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M.Marzano
Modalité d’évaluation : deux devoirs sur tables, milieu et fin, 1 : notions clair, 2 :
soumettre un dilemme au début, en résolvant ce dilemme, en la justifiant sur la
base des principes et des valeurs. Oublier la dissert. Capacité logique et
argumentatives.
TD : Exposés, Me too et affaire Weisseman. Qu’est-ce que l’abus, et l’abus de
confiance ? donc éthique sexuelle.
DST : 1 : 18 février
2 : 1 avril (8 avril, correction)
15 avril : exposé
La morale n’est pas que des agents sociaux, nous sommes tout d’abord des agents
moraux, car nous pouvons choisir entre des actions différentes et des gestes
différents
Quelle est cette différence entre les normes sociales, juridiques et éthiques ?
Normes ou une règle est une proposition normative, relève d’une catégorie des
propositions par exemple descriptive. Propositions descriptives lorsque nous
parlons, celle-ci ont la caractéristique de décrire, il y a une valeur de vérité que
l’on peut connaitre en comparant notre vision du monde avec le monde.
Autre proposition qui ne sont pas vrai ou fausse, mais qui demande une
justification, on se pose le « pourquoi ? », c’est bien c’est mal mais ce n’est pas
vrai ou faux, toute les proposition tu dois, il est interdit etc, ce sont des
proposition normatives, et les propositions évaluative, elles demande à être
justifie de 3 pdv : juridique, sociologie ou éthique.
La structure est la même pour ces propositions, pas vrai ou fausse, la nature de la
justification change selon la norme a laquelle on est confronter (social, morale,
juridique)
EX : Il est bien de venir en cours, ce n’est pas vrai ou faux, pq il est bien de
venir ? justifier car on intègre des valeurs.
Norme sociale :
Une norme sociale est une proposition normative, prescriptions d’un certains
comportements, et aussi une partie descriptive. Ce comportement est rependu,
donc il devient une norme, force normative de ce comportement. Pour les
déviants, sanction implicite et non explicite. On considère qu’il est normal car il
est rependu, cela devient une norme et celui qui ne la suit pas est considérer
comme déviant.
D’autre gens vont être entrainer dans cette norme.
Résultat de la fréquence d’un comportement dans une société qui devient
contraignant pour les autres membres de la même société, attitude rependue
devient normal, cela donne de la force normative, et cette norme s’impose aux
autres.
J.Herus, Survival, 1978 : rareté des ressources dans le cadre des transplantations,
raison utilitariste car il faut sacrifier une personne en oubliant la dignité de qq.
CM2
Derrière la valeur de l’autonomie : d’un point de vue morale je ne peux pas
condamner le choix de qq.
Notion de consentement :
Domaine de la sexualité
Domaine du travail :
Dans l’éthique du travail, dans les années 80, changement de paradigme, ->
renversement des pyramides.
1986, PDG d’une entreprise d’aviations :
➔ Un chef doit être un meneur, et peut compter sur la compréhension et
l’engagement de chacun.
On passe d’une conception pyramidale, cad chef et salarié qui doivent obéir à
une autre dans laquelle les salariés doivent contribuer pour l’entreprise a partir de
leur engagement et leur initiative, mais c’est une instrumentalisation du langage
de l’autonomie, car les buts restent fixés par les PDG.
L’autonomie des salariés résident donc dans les moyens détenus par les salariés
pour réaliser le but, en utilisant leur sentiment de culpabilité en leur faisant croire
qu’il participe à la pérennité de l’entreprise.
CM3
Le consentement :
Ex-acte :
Ex-post : deux dimensions de la définition du consentement
Pour essayer de voir si ce concept juridique est aussi justificateur du pdv moral.
Définition « consentir » : accepter que qq chose s’efface/ autoriser, permettre/
approuver, souscrire.
Il y une monté en puissance de la présence de la subjectivité, il y a aussi un
renforcement progressif.
▪ Autoriser/permettre-> dimension contractuelle
▪ Accepter-> dimension passivité car on se limite à dire oui ou non, moins de
subjectivité.
▪ Approuver/souscrire : idée d’enthousiasme, subjectivité, et définir le projet
de vie.
o PDV formel : « Agit de telle sorte que la maxime de ta volonté puisse être
ériger en loi universelle »
➔ Il ne suffit pas de vouloir quelque chose pour que ce que je veuille soit
morale, il faudrait que je veuille quelque chose que tout le monde veuille.
Au sein de notre raisonnement que l’on puisse atteindre l’universalisme.
CM4
Le consentement suffit-il à lui tout seul ?
Oui il peut être mais seulement si par le consentement on exprime son autonomie.
Cependant deux autonomies :
- Consentement, autonomie et dignité avec Kant
- Consentement, autonomie et liberté avec Mill
La qualité de l’information : afin qu’un patient puisse par la suite donner son
consentement, il faut que l’info soit claire, loyale et appropriée. Claire veut dire
que les choses doivent être nommées de façon simple afin que n’importe quel
patient puisse comprendre ; tout le monde n’a pas de culture somatique.
L’information doit être compréhensible. Cela ne suffit pas, il faut que cette
information soit loyale, c’est-à-dire qu’il ne faut pas mentir mais c’est une chose
de ne pas mentir et c’est autre chose de ne pas omettre. Approprié veut dire que
le médecin dans la mesure du possible, doit comprendre ce que le patient ne veut
pas entendre et ce qu’il veut savoir. On ne peut pas forcément tout dire.
Il y a une façon de mentir par omission mais cela dépend de ce que l’on ne dit pas.
Si tu ne me dis pas quelque chose que je veux savoir, ce n’est pas pareil que de
ne pas me dire quelque chose que tu sais que je ne veux pas savoir.
Une place pour parler et entendre est nécessaire pour créer un dialogue et donc
donner la possibilité de s’exprimer et de se taire. Il faut pouvoir parler et se
taire. La parole de l’autre nous dérange en tant qu’autre. Si sa parole vient me
percuter, il faut que je laisse place à l’altérité mais cela me fait peur.
Une place pour douter veut dire qu’il y a plusieurs doutes, notamment celui du
patient mais aussi le doute de la médecine. Des pronostics qui ne sont pas
forcément clairs et qui ne connaissent pas toutes les finalités. Il y a une sorte
d’impuissance médicale. Et sans cela on ne peut pas avoir de place pour avoir
confiance.
CM5 : DST
CM6 :
Focalisant sur la notion de consentement, justifie la legitimité de qqchose, et la
question est de comprendre ce qu’il ya derrière le consentement.
Il faut des conditions, concept juridique -> droit, condition prealable à
la’ccomplissement d’un certain nombres d’actes, victime d’une action qui remet
en compte l’expression de sa subjectivité, -> principe justificateur.
Concept qui a besoin d’un nombre d’annee, et reconnu comme l’accomplissement
d’un certains nombres de fait.
Autonomie et consentement ne sont pas toujours lié, il s’agit de concept qui
permettent de faire un système moral.
Cours :
La qualité de l’information : clair, loyale et approprié.
Parfois dire vrai ne signifie pas tout dire, il fallait une place pour douter, pour la
confiance pour parler.
Le secret :
La définition est : un secret est ce qui ne peut/doit pas être révéler.
Latin : secretus, participe passer de seccenere -> séparer, distinguer, rejeter.
La différence est dans la séparation et dans la distinction, il y a du positif, car il
nous permet de nous distinguer nous-même. Rejeter, est négatif car c’est qqchose
qu’on rejette en soi ou autre.
Secret-> lien qui se font et des séparations nettes, il y a différents types de
secret :
▪ Le secret intime : ce qui nous concerne, mes pensées, mon intimité, mes
désirs, que je n’ai pas besoin de révéler cela aux autres, je les garde car il
constitue mo intimité que je ne peux dévoiler aux autres car peur d’être
transparent, et de ne plus tenir. Ce que nous cachons aux autres est notre
intimité, le plus importants je la garde pour moi et c’est ça qui fait ma
vérité. Voltaire : « Il est souvent plus criminel de surprendre un homme de
ses pensées que son argent. » on s’introduit dans ce que qq est et pas ce
qu’il a. Séparer des autres et accès à mon unicité.
Le secret a un lien avec la vérité quand c’est un secret intime, et le secret d’un
tiers il peut aller vers le mensonge aussi, si je suis dans l’ignorance je ne peux
choisir, et cela devient le mensonge.
CM7
Vu la semaine dernière :
La vérité d’un homme est tout d’abord ce qu’il cache et en revanche le
secret qui concerne une tiers personne, entraine souvent une forme de mensonge,
retiens des info -> mensonge par omission.
Multiplicité de donnée qui concerne les patients...
Difficile d’imaginer avec la relation médicale.
Recueillir le consentement éclairé, nécessité de donner une information vraie,
claire.
➔ Montre la complexité de la relation patient/médecin
Structure des rapports entre les différents agents impliqués dans une prise de
décision :
Cas réel :
En France, c’est toujours au parent que revienne la décision, ils peuvent essayer de
pousser, et ils prennent sur eux. Les médecins ont continué a voir les parents, les
parents continuaient de montrer de l’attachement mais de moins en moins au fur
et à mesure, et ils l’ont après laisser partir.
Les médecins cherchent à éviter la culpabilité des parents.
Autre cas :
CM9
Analyse du cas, comment on parle avec la mère, le père, en espérant quelle genre
de solution au dilemme.
Le point de départ est de bien savoir quels sont les acteurs en question : enfant à
naitre (ou pas), médecins, madame Y, Monsieur Y, frère de monsieur Y.
M. et Mme Y, tous les deux ont une volonté, M. y ne veut pas savoir, il a exprimé sa
volonté et c’est de ne pas savoir, on doit respecter son autonomie, pas aller
contre.
Madame Y est enceinte, elle veut savoir, on ne peut pas aller contre sa volonté,
donc le dilemme qui se pose comment respecter les deux volontés à la fois ? Si on
dit à Mme y la verité, cela va alors dans le sens de mme Y et on ne respecte pas la
volonté de m. Y.
On ne peut mentir ?
Prise en compte de l’autonomie du patient et apres voir l’utilité, tout ce qui n’est
pas marqué n’est pas qu’implicite.
Element a rappeler des medecin, et les elements.
Existence de deux consentements, deux volonté qu’il faut respecter mais qui
s’oppose.
Pb : secret de famille, pouvoir parler avec le père, pour decider de le garder
ou pas.
PMA :
Un des thèmes les plus important aborder par les lois des bioéthiques, révision de
ces lois pour maintenant, et cela concernant la forme de procréation assisté, avec
un donneur extérieur (insémination avec don).
PMA/AMP :
Admet l’accès à l’aide médicale pour avoir un enfant, les seules choses pour
laquelle on a accès si et seulement si infertilité, ou maladie, pour éviter de la
transmettre.
Autrement, il y a des règles en plus à respecter, le législateur a cru bon de mettre
des règles car c’est la société sociale qui rembourse, on va regarder ces règles qui
peuvent être pb tique.
➔ 2 ans de vies en commun, couple ensemble (certaines stabilités du couple)
➔ Deux soient vivants (éviter les transferts d’embryon post mortel) (cancer etc
un homme ne peut plus donner son consentement si il veut ou pas avoir un
enfant apres sa mort)
➔ En âge de procréer
➔ Hetero (lien sexualité et procréation)