CANADA: 65 Cents. a ESPAGNE : 50/ Pts. ITALIE: 500°L. | gle aM “MlAGM 74 BIMENSUEL POUR LA JEUNESSE paraitle 1*’et le 15 de chaque mois ABONNEMENT tous pays 60 F i * Vous lire dans ce numéro : AKIM, rei de ta jungle BWANA SIMBA TELEFON * La correspondance devro Stre adresse & EDITIONS AVENTURES ET VOYAGES 26, rue d’Aboukir - PARIS-2: —C.. P, PARIS 12 237-93 ~. 4°" Sept. 1977 Xx a XS K ce By XY AY AEA , Oe eS ce RAY SON SOS a RRR \ “ Ns MF co a \ NY ON é RY Ws_ pos, Sa PENETRERONS DANS LA VALLEE PAR CET ETROIT PASSAGE r NX Vous MIAVEZ PARLE P'UNE TRIBU SAUVAGE QUI VIVRAIT DANS CES REGIONS | NOUS N'AVONS ENCORE RENCONTRE PERSONNES.-- LES INFORMA- | TIONS QUE 3E POSSEDE REMONTENT A UNE QUIN- ZAINE DIANNEES!..| a - BAS! = AKIM 434 LA voIE LA Pus FACILE, oul, V MON SENS! Yous FAITES ACCUSION Au SOURNAL DE VEXPLORATEUR STEVE FORSTER DonT ON A RETRQUVE LE CADAVRE NON LOIN BCI... yO+ BI CETTE RAMEUSE "FLEUR] 2g LA Mog?” Nous PENSEY Cr LE, SQUELETTE, AINSI_QUg CEUX DES |, MEMBSES DE 'SON EXPEDITION... ICS ONT, ete “MAssAceES, Ciest TOUT ce que (UE FEUN VOUS DIRE, CAPITAING! | (ae NE SERAIS PAs ici. { ForStTeR NE LA PAS \ VUE, MAIS IL_EN 'DONNE. \ use DESCRIPTION TREY Precise! 4 > Vv UMM... SI_CETTE PLANTE EXISTE> NOUS’ LA TROUVERONS, Je VOUS LE GARANTIS!... BON!... JE VAIS PON— NER A MES LOMMES C'ORDRE DE QUECQUES MINUTES PLUS TARP. 24 PETITE TROUPE PRENAIT LA D)~ BZECTION DE LA Vz PES BORPLES Cee: —/ in Soa OH!...UN ADMIRABLE EXEMSLAIRE De Beaos NIA GRANDISLS) / NE pestez Pas en\) ARRIERE. PROFES ~ SEER 1... CA POURRAL ETRE DANGEREUX- - Le But DE NoTRE EXPEDITION EST PE_TROU: VER_CETTE FLEUR MORTSLLE ST Vous ETE}| ENCORE QUE vous LA RE@N-|| ( VOILA L'ENTREE OU PASSAGE NAITRIEZ FACILEMENT PUISQUE QUE NOUS A INDIQUE LE CAPITAINE ET. SON PARFUM TUE !..HA! 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NET ET MAINTENANT ILS FONT Demi~TOUR!, = us OBEISSENT AJ RELEVE2 Les Siessés. De VITE! iLy A UN TROISIEME ‘NE vous RS SAR ea Ra N'ABRIVE PASSAGE POUR ax <_o ) RATES FAs | RONS, DAN: CEDER LA VALLEE LZ PICU SIONS! JE LE CRAINS Oui! It est SezAT LE EVIDENT QUE CES Burrtes AR NEORE, UNE 2 UN SAUVAGE DUN) SOLUTION! NE GENRE BIEN PAR, SOLUTION” QU) TICULIER, CAP! - SAPPELLE Aki!F 3'Al SUIVi VOTRE CONSEIL... MAIS JE DOUTE Que cerTe SOLUTION SOIT LA’ BONNE... E SAURAI BIEN ERS te 2NANCEZ EN EVENTAIL; LA + ‘ CASE DE ce SAUVAGE est PARAiT|[ IL Nous FAUT CETTE PLANTE IL PERCHEE SUR UN A TouT PRIx! & TOUT PRIX!) / PRODIGIEUX COMME Yous Yous INTERES - S€2 4 LA SCIENCE, CAPITAING | —v=.-€N TOUT BIEN ve we. | [ cerenoanr...[ UN T7RE ul : vit ‘SUR UN BIEN SUR? EN TouT BIEN, ARBRE) CA \ TOUT HONNEUR> Ne _Peut ETRE QUIUN Vf 7 our: BRBLE DE SAUVAGE PRESQUE UN SINGE --/ Clest UN BLANC Poury TANT, Ik, PARAIT - A, Yay ten, [BLANC JAUNE OU NoIR C'EST UN SAUVAGE ET RIEN D'AUTRE !A yoiR GA} TULES AkIM?.... ‘suis -'Nous 3...[Qepiscure PAS, S/NON.., (=f BON!... MAINTENANT FARUONS GENTIMENT---GENTIMENT, DITl... GE JAI AY Tl = 16UN PEU PLUS TARD...| ces CHARMANTS ——— GAREONS "ME BON~ NAENT LORDRE BS les Suiyee- QUE ME \IE NE Yous PERMETS PAS’ Ps TRALTER AINS! MES JE SUIS Le PROFESSEUR ALFRE- se JE Yous EN Bo ZARKAS, DE GUNIVERS ITE PRIE \CAPITAINE. DS BEGHULMAl- a N'EW PARLONS GRANDEMENT BESOIN O8 Vous. (sous AYONS €U TROIS BLesses er\, SS MoRTS...7-.-SANS MEME Volz UN SEUL DE cES SAVAGES... 17NOUS Nous EN Pour QUEUE RAj~ SOMMES RENDU _/ SON TENEZ-vous TANT &. vous ZEN- DRE CHEZ ELX 7... LA VALLEE DES RUFFLES EST HABITEE PAR LES WISARS Qui SE REFUSENT A AvOIR LE MOINDRE CONTAET Avec Les <| ETRANGERS -.. ILS SONT TERRI- DANGEREUX “Nous CHERCHONS UNE PLANTE BEER RAT Stee med tate. Poutte é TRAITEMENT DES MALADIES MENTALES-.. NOUS EN FAUT QUELQUES SPECIMENS. Crest Tout ce aur NOUS DEEM | ONS... SANS _DOUTE: Oui CAPITAINE -.” +5, MAIS CE N'EST PAS UNE RAISON POUR ARRIVER Cut CES GENS COMME UNE VERT: TABLE ARMEE DINVASIONY..a / MENTER AVE DE ReUssiRg) TeuR BAY / YE YOUS LE DISAIS BIEN, (| PROFessgede 1.0 cer Homme NE NOUS EST DB AUCUNE OTIUITE “Le. NE BoOuGeEz PAS DE La! JIRA SEUL.., ENTENDEZ-Mol, SAGES W/-) SARS... JE VEuX PARLER 2 VOTRE REINE --~Vous M'ENTENDEZ ”... ae VEUX PARLER , VoTRE REINE!UY APRES, Aki SE INS LA ae AH!... LES VOILA, Les BETES Qu OBEISSENT A Vos CRIS ? Nous NE REPONDRONS PAS TES QUESTIONS! - AVANCE |PouR QUELLE RAISON Es-TU La, NE_FRANCHIS PAS CETTE LIGNE DE PIE q a RRES SI TuQUELQUES MINUTES |... REMETS-MOl JAMAIS !... ces PLUS TARD..- QUELQUES PLANTS PLANTES SONT DE ce VEGETAL ET SACREES_ ET Mot CES ETRANGERS S'EN SEUCE PUIS HUMER LEUR PARFUM SANS. MOURIR ! ETOURNE Dire \5e LE FERAI, | |ALORS /LS MOURRONT JUS - CES HOMMES / MAIS 36 Pour | [Ri/iWier DERA/ER --- PRENDS GARDE! ILS DISPO- /LEURS ARMES Ne) SONT QUE PLAI- ‘SANTCET HOMME A ASSASSINE SEPT PERSONNES POUR LES CEPOULLER BE LEU APPROCHE, \/ APPT ASSASSIN! or Le PARFUM... LE PARFUM MORTEL ..-- AAAH!TIL A RESPIRE LE PAR- (Bae BERT SE MninSNBE eT 1L EN EST MORT !... JALLONS, VA, AKIM 1... LES. ETRANGERS NE SONT PAS. Les BIENVENUS CHEZ Nous MAIS, JE Te LASSE TIEN AUER “VIVANT! ... TU_AS VOuULY ME FAIRE UNE DE- MONSTRATION DE 1A _PUISSANCE -. 3E - MaIs_4 MOoYENS JVA.VA, JE TE DIS, PLUS PUISSANTS QUE /AVANT QUE MA LES TIENS! PATIENCE Ne {——___— UT!(MAINTENANT, VA!7 CE SAUVAGE BLANC // VOUS CONSIDERE2, WEST TOUTOURS PAS TROP AKIM COMME VENU--- IL UN SAUVAGE \REEEEAS pas. ‘Ma 1eux STUPIDE -- <.-T VOUS ENJOINT DE Y PREFS... JE LER AU Plus Vite) SAVAIS BIEN SINON “IL VOUS EN” CUIRA ! eaeYous NE VOUS JMAGINES, TOUT (= yous SONSEILUG. POUR - TANT. ( JAMAIS!.. 16 veux Ces FLEURS, ET 3E tes” Aural S... C'EST BON! JE VOUS PROCURERA! BONC UNE De ces PLANTES SANS EFFUSION OE SANG &T... 2 Suis Las er Les PORTE Gul... JE NA! BESOIN pe eeeCe PARFUM EST MORTEL RETENEZ VOTRE RESPIRA TION | CAPITAINE | BLOQUANT SQ RESPIRATION, LE SEIGNEUR DE 14 JUNGLE S'E.UN PEL PLUS TARD.- ] LA BEN FAILuU Y_RESTER » PROFESSEUR! OUF!... IL RESPIRE & Nouveau LE PAREUM DE LA FLEUR DE LA MORT EST UN VERITAGLE GAZ ToXiQUue AUX EFFETS FOUDROYANTS!... iE ME PROCURER UN EXEMPLAIRE DE CETTE PLANTE DIABOLIqUE! ATTENDE2-Mol A _L'ORtE DE LA JUNGLE [Se NE TARDERAL PAS! 32AQUELQUES CENTAINES DE METRES Cich maitre! — IL M& SAuT PENETRER DANS LA VALLE Des BUFFLES SANS EMPRUNTER UN DES TROIS PAS- SAGES GARDES PAR LES GUER- e q ! i DES GUERRIERS WISARS 7... RIERS WISARS! Z ey ENR pastolt, ON 7, ON — a 33,\\ / ENTENDU!...SANS TE FAIRE REPERER PAR LES AUTRES LE voILsé, MATTRE! PRENDS GARDE --- SI DE--- SI TU APPELLES AU eas -OH! AKIM!...QUE-. = Que Ve Rx LelE,UNE SIMPLE QUESTION DANS... DANS SEULE LA REINE PEUT OU TROUVE-T- UNE SeRRe-.|| ¥ ENTRER SANS EN PleURS BE LA MeRT? DERRIERE LS MoURIR AUSSITOT...TouT an PACA 1S ROYAL! AUTRE QWELLE SERAIT FOUDROYE PAR LE [Ne _PERDONS PAS UNE SECONDE, MON YIEUX! J VITE! LE 30uR NE VA PAS TARDER A SE Lever---/ LA LAL... C'EST DRALE- MENT RAiDe ici PouR ac ) - epee BANS (A VALLES: Tu... TU_DISAIS?,.. AU SECOURS, / MILLE TONNERRES! FouRVU QUI NESE ORISE PAS LES ost i 3 SfHE !...UN NID D'ABEIL- Les SAuvases.- iL Me FAUDRAIT UN Peu Be ike... Ne Te RAs POUR Mol! OLE |... GA TE SET Belle quoi rae Fy UNE DEM! -HEURE PLUS TARO VOILA, LE PALAIS ROYAL. ET L4 SERRE = EN “QUESTION «+- és a/D'ABORD IL FAUT VOIR SIL YA CATIENDS | VoILé Des SENTINELLES AUX ENVIRONS! EI — x Ge mien cHaRae}) Se7 (LA SIRE DANS LES NARINES ET CE& TISSU SUR LA BOUCHE-.- IMPECCABLE |... C'est UN RISQUE COURIR-.- MAIS Tout CE MEME, Je RES- PIRERAI LE MoINS POSSIBLE! Pour Le MomeENT Nae BIEN... KARICES TIGES AVEC QUELQUES RACINES| | HORS LA SERRE, LA REINE SE ENS NTE_SANS GouTe DE 5'0 Beyadiewr PARE MeRvEILe ce(| | SoMTEN Ee Pane, fevTa, BE Sos Ce Ace PLUS VIOLENTES| SONT INFINIMENT PLUS EWE Colt Auss! SE PROTEGER LA Boucue--- TOUT & COUP ALORS QUE LE SE/- QNEUR DE 64 JUNGLE S*ELOIGNAIT AT (1A Vout DES PLANT: Deis FleaR SAcREe!FILE_AVEC CES PLANTS!...TU NE RIS-~ ques, 5 RIEN Puisque Ea ENA I supe EUS = TUM! ATTENDRAS PRD IMT DU CAMP DES SOLDATS!.., A ce MEME MOMENT.- ELQUES BEB us wAgsest IL EMPORTAIT PLANTS _DERo! LA SERRE, J2e TE, ReTROuveRs! Pus TAR UN COMPTE A REG! SAL WL FAUT LE CARTURER! ALERTS TOUS “LE GuERRIERS | si C'EST BIEN cE PAR Tous LES DIEUX!... P COMMENT A-TIL PU SURYIVRE,DANS LA SERRE ES. SK S4 MaAtEsTE A QUE, JE PENSAIS-., OBILISE TOUTES: FORCES Pour Me concer |3 IL FILAIT VERS LA-BaAS, LES LES MONTAGNES!/ SENTINELCES Se WANBeESNT \ FAS A LaPER, sy ILS ALERTENT LES SENT ~ NELLES QUI VEILLENT AUX LIMITES DU TERRITOIRE ~-+ ee ( DONC ON NE S‘ATTEND AS A RECEVOIR MA —, VISITE ICL.zi (BTERAls VOLONTIERS LA cre Nez ~ eas Sen, a “Bus Que JAMais -TUEZ-LE! “TUEz-LE! / — j i}HULU !)( HA! HA! TU MANGES TROP = ‘ WOE evans Sy PANT fy COUN : =MA PAUVRE TIBEA!...J'Al TouT COMPRIS... UN PEU DE CIRE PANS LES NARINES ET TON RAMELX PARFUM FERD SA CRIMINGLEE \ ZART TU GUE JE DISE A Tes ‘S_ COMMENT ON PeuT FRONTER SANS DANGER FAMEUX PARFUM 2 NITY Ne FERAS )enTENDU | GA, HEIN? MI ACCOMBA - GNERAS Tol MEME SUSQU'AUX LIMITES DE TON ROYAUME !(4 QUE TOUS NOS QUERRIERS SOIENT RAPP. - me NeTRe SouveRAaINe”. AKIM esT UNE Sree TURE SES Dieux. -ET JOUIT DES MEMES PouvoIRS QUE Mol, C'EST POURQUOT_ IC PedT MiAPPROCHER SANS, EN MOURIR 1. POUR MES SUJETS, MES AiEUX eT Mol SomMmes Les ENFANTS DE fA, EINE: FLEUR DE LA ORT ay ye SIEN QU'ON Ne PeuT nods BEM RER BEne }—— 48(3E VAIS REMETTRE TROIS PLANTS DE (A FLEUR DE LA MoRT Aux ETRANGERS QUI S'EN IRONT FOUR TOUJOURS... Apley TRA. GOUVERNE TES ETS AVEC SAGESSE... SI- Ron 5e BEVIENPRAI Ici. EY FAS EN A, DAMNATION. Yous. .~ Yous avez R&uSs// TROIS PLANTS DE cE veeera, CAPITAINE DONT TAL (es' FceuRs UR EVITER TOUT. DANGER: mwC'est BIEN ELLE !...TOUTA AIT LA CESCRIPTION DE FORSTER | IL_ FAUT > ' MENT. \Avec_UN Li- HEUREUSE! x ViTé LES METTRE &N eu SOR WE NOUS AVONS )QUID: PRORTE DES, /MA PREPARA RECIPIENTS SPEYTION POUR 7 MISSION AGZOMPLIE!.-. NOUS RENTRONS [MMeOLATEMENT } / - HEZ Nous! L'HeuReuse isSue MAINTENANT, PROFESSEUR, JE PEUX Vous Le DIRE DANS LE cReix Se UGREILLE POURQUO! Le MINISTERE DE LA GUERRE A TouT MS EN CEUVRE {ous Que Cette rz MISSION Réussiss' ee centre ails S S (-NE ARME TERRILE CAPABLE (yore G@ENERAL-PRESIDENT anes EN UN RIEN. Pe \TTACHE UNE IMPOR™ TANCS. Ne ARMEE ENNEMIE-. Betas A LA posses ON CETTE ARME!..- ALLE ~ VouS-~EN SAUVAGE | D'INFAMES CANAILLES 5 ome Void 68 QUE yous 51QuiesT-ce Qui VeS CHEFS NE VEULENT Se BASSE? PAS ETRE DeRANGES ¥.. —C 7] NM RS . 1 LS Le PROFESSEUR_EST EN TRAIN BE PAIRE UNE PIQURe Ad CAPITAING ET LE CAPITAINE Est Tres Poulter... eT Tu les BRGLES MAINTENANT... APRES: TOUTES LES PEINES QUION A EU POUR... LI eC = FIN DE L'EPISODE 52A toutes les époques, nos amies les bétes ont été mélées a notre vie de chaque jour. Partout, dans les bons et les mauvais moments, elles ont accompagné Il’hom- me au cours des travaux de sa vie, dans ses joies et dans ses peines. C’est la un réle obscur et méritoire dont elles se sont acquittées a merveille et qu’elles continuent de rem- plir. Car dans un monde de plus en plus difficile, « dur » comme le qualifie le Prési- dent de la République, on trouve une infinie et patiente tendresse dans la compagnie d’un chien ou d’un chat. Par- fois plus que chez les hu- mains que lon croit trés proches ! Mais les bétes n'ont pas seu- lement joué un réle subalterne dans l'histoire de l'humanité : il leur est parfois arrivé de tenir une place dans {a grande His- toire, d’occuper le devant de la scéne et de forcer le Destin, de l'incliner vers une direction qu'il n’aurait pas prise sans elles. Ainsi la Rome antique fut fondée grace a une louve. Et sur l'emplacement qu'indiqua une truie ! Lequel emplacement, délimité par un taureau et une 53génisse fut sauvé peau d’oies ! par un trou- Quant a Clovis, ce briseur de vases ! il doit beaucoup a une biche ! En effet, ce fut ce char- mant animal qui en bondissant aveoe grace dans la_ riviére Vienne lui permit de découvrir un passage a gué. Grace a cela, il put rejoindre l'armée des Visi- goths, pour ensuite |’anéantir, assurant par cette victoire Vaube de l’unité de la France. Une biche sauvant la France, n'est-ce pas une image des Plus gracieuses ! Savez-vous que ce fut un oiseau qui conduisit I'Empereur Charles jusqu’aux portes de Constantinople ! Et un lion qui valut a Pépin le Bref son renom de bravoure ! Evidemment, ce serait exa- géré de notre part de parler du fameux cheval de Troie puis- qu'il était en bois ! Mais nous nous devons de mentionner le chien d’Alcibiade, le lion d’An- droclés. Ce lion d’Androclés, nest-ce pas 1a l'histoire 1a plus touchante qui se puisse conce- voir ? Androclés, esclave ro- main, fut livré aux bétes pour s’étre enfui de la maison de son maitre. Le lion qui était chargé de le dévorer le reconnut car, jadis, Androclés I'avait soigné. Alors, la béte se coucha a ses pieds ! Tout le Capitole, ému, 54 demanda la grace d’Androclés a lEmpereur qui l’accorda. Par la suite, Androclés vécut heu- reux et libre avec son lion... ll y a aussi l'histoire de ce renard a la queue duquel le général Aristoménés s'accrocha pour sortir d'un gouffre ou les Lacédémoniens I'avaient préci- pité... Savez-vous que c'est un dau- phin qui sauva la vie au poéte Arion ! Ses compagnons l'avaient jeté par-dessus bord tout simplement parce que notre poéte avait accepté quel- ques piéces d'or pour réciter des vers. On ne plaisantait pas a cette époque. On pouvait étre une «idole» mais il fallait que ce soit par une admiration gra- tuite que l’on soit payé ! Quant au vieil Eschyle, lui, il n’a pas a se féliciter de nos amies les bétes, il faut en convenir | Jugez-en. Un oracle lui ayant affirmé qu'il mourrait de la chute d’une maison, le vieil homme ne vivait plus qu’en plein air, loin de toute habitation humaine. Un jour, un aigle passa juste au-dessus de sa téte alors qu’il dormait. Vous ne voyez pas ou je veux en venir ? Eh bien, sachez que cet aigle tenait en ses serres, une tortue. Et, a ce moment précis, elle lui échappa. La tortue.qui est bien une sorte de mai- son, n’est-ce pas !... tomba directement sur le crane de notre poéte qu'elle fendit de belle maniére. Ainsi mourut Eschyle. Comme quoi, il est bien difficile d’échapper a sa desti- née... Le cheval de Turenne mérite lui aussi d’entrer dans I'Histoire de France. Les soldats de ce grand capitaine étaient persua- dés que c’était son cheval qui les conduisait 4 la victoire par une sorte d'instinct infaillible. Aussi, Turenne une fois mort, exigérent-ils que « son» cheval prenne la direction des opéra- tions. Et ainsi fut fait ! Avec, 55 quand méme, quelques officiers pour superviser le tout... Parlons de ce Monsieur Thiers qui joua un si grand réle dans l'histoire de notre pays. Eh bien, lui aussi, doit beau- coup @ une jument. Elle s’appe- lait Jata, cette jument, et toute la famite Thiers l’adorait. On poussait méme cet amour jus- qu’a la nourrir avec des plats raffinés et du sucre. Un luxe & cette 6poque |! Tout cela n’em- péchait nullement que Jata était d'une taille ridicule. comme une levrette, affirmait un journal du temps |... et que lorsque Monsieur Thiers la montait... lequel n’était grandque par lesprit !... c’était alors le comble du comique. Un jour, une émeute des plus violentes éclata a Paris, boule- vard Saint-Martin. Les charpen- tiers et les forces de l’ordre allaient s’affronter de la ma- niére la plus sanglante forsque Monsieur Thiers arriva sur les lieux. Comme il était monté sur Jata, toute la foule et tous les soldats éclatérent d’un rire homérique ! Un rire qui désar- ma tout le monde, évitant ainsi certainement des morts. Com- me quoi, le comique est une arme redoutable pour tuer le tragique... Grace a une chévre, le géné- ral romain Sertorius assura son triomphe contre les Barbares. Il fit croire a ces derniers que cet animal qu’il aimait beau- coup, et qui le lui rendait bien, était en réalité un Dieu. Sur quoi, les Barbares se proster- nérent devant la chévre. Et de- vant Sertorius ! Par contre, Hamilcar, le pére d'Annibal périt par ta faute d’un lion. Un lion fidéle qui le suivait partout et mangeait dans sa main. Les concitoyens d’Hamil- car se dirent en effet que, s'il savait dompter les lions, il n’au- rait aucune peine a les asservir. 56 Et... ils firent périr Hamilcar ! Quant au lion, on ne sait ce qu’il {ui advint. Peut-étre dévora-t-il les assassins de son maitre ! Quant au soup¢onneux Mithri- date, il avait trouvé une maniére bien a lui de remplacer les sen- tinelles chargées de veiller sur son sommeil lorsqu’il partait en campagne. A l’entrée de sa tente, il y avait un taureau, un cerf et un cheval. Ces trois gar- diens, servis par la finesse de leur odorat, sentaient tous ceux qui, de nuit, faisaient mine de se diriger vers la tente. Ils dé- clenchaient alors un vacarme qui valait celui des trompettes, réveillant ainsi Mithridate. Mais revenons a des animaux domestiques de taille plus mo- deste. «Les pachas aiment les bétes fauves, a écrit Théophile Gautier, moi, eh bien moi, j’ai- me les chats ! Les chats sont les tigres des pauvres gens ! ». N'est-ce pas une jolie pensée que celle du poéte d’« Emaux et camées » cont la main preste aimait @ caresser la fourrure moelleuse des chats. Drailleurs, le compositeur Massenet dut, en partie, sa carriére a... l'un des chats de Théophile Gautier. Compléte- ment inconnu, le jeune Masse-net vint un jour trouver notre poéte en le priant de lui céder Tune de ses ceuvres afin de la mettre en musique. Gautier allait refuser lorsque, soudain, le jeune homme prit fort déli- catement dans ses bras la chatte Eponine, la préférée du poéte. Et il se mit a la caresser longuement, a lui faire mille agaceries et gentillesses. Vain- cu, €ému, Théophile Gautier donna alors son livret € Masse- net. Et Richelieu, le terrible Riche- lieu } Eh bien, il adorait les chats, lui aussi. I] en avait qua- 57 torze ! Quatorze qu'il mit sur son testament afin qu’on prit soin d’eux aprés sa mort. Parmi ces quatorze chats, il y en avait deux qui s’appelaient Racan et Perruque. L’histoire mérite d’étre contée. Un jour, le poéte Racan fait visite a Richelieu. Par un temps de grande chaleur. Ce qui fait qu'il se débarrasse avec beaucoup de simplicité de sa perruque et la pose dans un coin du salon. Au moment de repartir, lorsqu’il voulut la remettre, il s'apercut avec Riche- lieu que la chatte préférée de notre Ministre venait d’y dépo- ser deux chatons. Lesquelsfurent Racan et poéte toujours habile a flatter son maitre. immédiatement baptisés Perruque par notre Byron, le romantique qui pro- mena sa langueur sur tous les rivages se faisait accompagner d'une escorte de chiens et de chats. Il éleva un monument a la gloire de son fidéle terre- neuve Boatswain, faisant graver sur la pierre que : « Dans I’indi- gence et la disgrace, deux chats ont consolé Le Tasse... ». Revenons a Racan. II avait une levrette qu'il adorait mais qui avait le vilain défaut de mor- diller tout ce qui lui tombait 58 sous la patte. Elu a l'Académie Frangaise, le poéte rédige avec le plus grand soin son discours de réception. Puis il s’'en va pour un moment. Sur quoi, la levrette n’en fait qu’une ou deux bouchées. Le jour de la récep- tion, Racan, trés digne, se léve et déclare a ses nouveaux col- légues « Messieurs, j’avais prépare, je vous le jure, un fort beau discours. Hélas, ma le- vrette me l’a mangé, sans res- pect pour votre Académie. En conséquence, il faudra vous contenter d'une improvisation ! » Finissons avec une belle his- toire ! Le Roi Henri VIII d'Angle-terre possédait un perroquet auquel i] tenait beaucoup plus qu’a ses épouses. Des fenétres du Palais, le perroquet enten- dait, et répétait ! chaque jour le cri que les gens qui voulaient traverser la. Tamise langaient a gorge déployée : « Hola, bate- lier, un canot !». Une belle aprés-midi, le per- roquet, brusquement saisi par l'amour de la liberté, s’enfuit a tire-daile. Mais a tire-d’aile pas trés assurée ! Si bien qu'il choit en pleine Tamise ! Alors, de toutes ses forces, md par le souvenir de I'habitude, le perro- quet lance un dernier cri : « Ho- la, batelier, un canot !». Sur quoi, un batelier arrive, le sauve, reconnait le perroquet d'Hen- ri VIII, le porte a son Roi. Le- quel, ravi d'avoir retrouvé son cher oiseau, récompensa de la maniére forcément la plus roya- le, 'heureux marinier de la Ta- mise. Si les épouses du mo narque avaient su s'attirer les bonnes graces de cet animal précieux et tant aimé, qui sait !.. peut-étre n’auraient-elles pas couché a la Tour de Londres et eussent-elles conservé leur téte sur les épaules un peu plus longtemps. Gilles PREVAL. 59TELEFON RHA PING i Eh Boy. ii Bee Se re eae PENDA, ‘: MENT OR + LIM SEiveie Marouus han CIDE. b ENFERM Ce Roady, Be Fae PACIEIQUES,.. DANVY REUSSIT RES ATRODUIT Oiie PISCE DAN 1A a“ wane ENTE PRATIQUEE A CET EFFET, nanny Coueisa ie ior BICYCLETTe SUR LE CADRAN. 60HI tH! MEMES) PAPA MVAPERGOMT PLS QUE QUINZE, SECONDS...) IL NE SE Dot PAS ON INSTANT FONGONS” DANS La, 3 QUE CEST TELEFON “QUE vE CABANE ~ io 2 EN VITESSE / CHEVAUCHE 7 | [(qeenaanr, nans ca vita OO LE PERE_DE DANNY DORMAIT TRANQUIL} fl | LEAAENT.. y vag — L (Zant AinY SEIGNEOR, “ JS VAIS PREN-’ Que, Wms © ws me Yf AEN s0UE. | Cee OY [AGES nous SHEN OEMS Beue Pp — ‘PROFESSE! Qui PUISSE S" DANS LA WITURE’, Quest MAIS QU" US TAITES ? oF aut” VANS ty ° WU MON PER Z| ISTON, MAIS Pasig PARLEMEN- SER! i LAISSEZ Ni : 7 ON WA DE: 0 ‘ > “TEMPS EY ES DLE, NON ES ANN ie Ci aCES DEUX CRAPULES VONT EN RESTER COMME PELX RONDS DE FLAN LORS- QUILS S‘APERCEVRONT QUE 3E SUIS A LEUR POURSUITE |...DES PNEUS... ELLES. SE DIRIGENT VERS (A FORET. TERRIBLE! CA VA ME PI PRENDRE CES DEUX MM PAR 64TONNERRE s UN UELICOPTERE Les | ) ATTENDANT ! ET IL VA S'ENVOLER DANS: TS QUELQUES SECONDES Be IL YA UNE CARRIERE DESAFFECTEE JUSTE EN DESSOUS. IL. IL GLISSE LE LONG DE LA PENTE . “JE NE PEUX PAS LE ROIS LE VACARME 1 AAON LEFON A DD S'ECRAHOUILERBONTE DIVINE: L'ENDROI VILLE. DE FLICS! ET SUE COLONEL ~~ SESPERE QUE Al RAMASSE TOUTES LES PIECES ET GAL? JE SAVAIS BIEN QUE CE FICHU ROBOT NODS AMENERAIT DES ENNULS/TLS ONT SUREMENT FALE UE LE PROFES - SEUR POUR LE FORCER A CONSTRUIRE UN She Roast ENEDRE lus DERFECTIONNE QUE LE PREMIER, DE FAGON © Dir QUE TA PLIE SEN WiLE POUR ANS CATEL/ER DE SON PERE. MAIS OU, BON MAVAIS PAS PENSE par IL iT JE RETROUVE PAPA AVANT QUE" V INEVITABLE NE SE PRO- DUISE’ £7, AU BOUT DE PLUSIEURS HEURES DUN TRAVAIL HARASSANT. x tut GORE eS FS BE N /SbRE Re ong PARIDUT) POURVL OLE N( ESPERONS QUE, PASSE Pas De BETIS nee ARES £7 67ET, ANAINTENANT, LA AAINUTE EMOTION... JE VAIS LE TRANSFOR- MER EN QUELQUE GHOSE DE SIMBLE... UN SES PAR ae JE SUS GUN’ S| ELLE s'ABAISSE ELLE J] [ DAMNATION. Eve mais DE) VA ME “TRAN. =N PORE JUStESSEY Si ve Ne TROUVE Pas Bouee Wiis CACHETVE ILLIcb VELLE. RUS QUE DEINE Pas. AAE RATER UNE 68PEURELSE: » LES TRE SECONDES ETANy ECOULDES, "BOT RETROUVA. 9A. FORME UN, COURT CIREDIT? OOF, JAIME NUIEUX. GA.) AURATS QU” CHANGER iGit SbeFECIUEUSE LORSQUE HELLO, DANNY. HELD, AAELS UNE PIECE DONIC ~ La FENTE ET FAIS ta = DEMAN Et E AMODELE EST 7 cab A DE RECENT } Hus.” Peta NE'SE REEOSE RIEN SN BON. LA SEDLE PISTE QUE JAY EST LE YORKSHIRE... CERT DANS DIRECTION QUE SYEST ENVOLE, LELICDP- RE!{FRENTE SE@ONDES SONT PLUS QUE SUFFISANTES FOUR_ATTEIN- DRE LA GARE ET PRENDRE TRAIN DU MATING ae FOU! JE SERAL DANS LE YORKSHIRE “A MIDI ET JE COM- AAENCERA| IMMEDIATEMENT MES, VOUS AVEZ ENTENDU PROFESSEUR? CELA SIGNIFIE QUE, DANIS_QUELQUES MINUTES, VOUS ADREZ , DEFINITIVE- MENT ECHAPPE A DI QUE VOULEZ- VOUS DIRE? ST OU MW EM- MENEZ -VOUS?FA VEUT DIRE “MON CHER N PROFESSEDR » QUE NOUS, et REGARDEZ BIEN SAPRIST | UN REPAIRE SECRET GANS LA WON, LE FLANC DE TIAGNE. CETTE 5 EXACT: PROFESSEUR) SOI ENVIE DE QESCENDRE AU PROCHAIN ARRET ET DE COMAAENCES m1| UN HELICOPTERE 7 EN EFFET: SEN Al VU UN PAS PLUS TARD QUE CE MATIN. i 3 DIRIGEAIT VERS POUWN SE CRO! MAIS» AU BOUT DE QUELQUES A/LOMETRES... 7? GRUUUK ... DINKKK... DEAAANDE ACCEPTEE * RECULEZ... RECULEZ / 72Et) TRENTE SECONDES PLUS TARD... ae PAS LE MO INORE SIGNE DE CE DAMNE HEL ICOPTERE S1CE BERGER VA VU DISPARATTRE '5\ “SOUDAINE| MENT (LA CACHETTE DE CES CRAPULES DOIT SE TROUVER QUELQUE FART PRES “D'CI! ft Up CHOUETTE . JE SERAI A if! MW! KK BE BOUTON, EN UN RIEN I (Ae dae C ES TRANSEORMER. ELEFON_EN UETECTEUR Ue AL “ET FOULLLER CHAQUE RECOIN DE CETTE W/AQUUUA! CA -MARCHE ET MAINTENANT, ] VOYONS S'IL ARRIVE A RETROUVER CUELBPTERE! So CERTAINEMENT LA VALLEe! ty cs ( 4 Y 7 if win V4 s ware a ee = ooo r 2 LA GALERIE QUE Nous Avons Re PRISE, POUR ARRIVER Il, J EST EN PARTIE EFFONDREE.., QUELQYES MINUTES PLUS TARD..-QUI _PESCEND _ , Le PREMIER |r yy 7 LA _PROCHAINE HALHA! HA! ———— MENTEURS, TRATTRES! JE SulS Le PROFESSEUR Mac’ HILL, ET VOILA BRENOA, MON ASSISTANTE + NOUS SOMMES DES PALEONTOLO- GISTES ET Nous SsDE COMPAGNIE, LES DEUX GROUPES SE LE SURLENDEMAIN, DANS REMIRENT EN MARCHE ~.- 7 os WS ONT PES BouILLES A FAIRE TOURNER LE , LAIT DES NoURRICES! Boe BTEL 2E,M8 ) ri EXC p SSsstis:DES ARMES! (LES _CAISSES SE SONT DES ARMES / =, BRISEES ET ILS ONT VUs... > FM gO ON LEUR RENTRE DANS LE LARD... NUMERO DubioT PU VILLAGE:RESTES Icl AVEC eee PROFESSEUR | UATRE-CELS ET Mol fo S QALENs FeNtER (SSestivrer MARY ET Aes S BRENDA... TU ae /Heureusemenr, ae sa PROFONDES: A aa Leet ina dw 113ILS) SONT. 4_ MOINS DE Deux MILLES Duci/ ATTEND FOUR, ES FEMMES -JIRA EN Pouce -.- = cee FoIS, 3G NE LeuR YF, CAISSERAI MEME PAS CH LE TEMPS DE FAIRE z Poulk ! A ae POUR Les FEMMES, ON DECIDERA DEMAIN--- SAUTROP SOMMEIL xe DSA co ENE SAIS PAS QUI LES A, 1 TIAQUES DE L'AUTRE céTe . “y CPRORITONS- EN!fs, 8/Vous Nous tr Hy, BACNTERE? FAY Sy PLUS TARO J Sy ; ILS VOULAIENT NOUS ASSASSINER | LUINSTANT D'\4PRES-- as & AARROOOMM Me TEES) ( Ma's... MAIS. Yous. en P PATS (ma ESPERONS QU'ON NE BouSILLERA PAS LES RESSORTS!FRANK’ comment Te SENS-TU | PARLING ! _aaihiatiiadl, FRANK ! PROFESSEUR MAC HLL. CEST NOUS/ Zours TTRAPER! TOUT DE Me- ME J'AIMERAIS BIENPLUS TARD, AU BORD OU LAC MILSL.- - /NOLA, 165 POullles DE y LEXPEOITION . FORREST, QUI NOUS A PRECEDES Icl.t. sagen” COMME NOS PRéDécES- SEURS, NOUS EMBAU- SE trouve NON t reed ON LOIN, : Bic! POUR LES TRA: eet. Nous: VAUK' DE TERRASSE - KINOSHS ! MENT... + a BONNE CHAN-] Za . sb AV Wii aan i 118y y g We = PEND, Ei jo ( UN AVION DE ANT cE TEMPS. in Axion “ + S ROUGE - 7 r j 2Tu LAS Eu EN PLEIN MOTEUR | JE CROIS...Le RESERVOIR SERA BIENTOT & Séc; iL Nous, —e FAUDRA CONTINUER A PIED! PENDANT CE TEMPS..- SS Sk > YOIL ay eh f QUELQU UNS! Fe MAPPELE PAVeNAGHT!..J6) SUIS GEOLOGUE..- HEHE! JE pA. RIE QUE YOUS Ne SAVES FAS QUE LES CHUTES DE WALAMO. PEVORENT DES TONNES DE CAL- CAIRE CHAQUE JOUR:Ree SS bien]ENFIN BUANA SIMBA ET SES com- PAGNONS ARRIVERENT AUX CHUTES PE WALAMBO+.. i EST TRES SOLIDE! RE- GARDE St.TANT PIS! 3€ (evry MEV ARB) La Myepie Du adoLo- NiAURAL Que) > ves VEILLEU- Jegpiie HUT PROV DENTIEL ces peux? BF Ses Sites ous SEY foul Bwana SiMe ET a . EVE D" STUDER Bes eT. MOS <= A{AU SECOOCOURS || |p i" & KAA oo opou TAS Ete ayn (Eule EST Yeas ou Toutieue DANT Tour ie DRESSEE Nous AIME BEAUCOUP retest a ET EWE N‘ATAQUE | CeResse 2 io QUE LES GENS Ou! 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