Cartographie

Introduction :
Depuis l’ère des temps l’être humain a été toujours fasciné par son univers et
ses dimension, cette nécessité lui a permis de chercher à exploiter, à modéliser les
lois universelles afin de pouvoir trouver un sens a son existence, sur le plan
positionnement et direction par exemple seule l’astronomie de position était capable
de répondre a ses questions, mais l’handicap de cette discipline c’est qu’elle n’était
pas a la porter de tout le monde. Elle nécessite la connaissance des coordonnées
des étoiles observées ainsi que la maîtrise des lois mathématique permettant la
correspondance entre les coordonnées de ces étoiles et la position recherchée. D’ou
la nécessité de trouver d’autres moyens plus simple à utiliser en faisant abstraction
de toutes ces passages ou relations entres coordonnées étoiles et terrestres.

Le langage graphique :
On entend par langage tout système d’expression de la pensée
permettant la communication entre deux entités. Parmi les nombreux langages , le
langage graphique utilise des signes perçus par le sens de la vue. Ces signes
appartiennent a deux espèces ; le dessin et l’écriture au sens strict. L’écriture est
intimement liée au langage phonique tandis que le dessin s’en affranchit. Il traduit
directement une idée et se ramifie lui-même en deux familles qui conservent de très
étroites relations ; le dessin d’art et graphique. Par graphique en entend dessin
appliqué aux sciences.

Les cartes anciennes :

L’histoire de la cartographie est indissociable de celles des civilisations. Les
plus anciens documents cartographiques connus datent de l’époque babylonienne.
Ces documents sont cependant incomplets et trop partiels pour permettre une
appréciation correcte des connaissances cartographiques de cette antique
civilisation.
Les premières approches scientifiques en matière cartographique remontent
aux IVeme et IIIeme siècles avant J-C.

La cartographie et son domaine :

Selon une définition publiée en 1949 par l’organisation des nations
unies la cartographie est la science qui traite de l’établissement des cartes de toutes
sortes. Elle englobe les phases de travaux depuis les premiers levés jusqu'à
l’impression finale. Le domaine d’application de la cartographie est très vaste il inclut
la géodésie, la topographie, la photogrammétrie, les méthodes et techniques mises
en œuvre pour l’élaboration de cartes de toutes sortes et aussi diverses que les
levés géologiques ou les mesures statistiques (densités d’une population, superficie
d’une zone agricole ……).

Les besoins et les buts d’une carte :

Pendant très longtemps les cartes n’ont été conçues et réalisées que
dans le but de satisfaire aux besoins limités et bien précis à savoir la matérialisation
d’itinéraires terrestres et maritimes; les recherches progressives de la meilleur
représentation de la terre en utilisant les résultats des voyages d’exploration et de
découverte, récemment et à la délimitation des propriétés pour servir de base à
l’impôt foncier. Ces besoins ont servi massivement à l’évolution de la cartographie.
En réalité l’amélioration qu’a subit la cartographie dépend essentiellement des
exigences militaires d’une part et l’application des outils informatiques dans leurs
 Cartographie

établissement d’une autres part ainsi que le développement des projet spatiales
(l’imagerie satellitaire) , d’ou la naissance de plusieurs produits a savoir :

Cartes topographiques (déférentes échelles) ;

Cartes thématiques (hydrologique, géologiques, touristiques,
routières…);
Orthonumériques (c’est un ensemble de photo aérienne corrigé
géométriquement et mosaïqué) ;
Spatiocartes (cartes a l’aide d’imagerie satellitaire);
Modèles numériques de terrain (représentation du terrain en 3
dimensions)

Elements cartographiques
Forme de la terre
La Terre présente une surface complexe irrégulier impossible à modéliser
parfaitement.
La cartographie a pour objectif la représentation de la surface terrestre, approximée
par une surface ellipsoïdale, et sa projection sur un plan. Deux types de
représentations simplifiées sont utilisés : le géoïde et les ellipsoïdes.
Le géoïde et ses représentations :
Le géoïde correspond à une surface équipotentielle du champ de gravité.
La surface moyenne des océans prolongée sous les continents a longtemps servi à
approximer le géoïde. Actuellement, des mesures précises du champ de gravité
terrestre améliorent la connaissance de cette surface de référence
La forme du géoïde peut être déterminée à la fois par des mesures gravimétriques
au sol et, en ce qui concerne notamment les mers, par des mesures d’altimétrie
réalisées à partir de satellites : TOPEX-POSEIDON par exemple, mesure la
différence entre le niveau moyen des mers et le géoïde. Le géoïde est généralement
représenté sous forme de tableau de données ou par des séries ou expressions
mathématiques (ex: harmonique sphérique
Les ellipsoïdes Le géoïde est une surface physique sur laquelle il est difficile
de déterminer un point ; on a donc été amené à définir des surfaces mathématiques
de référence simples (surface de révolution) sur lesquelles chaque point peut être
défini par ses coordonnées : ce sont les ellipsoïdes. Il est possible de définir des
ellipsoïdes ne différant pas du géoïde de plus d'une centaine de mètres

h=H+N
h:hauteur au dessus de l'ellipsoïde
H:hauteur au dessus du géoïde
N:écart entre ellipsoïde et géoïde

écart entre ellipsoïde et géoïde

Cartographie

De nombreux ellipsoïdes ont été calculés, définis par leur grand axe, leur petit
axe et leur origine ; ils épousent au mieux le géoïde dans une région donnée. Les
plus couramment utilisés sont indiqués dans le tableau 2.
On sait maintenant que le géoïde est une surface "bosselée" ; l’ellipsoïde
international IAG-GRS 80 est la surface qui s'en rapproche le plus. L’utilisation de cet
ellipsoïde permet donc de représenter au mieux, globalement, la surface de la Terre.
Cependant, il ne donne pas la meilleure représentation locale.

Demi grand axe Demi petit axe

Nom (m) Aplatissement f Utilisation
(m)

Récemment
GRS 19801 6 378 137,0 6 356 752,3 1/298,257
adopté
WGS 722 6 378 135,0 6 356 750,5 1/298,26 NASA
Australian 6 378 160,0 6 356 774,7 1/298,25 Australie
Krasovsky 6 378 245,0 6 356 863,0 1/298,3 Union Soviétique
Internationa
l Restant du
6 378 388,0 6 356 911,9 1/297
monde
Hayford
la plupart de
Clarke 6 378 249,1 6 356 514,9 1/293,46 l'Afrique,
France
Amérique du
Clarke 6 378 206,4 6 356 583,8 1/294,98
Nord, Philippines
Airy 6 377 563,4 6 356 256,9 1/299,32 Grande Bretagne
Europe Centrale,
Bessel 6 377 397,2 6 356 079,0 1/299,15
Chili, Indonésie
Inde, Burma,
Pakistan,
Everest 6 377 276,3 6 356 075,4 1/300,80
Afganistan,
Thailande
Cartographie

Les projections
Projection de Mercator directe, équatoriale
C’est une projection conforme dont la surface développable est un cylindre tangent à
l’Equateur. Les méridiens sont transformés en droites parallèles dont l’écartement
est proportionnel à la différence de longitude. Les parallèles sont des courbes
orthogonales aux méridiens, ils se transforment en droites perpendiculaires aux
images des méridiens. On choisit un méridien origine, par exemple Greenwich, qui
est l’axe des Y ; l’équateur est l’axe des X. L’altération linéaire croît rapidement
lorsque l’on s’éloigne de l’Equateur (isomètre central : lieu des points où le module
linéaire a la valeur minimale).

Projection de Mercator Transverse Universelle (ou UTM)

C’est une représentation conforme transverse de l’ellipsoïde. Elle est limitée à

3° d’amplitude de part et d’autre du méridien d’origine, pour minimiser les
déformations en limite de fuseau. La Terre est ainsi divisée en 60 fuseaux de 6°
(figure 4).

Projection UTM (zones 29 à 32)

L’altération linéaire est maximale sur les confins de la projection et on lui
applique un coefficient de réduction.
Cette projection est universelle car elle est la même quel que soit le méridien
choisi. Afin de ne pas avoir de coordonnées négatives, chaque point, origine des
axes de coordonnées (intersection du méridien origine et de l’équateur), est défini
par les coordonnées
x = 500 km
y = 10 000 km Est
pour l’hémisphère sud et 0 km pour l’hémisphère nord.
La représentation UTM est la plus utilisée dans le monde pour le calcul des
triangulations et l’établissement des cartes topographiques.

Projection Lambert
Géométriquement, il s’agit de la projection de chaque point de l’ellipsoïde sur
un cône qui lui est tangent selon un parallèle (isomètre central) (figure 5). Pour plus
de précision, on utilise en pratique un cône sécant sur deux parallèles.
Cartographie

Projection Lambert
Quatre projections Lambert sont utilisées en France (1, 2, 3 et 4, du Nord au
Sud). En outre, on peut citer la carte de l'Europe au 1/1000 000.
Les images des méridiens et des parallèles sont respectivement des droites
concourantes et des arcs de cercle. La mesure des coordonnées d’un point du plan
n’étant pas aisée, un système d’axe de coordonnées rectangulaires est établi ayant
pour axe des y le méridien de Paris. L’origine O du système a pour coordonnées
xo = 600 km et yo = 200 km de telle sorte que dans chaque zone il n’y ait pas de
coordonnées négatives.
Elle est utilisée dans de nombreux autres pays (par exemple aux USA).
Projection Stéréographique polaire

1) Système Nord Sahara 1959

En 1959, l’IGN est en possession d’un réseau de 1er ordre compensé dans le
système Europe 50, sur l’ellipsoïde International de HAYFORD et un canevas
astronomique dans le sud de L’Algérie. Les cartes sahariennes établies sur le
canevas astronomique présentent des recouvrements variables, dont l’ordre de
grandeur est appréciable en cartographie. Pour concilier les canevas géodésiques
Cartographie

de triangulation avec les canevas astronomiques d’une part et d’unifier tous les
travaux d’Afrique du Nord dans le même système cartographique basé sur
l’ellipsoïde Clarke 1880 d’autre part l’IGN a établi sur l’ellipsoïde de Clarke un
système de méridiens et parallèles telles que les discordances moyennes entre les
coordonnées géographiques issues de la triangulation et les coordonnées
géographiques issues de l’astronomie soient minimum. Ainsi le système de
coordonnées sur l’ellipsoïde qui remplit ces conditions a été appelé « système
géodésique Nord Sahara ». Il est déduit du système géodésique ED50 (Europe 50)
par la transformation suivante :

Mc = Me - 4 dmgr
£c = £e - 48.4 dmgr

Mc et £c représentent la longitude et la latitude isométrique correspondants

au système Nord Sahara basé sur l’ellipsoïde Clarke 1880.Où Me et £e représentent
la longitude et la latitude isométrique dans le système ED50 basé sur l’ellipsoïde
international de Hayford.
(Arrêté ministériel des Travaux Publics du 22 Décembre 1959)
Notons par ailleurs que cet ellipsoïde a été recommandé à la conférence
Internationale de Bukavu (CONGO - ZAIRE) en 1953.

Les caractéristiques du système Nord Sahara 1959 (NSD) sont :

o Ellipsoïde associé Clarke 1880 (Anglais).
o Représentation plane associée :UTM (Universel Transverse
Mercator)
Les paramètres de l’Ellipsoïde Clarke 1880 (CD)
L'Ellipsoïde Clarke 1880 est défini par les constantes suivantes :

demi grand axe : a = 6 378 249,145 m

aplatissement : f = 1 / 293,465
Cartographie

SYSTEME DE REPRESENTATION PLANE

On appelle système de représentation plane un ensemble de lois géométriques ou
mathématiques qui permettent de projeter sur un plan, une surface courbe, qui est
en générale celle de la terre ou une portion de celle ci, telle que le territoire algérien
dans notre cas de figure.
Projections utilisées en Algérie
La projection Lambert :Durant la période coloniale l’Algérie a utilisé la
projection Lambert et qui se caractérise par les points suivants :
Caractéristiques de la projection Lambert C’est une projection conique conforme
tangente de Lambert. Dans le but de minimiser les déformations (altérations
linéaires), l’Algérie a été découpée en deux zones :
- Une projection appelée "Lambert Nord" qui couvre le nord de l’Algérie
- Une projection appelée "Lambert Sud" qui couvre le sud de l’Algérie.
Les constantes de la projection Lambert
Les valeurs suivantes permettent le calcul des coordonnées en
projection Lambert sur l'ellipsoïde de Clarke 1880.

Constantes de la projection Lambert Nord et Lambert Sud

Constantes Lambert Nord Lambert Sud

Mode de définition Tangente Tangente

Zone d’application 42,0 gr – 37,5 gr 34,5 gr - 39,5 gr

Latitude origine 40 gr = 36° 37 gr = 33° 18'

Longitude origine ou
méridien central de la 3 gr Est Greenwich 3 gr Est Greenwich
projection

xo 500 135.000 m 500 135.000 m

yo 300 090.000 m 300 090.000 m

Facteur d’échelle 0,999 625 544 000 0,999 625 769 000
(valeur calculée) (valeur calculée)
Cartographie

Projection d’une carte 1/25 000

II/ Nom de la carte :
En plus de la projection chaque carte peut avoir un nom, lié soit au nom
de la ville, village ou autres détails important quelle contient. .

Nom de la Carte & l’échelle

III/ Numéro de coupure :

Chaque carte doit avoir un numéro de coupure. Il découle du
découpage cartographique international de telle façon qu’en lisant uniquement ce
numéro en peut conclure les information suivantes :
L’échelle de la carte ;
Numéro de fuseau ;
La position géographique de la carte ;

Numéro de coupure d’une carte 1/25 000 : NJ –31-IV-13-OUEST

XIX XX XXI XXII XXIII XXIV

Un coupure au 1/1000 000
Contient 6° x 4° donc elle
couvre une superficie de 24° XIII XIV XV XVI XVII XVIII

VII VIII IX X XI XII

I II III IV V VI

Exemple 1 : Le numéro de coupure NI30

N : Nord de la sphère terrestre
I : Bande I
30 : Fuseau
on peut déduire les information suivantes :
 Cartographie

l’échelle : 1/1000 000

exemple 2 : Le numéro de coupure NI30-X
X : chiffre romain veut dire que la coupure NI30-X a une échelle 1/
200 000 elle se trouve dans le 10eme cadrant de la coupure NI30 est ainsi de suite
pour toutes les échelles.

IV/ Légende :
.
Dont la nature il existe trois types d’entités
ponctuelle ( piton, point eau ,point coté , intersection
de route ,arbre ….), linéaire ( route , autoroute,
chemin de wilaya , piste , sentier , chemin de fer ….),
surfacique ( lac, végétation, culture , marécage …..).
A cet effet une légende fonction de l’échelle doit être
associe a chaque carte. Elle schématise les détails
terrain par des symboles ponctuelles, linéaire ou
surfacique. La lecture cartographique dépend du lien
entre le détail sur la carte et sa représentation
graphique sur la légende
 Cartographie

Les modèles numériques de terrain

Actuellement, il est possible de représenter n'importe la surface terrestre en

trois dimensions a partir d'un nuage de point connue en x,y,z, la qualité de ce modèle
numérique de terrain dépend essentiellement de la précision des points rentrant dans
la génération du modèle, d'autre information peuvent améliorer la représentation du
modèle en s'approchant de la réalité de terrain en ajoutant le réseau
hydrographique,les figurés terrain qui jouent le rôle des HARD LINE et des BREAK line
Dans cette politique nous avons utilises le module VERTICALE MAPPER de
MAPINFO en passant par l'utilisation de ACCESS de MICROSOFT pour générer des
tables

Qui vont être utilisées VERTICALE MAPPER pour générer le 3D,

L'utilisation de vertical mapper

Cartographie

La selection des champs X,Y,Hauteur

Choix de la projection
 Cartographie

Le MNT générer

Beaucoup de traitement peuvent être fait sur ce MNT a savoir la carte des
pente, extraction des courbes de niveau selon une équidistance souhaité, définir la
visibilité selon la position d'un observateur ……

Vue en 3D sur un MNT générer

 Cartographie

Mise en place des systèmes d'informations géographique

Durant les dernières décennies, les progrès considérables ont été fait en
matière de techniques de saisie, d'analyse et de représentation de l'information
géographique,et ont entraîné un bouleversement dans les techniques de production
et d'exploitation de l’information géographique. Actuellement les processus
d'établissement de la carte peuvent être entièrement automatisés depuis l'acquisition
de la donnée à sa représentation graphique.
Conscient de l'importance des bases de données géographiques pour faciliter
les mécanismes d'accès à la donnée et assurer sa cohérence, les producteurs des
données géographiques ont investi dans le développement des bases de données
géographiques. Ainsi en s'inscrivant dans cette culture, des bases de données ont
été mises en place

Introduction :

Le monde réel se compose de divers phénomènes ou d’objets qui peuvent

être naturels (réseau hydrographique, relief, etc.), autres (divers modification sur la
nature) ou abstraits (frontières et limites administratives). Notre vision envers ces
phénomènes nous fournissent l'information qui est représentée sous forme de
données, par sa structuration et en obéissant à des règles conventionnelles
constituant ainsi des bases de données géographiques.
Les bases de données géographiques sont des outils opérationnels qui permettent
d'organiser et de gérer l'information géographique sous forme numérique.
Ce sont des ensembles structurés de fichiers décrivant les objets ou
phénomènes localisés sur la terre (avec leurs attributs et leurs relations nécessaires à
la modélisation de l'espace géographique).

Ces ensembles sont gérés par un système de gestion permettant de les tenir
à jour, de les archiver et de les diffuser.

Les bases de données constituent le socle sur lequel s'appuient les systèmes
d'information géographique, qui analysent et exploitent les données pour en tirer des
informations utiles à la décision.

L'importance et l'utilité de ces dernières, de notre point de vue, n'est estimé

dans sa vraie grandeur que pour ceux qui ont vécu l'évolution des processus de
productions cartographiques du classique au numérique,

Les producteurs , de leurs part gère, un flux important de données sous différents
formats, chose qui a poussé l’encadrement et les chercheurs à se pencher sur le
développement des bases de données pour répondre aux exigences des utilisateurs
dans un prochain avenir d’une part, et l’hétérogénéité de l’information d’une autre part.
Cette hétérogénéité est liée au processus de fabrication cartographique, d'observation
et détermination géodésique du classique au numérique.
Ainsi, nous présentons ci-dessous les différentes bases de données développées ou en
cours de développement à notre niveau.
 Cartographie

Les sources d'informations:

Pour la mise en place d'une base de données géographique toutes donnée

présente un intérêt majeur, ces données varie en importance d'un utilisateur à un
autre, dans le cas de l'ANRH par exemple
La données est sous forme ponctuelle,représente les points d'eaux forage,
puits ….
Chaque point possède des informations attributaire à savoir profondeur,
saliniéte …..

num longitude latitude altitude

P001 5,360000000 32,985833333 108
P002 5,356111111 32,971111111 111
P003 5,350000000 32,974722222 113
P004 5,343055556 32,940555556 114
P006 5,326944444 32,965277778 115

num RS PH TC°25 Observations

P001 173765 8 65,0 Operational
P002 Détruit
P003 29045 8 29,4 Opérationnel
P004 38370 8 37,4 Opérationnel
P006 Détruit

Map Info
Access
Scanner
Carte topographique
Et points d'eau

Fichier des limites administratives

BASE de DONNEES_