ed De légo-citoyen a l'éco-citoyen
unt dire qute le sip fait de probiber les ses de
Dans ses isse ne mexfific pas la courbe d'augmentation des
Campagne ia déchets, qui omt doublé en quarante ans! » Cision
EAT mete anirart chaque pu qu'il uray air wn ft fee
eologque rable et gue lon jrvarra gagner quelque freur cent», extimne
des transports Narlia Boeglin. Reste que la mobilisation des Prangais,
n'a jamais €té aussi forte, TD
Sofires révéle que 68 "% de nos
comeitoyens déctarent spit
nement trier et recycler
Teurs déchets, 52% ne pas
gaupiller eau. 51 % rapporter
les piles usagées chez les
commercants concemés, 47%
economiser Vlectricité, 44%
ine pas utiliser de xacs pl
ques pour faire les courses.
En outre, 10 % affirment borcotter les entreprises qui
polluent et ne respectent pas les réglementatioms en
¢d’cnvironnement, et 7% disent consommer
quement des produits bio.
Ces chiflres partants prouvent bien que le comsomn
teur prend de plus en plus en considération
de citoyen impliqué, La frontiére entre citoyen,
consommateur, salarié ox: retraité, tend d sex
wmper. Pour Adelie Attia, « iy sont cites quand it
camsomamvent; is snd camsawemasewes quae is unin =
“LHome ecoalterus”
Allegoria et Benkico oF
consommateur “Hom ecoalterus™. Pour eux. son
re de gloire devrait arriver cn 2010. Mais dé
deus cabinets constatent nce de nia
modes de vie et de consommation plus citoyens et
ccologiques”. I mettent en éidence quatre courants
de société contribuant & faire de l'écotitovennesé un
yee masse: [Econ solidaire,
(par e-commerce equitable, les
ticles les cooperatives; le développem
(conférence de Rio, protocule de Kyoto, chante
sine Hehaptisé ce nouveau
vironnemest, cri
déchets...) Valter-mondh
lise ( AC, No
logo de N;
Veeologi
vversité, artisanat loc
courants, qui visent tous
redonner cu sens a ka conscate
mation, s'appubent sur quae
peocits bi, hice
Crs
vvierge retmunée”), le eycle de
vie (Rien ne se perd, rien ne se:-crée, tout se trans
forme”), T la solidaritié, Preuve de ce
nllice repo: lant de ces prévocupa:
tions: le film Le four dAprerest des plus révélateurs, tout
[QMARKETING MAGAZINE / "105 / Jul
= Apdt 2008
comme les films ad Haye Miyaraki, wes atta
ché dla nature, Lidge de glace qui traite du réchaufie-
ment climataque, La planite Manche ou encore La mame
de Vampereur, Le divertisserment deviemt une source
d'éveil et d'implication.
Un moment chamiére
Consequence logique, les
de se pencher sir Ie sujet, «
développement durable & application du concept em tut
iéue >, affirme Alexandre Pasche. Ft d'ajouter que, si
au départ le concept était « penmsts pour des alrrcie
markeling =, aux bout cle six mois, ces derniers on
commencé inde: le deve
Joppement bien plus qu’ue simple
marché de niche. ccomstate: « Quand news
demandons aacx endreprises posrquio’ elle ne font ras dex
produits plas delogiqucs, elles ne wows repre peas Gur et
fp if o plas ches meas uit n'y as de sess. Aus
caret, des consented isnt gs neue des prefs
‘pls wer mas gu is wien érroenl as, hy ded bonne et
de la manccnise fii de port et dante » I s'agit donc pour
I'ADEME daccompagner 4 la fois consommateurs et
entrepreneurs. de moritrer aux premiers quem imté-
grant par exemple l'environmement dans kours crittres
de consommation, ils ne perdent pas leur liherté de
consommateurs et de montrer atrx seconds que
Ton peut rémair en tancant dex produits concus
dans une démarche environnementale, » Fur il
Fasten, noms me sommnes fers es ceeds em
Frum en rater de prods pls exes,
souligne Nadia Boeglin. Em wuanche, des
fendaacas sua rd favorables ec miveat
de UADEME, nanas avons impression
we nous somanes den anament chi
nib ait ne frat
our que cola déomare wrainent
ques sont bien obligées
ot rin pst ch Blade
Les films succés sont
aussicoux ql traltent
‘nvironnamantales,