choix
éclairés.
Le problème est que chaque patient est considéré a priori comme étant conscient,
capable, libre et éduqué et donc capable de s’autodéterminer. C’est une vision
abstraite du patient parce que tout ce qui relève du conditionnement n’est pas pris
en compte. Le risque est celui d’une déresponsabilisation médicale.
En France :

Le passage du modèle paternaliste au modèle autonomiste a été plus laborieux et


dans le code de déontologie médicale de 1979, la règle générale qui est donnée
comme règle de comportement : « laisser le patient dans l’ignorance du
diagnostic et pronostic. » Le diagnostic nous dit ce que l’on a. Le pronostic c’est
l’annonce des différents gestes pour soigner la maladie dont on souffre. Or, en
1979 on laissait les personnes ne pas savoir. On reste dans le paternalisme.

On a du attendre 1995 où la nouvelle version du code rend la règle comme une


exception. Il reste donc une possibilité de le faire.

En Italie la loi pour recueillir le consentement éclairé du patient date de 2017.

Comment faire en sorte que la décision de chaque patient soit éclairée et


partagée avec le corps médical ?

Quel genre d’infos et comment ?

La qualité de l’information : afin qu’un patient puisse par la suite donner son
consentement, il faut que l’info soit claire, loyale et appropriée. Claire veut dire
que les choses doivent être nommées de façon simple afin que n’importe quel
patient puisse comprendre ; tout le monde n’a pas de culture somatique.
L’information doit être compréhensible. Cela ne suffit pas, il faut que cette
information soit loyale, c’est-à-dire qu’il ne faut pas mentir mais c’est une chose
de ne pas mentir et c’est autre chose de ne pas omettre. Approprié veut dire que
le médecin dans la mesure du possible, doit comprendre ce que le patient ne veut
pas entendre et ce qu’il veut savoir. On ne peut pas forcément tout dire.

Et le mensonge par omission ?

Il y a une façon de mentir par omission mais cela dépend de ce que l’on ne dit pas.
Si tu ne me dis pas quelque chose que je veux savoir, ce n’est pas pareil que de
ne pas me dire quelque chose que tu sais que je ne veux pas savoir.

La vérité consiste à dire vrai et la transparence consiste à tout dire d’après


Kant. Ainsi Kant conçoit que l’on ne dise pas nous.

Comment cette information est délivrée ?

Il faut faire en sorte de créer, de mettre en place des relations intersubjectives


entre le personnel et les patients et pour sa faire il faut créer :
- Une place pour parler
- Une place pour entendre
- Une place pour douter
- Une place pour avoir confiance

Une place pour parler et entendre est nécessaire pour créer un dialogue et donc
donner la possibilité de s’exprimer et de se taire. Il faut pouvoir parler et se
taire. La parole de l’autre nous dérange en tant qu’autre. Si sa parole vient me
percuter, il faut que je laisse place à l’altérité mais cela me fait peur.
Une place pour douter veut dire qu’il y a plusieurs doutes, notamment celui du
patient mais aussi le doute de la médecine. Des pronostics qui ne sont pas
forcément clairs et qui ne connaissent pas toutes les finalités. Il y a une sorte
d’impuissance médicale. Et sans cela on ne peut pas avoir de place pour avoir
confiance.

CM5 : DST

CM6 :
Focalisant sur la notion de consentement, justifie la legitimité de qqchose, et la
question est de comprendre ce qu’il ya derrière le consentement.
Il faut des conditions, concept juridique -> droit, condition prealable à
la’ccomplissement d’un certain nombres d’actes, victime d’une action qui remet
en compte l’expression de sa subjectivité, -> principe justificateur.
Concept qui a besoin d’un nombre d’annee, et reconnu comme l’accomplissement
d’un certains nombres de fait.
Autonomie et consentement ne sont pas toujours lié, il s’agit de concept qui
permettent de faire un système moral.

Cours :
La qualité de l’information : clair, loyale et approprié.
Parfois dire vrai ne signifie pas tout dire, il fallait une place pour douter, pour la
confiance pour parler.

Les rapports qui existent entre vérité, secret et mensonge :

On va partir par le secret, il a un lien avec la vérité et un lien avec le


mensonge.

Le secret :
La définition est : un secret est ce qui ne peut/doit pas être révéler.
Latin : secretus, participe passer de seccenere -> séparer, distinguer, rejeter.
La différence est dans la séparation et dans la distinction, il y a du positif, car il
nous permet de nous distinguer nous-même. Rejeter, est négatif car c’est qqchose
qu’on rejette en soi ou autre.
Secret-> lien qui se font et des séparations nettes, il y a différents types de
secret :
▪ Le secret intime : ce qui nous concerne, mes pensées, mon intimité, mes
désirs, que je n’ai pas besoin de révéler cela aux autres, je les garde car il
constitue mo intimité que je ne peux dévoiler aux autres car peur d’être
transparent, et de ne plus tenir. Ce que nous cachons aux autres est notre
intimité, le plus importants je la garde pour moi et c’est ça qui fait ma
vérité. Voltaire : « Il est souvent plus criminel de surprendre un homme de
ses pensées que son argent. » on s’introduit dans ce que qq est et pas ce
qu’il a. Séparer des autres et accès à mon unicité.

▪ Le secret concerne un tier personne : partager le secret ou la garder pour


moi. Je le détiens ce secret sur qq d’autre, et je dois prendre une décision,
avec qui je vais parler de ce secret, et avec qui je ne vais pas en parler, il y
a possibilité d’exercer un pouvoir sur la personne en question, il y a donc
une violence derrière le secret, abus de pouvoir car on décide ce qui est
bien ou pas d’entendre pour l’autre.

Le secret a un lien avec la vérité quand c’est un secret intime, et le secret d’un
tiers il peut aller vers le mensonge aussi, si je suis dans l’ignorance je ne peux
choisir, et cela devient le mensonge.

Est-ce que la vérité en médecine est toujours bonne à dire ?

E.Kant, fait de la vérité un devoirs, maxime de notre volonté qui devient un


impératif. Mais il reconnait que « tout homme a des secrets, il ne doit pas les
confier aveuglement à autrui », donc un homme qui dit qu’il faut dire la vérité.
Pour justifier cette position il y a : « entre la véracité et le mensonge il n’y a pas
de milieu tandis qu’il en existe un entre la franchise qui consiste à tout dire et la
réserve qui consiste à ne pas dire en exprimant toute la vérité bien que l’on ne
dise rien qui ne soit pas vrai. »
Soit on dit vrai, soit on ment, on ne peut pas dire plus ou moins la vérité (dire
vrai), il n’y a pas de degrés (pour des choses comme la pluie et le beau temps).
Mais pour la franchise ou la transparence (tout dire) et la réserve (ne pas tout
dire), ici soit je dis tout, soit je dis une partie, soit je ne dis rien. J’ai l’obligation
de dire vrai mais pas l’obligation de tout dire, volonté de l’autre d’entendre ou de
ne pas entendre.

Lorsqu’on parle de vérité, on parle d’un ensemble de données hétérogène,


car il y a plusieurs vérités, il y a déjà une vérité qui concerne le diagnostic, ce
n’est pas évident, on a une vérité qui concerne le pronostic, l’état de santé
préalable de qq, vérité concernant les diagnostiques et le pronostiques. Et le pb de
vérité des moyens a dispositions, ils ne sont pas toujours les mêmes, et il faut aller
autre part pour se faire soigner, vérité concernant l’impuissance médicale, c’est la
plus difficile, car la médecine pense souvent tout résoudre.
Vérité de son vécu personnel, il y a aussi les valeurs de qq, vérité reliée à ses
fragilités.
Ce que l’on veut entendre ou non, il n’y a pas d’idéal, il y a deux personnes avec
des vies contradictoire qui se rencontre.

CM7
Vu la semaine dernière :
La vérité d’un homme est tout d’abord ce qu’il cache et en revanche le
secret qui concerne une tiers personne, entraine souvent une forme de mensonge,
retiens des info -> mensonge par omission.
Multiplicité de donnée qui concerne les patients...
Difficile d’imaginer avec la relation médicale.
Recueillir le consentement éclairé, nécessité de donner une information vraie,
claire.
➔ Montre la complexité de la relation patient/médecin

Situation compliquée avec l’environnement familiale, un enfant malade qui ne


peut choisir.

Le cas de la réanimation néonatale :

Enfant né prématuré, on le réanime pour le faire survivre.


Grossesse à terme entre 37 et 41 semaines d’aménorrhée (9 mois a peu près)

Avant 37 semaines, prématurité :


• 33 et 37 semaines SA : PREMATURITÉ MODÉRÉ
• 28 et 33 semaines SA : GRANDE PRÉMATURITÉ
• 24 et 28 semaines SA : TRÈS GRANDE PRÉMATURITÉ

Peu à peu on a développé de meilleure technique, mais confrontation à un


problème.
Seul 24% des enfants à 24 semaines résistent bien.

➔ A-t-on le droit d’utiliser les techniques à notre disposition en prenant le


risques d’avoir un enfant handicapé ? Direction de qualité de la vie ou de
sacralité de la vie ?

La qualité de vie étant si peu confortable, mieux vaut arrêter de vivre ou


non ? Il y a la volonté de préserver la dignité de chaque personne. Mais celle-ci
est-elle préservée dans le cas d’une sacralité ou d’une qualité de la vie ?
Jadis, on n’avait pas les moyens de faire vivre ces enfants, on les réanime, mais
on engendre la possibilité d’une souffrance et d’un handicap.
Débat sur quelle est la bonne décision ?
Moyen mais quelles sont les conséquences de ces moyens ?
Jusqu’où doit-on aller dans la réanimation ? Qui décide de prendre la décision ?
parent/ médecin ?

Structure des rapports entre les différents agents impliqués dans une prise de
décision :

3 acteurs dans la réanimation des prématurés :


• Parents : On peut avoir des parents qui ont déjà eu des enfants ou non,
impact sur le couple, sur les frères et sœurs, financier. Âge des parent,
projet de couple, enfant désiré ou non, responsabilité parentale, et
responsabilité des enfants prématurés.
• Médecin : Au nom du principe de bien faisances on sauver un enfant qui jadis
n’aurait pas survécu, les séquelles de ce geste, responsabilité de l’enfant
(comment répondre à l’enfant, s’il va demander des comptes), et vis-à-vis
des parents, puis de la société (réanimer un enfant et le garder dans ces
services coute énormément, plus les couts si l’enfant a des séquelles
lourdes)
• Enfant : c’est un enfant qui sans réanimation n’aurait pas vécu, il est là
parce qu’il a été réanimé. Mais quel genre de vie peut-il vivre ? L’enfant n’a
rien choisit. L’enfant est objet de décision, il dépendra de ce que les autres
ont décidé pour lui.

Le médecin a son principe de bien faisances, donc il sauve dans l’urgence.


Qui sont les acteurs et contextualiser le cas spécifique.

Cas réel :

On a un enfant qui née prématuré a 24 semaines A, son poids est de 730


grammes, Parents : femmes 20 ans, hommes 23 ans, ils vivent en concubinage
depuis 1 an. C’est une grossesse spontanée, non prévue mais acceptée.
Quand l’enfant nait, il est immédiatement réanimé, en dépit du fait des risques
des séquelles neuronal, il y a une détresse respiratoire etc, et les lésions sont
telles qu’il faut prévoir un lourd handicap.
Quand les médecins rencontrent les parents pour en discuter, les parents disent
qu’ils sont attachés à l’enfant.
En France, on a certes la necessite2 de prendre compte le consentement des
parents, mais toutes personnes prennent la décision avec les médecins.
Médecin peut suggérer, et peut pousser à ce que les parents aillent voir des enfants
dans ce cas-là.

En France, c’est toujours au parent que revienne la décision, ils peuvent essayer de
pousser, et ils prennent sur eux. Les médecins ont continué a voir les parents, les
parents continuaient de montrer de l’attachement mais de moins en moins au fur
et à mesure, et ils l’ont après laisser partir.
Les médecins cherchent à éviter la culpabilité des parents.

Autre cas :

Un couple, homme femme, marié depuis un certain nombre d’année,


femmes 33 ans, et hommes 38 ans, ils ont déjà 3 enfants, a 27 semaines, l’enfant
nait, 1kg5, on le réanime sans pb, mais il a des séquelles et handicap sévère.
Les médecins expliquent alors, la mère se tait, le père dit « vous devez faire tout
pour que l’enfant soit sauvé », il est catholique.
Les médecins font tout pour que l’enfant puisse survivre, et l’enfant stabiliser et il
peut sortir de l’hôpital, l’enfant a été abandonner et placer dans une structure
publique.
Certes, on ne peut pas s’opposer à la décision des parents, et continuer à
intervenir mais intervenir lentement.
CM8 PROF ABS

CM9
Analyse du cas, comment on parle avec la mère, le père, en espérant quelle genre
de solution au dilemme.

Madame et monsieur y âgée de 30, sont marié depuis 2 ans, on vient de


diagnostiquer chez le frère de monsieur Y, une maladie génétique qui entraine une
démence précoce, et dont les symptômes apparaissent vers les 35-40 ans, lorsque
le père est atteint de cette maladie, il y a un risque sur deux que l’enfant soit
malade, on propose à monsieur y de faire un test génétique pour savoir s’il a aussi
cette maladie, il refuse et dit ne pas vouloir savoir.
Madame Y est enceinte, et elle souhaite dépister cette maladie chez son fœtus, si le
fœtus est porteur du gène, cela indiquera que le père aussi.
➔ Quel genre de dilemme éthique pose ce cas ? qui écouter ? que faire ?

Le point de départ est de bien savoir quels sont les acteurs en question : enfant à
naitre (ou pas), médecins, madame Y, Monsieur Y, frère de monsieur Y.
M. et Mme Y, tous les deux ont une volonté, M. y ne veut pas savoir, il a exprimé sa
volonté et c’est de ne pas savoir, on doit respecter son autonomie, pas aller
contre.
Madame Y est enceinte, elle veut savoir, on ne peut pas aller contre sa volonté,
donc le dilemme qui se pose comment respecter les deux volontés à la fois ? Si on
dit à Mme y la verité, cela va alors dans le sens de mme Y et on ne respecte pas la
volonté de m. Y.
On ne peut mentir ?
Prise en compte de l’autonomie du patient et apres voir l’utilité, tout ce qui n’est
pas marqué n’est pas qu’implicite.
Element a rappeler des medecin, et les elements.

Existence de deux consentements, deux volonté qu’il faut respecter mais qui
s’oppose.
Pb : secret de famille, pouvoir parler avec le père, pour decider de le garder
ou pas.

PMA :
Un des thèmes les plus important aborder par les lois des bioéthiques, révision de
ces lois pour maintenant, et cela concernant la forme de procréation assisté, avec
un donneur extérieur (insémination avec don).

PMA/AMP :
Admet l’accès à l’aide médicale pour avoir un enfant, les seules choses pour
laquelle on a accès si et seulement si infertilité, ou maladie, pour éviter de la
transmettre.
Autrement, il y a des règles en plus à respecter, le législateur a cru bon de mettre
des règles car c’est la société sociale qui rembourse, on va regarder ces règles qui
peuvent être pb tique.
➔ 2 ans de vies en commun, couple ensemble (certaines stabilités du couple)
➔ Deux soient vivants (éviter les transferts d’embryon post mortel) (cancer etc
un homme ne peut plus donner son consentement si il veut ou pas avoir un
enfant apres sa mort)
➔ En âge de procréer
➔ Hetero (lien sexualité et procréation)

Comité consultatif nationale d’éthique, il y a très peu de médecin, comité donne


des avis qui sont entendu ou pas,
Loi faites par les législateurs,
Anonymat ->

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