BIMENSUEL N°37-100 PAGES-0,50 N.F 7% | \e sae SN S 7,50 F. Belges — Maroc 58 FMq LES GRANDES VACANCES ETAIENT 4RRIVEES ET JIM TOUT HEUREUX O'AVOIR RETLOUVE SEB AMIS , ‘T SE MATIN-LA VERS LE f) Yi cous RS FLEUVE, Pole UN “BAIN MATINAL. a Mais 4 UN DETOUR Du SENTIER DE SE_BAIGNER! L'EAU || eS TeOs AMIS ARRETENT LEUR’ Bor ETRE MERVEILLEU- 4| Joyeuse ouese ... EMENT FRATCHE | au Y ao QuiEST-CE Que, bs cesT? r ~ R TRES TOM- Rear > BES Dune AUTRE € PLANETE KAR |, ae E> J C'est suR! an «) OBSERVONS- LES. [SOUS LES YEUX DES TROIS Que EON LES ans EBQHIS, LES HOMMES TRANGEMENT ACCOUTRES Maman 1. QUIK... JFOULLENT LEG BUISSONS, HA) 24Maie SE N'Ai Vu OE LEURS BIZARRE BAGLUETI Bf PARES MoNsTRES! | 7ES METALLIQUES AucUN *, SIGNAL! AKIM parait le 1* et le 15 de chaque moistL Oul: MISTERY Fart UNE cCHA- \"Z" NE SE IL eT CONVAINCU QUE Leur ePou- REND PAS LE Sous-SoL DE LA VANTABLE AVEC | COMPTE DE BUNGLE EST RICNE EN CET ENGIN SUR/ LA_TEMPERA- "MINIOS" ET LE RESTE Lui IMPORTE PEL [(oarprEs iui, ~ | [7 SE Sais SEULEMENT QUE ce vavios” 4 \ LA CHIME | (LORSQUE CETTE LAMPE QUE lee MEMES 3, ) Wa saMals| | Nous PogToNs Sue LA POI RACTERISTIQUES )( Ete” MON’ TRING S'ALLUMERA, C'EST QUE C'URANILM | Fort | QuIBLLE AURA DECELE UN, , eT Le PLUTONIUM) —— DE MINIOS". CONTINUONS ' AIUSTE patente ECLE NOS RECHERCHES./ BIEN TON NE S'esr Jaémais & FA VIENDRA } CASQUE! LES ALLUMEE ! RADIATIONS: oe i MINIOS —SONT DANGEREUuSsES !E7_LENTEMENT, LES _DEUF HOMMES | [ QUELQUES MINUTES PLUS TIED, S'ELOIGNENT ‘DANG LES BUIS~ | |2/M RENDLIT Compre 4 AKI 69) DE 84 DECOUVERTE.., 3E SAIS QUE LuRANIUM ET LE PLUTONIUM SERVENT 4 LA STRUCTION Ly fo Oe eA Wo die 36 wal AMAIS ENG BATENCU PARLER DI 105! TE RE IS ry Pe REA WEA?ZKIM | DES ETRES ETRAN’ GES SE OIRIGENT VERS LA PLAGE ...ES-TU AU 5 COURANT: VOILA DIX JOURS QUE Nous CHERCHONS DE C:ALBE AL Sole s..3E SulS EXTENUE | REN: TRONS FAIRE NOTRE RAPPORT! SererTES DEUX HOMMES LONGENT PEW DanT uN LONG MOMENT LE fe/~ WAGE, BU/S PENETRENT DE NOU- Vaal DONG 20 JUNGLE ++ = (.. PouR PENETRER DANS UN PETIT) Bogaye! du cOsue CUBUEL, SECBVENT DES CONSTRUCTIONS QUANT 4 CETTE CL6TURE DE Fi DE PER JE NE SERAIS PAS SURPRIE Si ELLE, | STAIT ELecTRIFIEe! + 4PRES UNE HEURE DE MaR~ CHE, 4S ARRIVENT DANS UNE GRANDE CLARIECE, QUILS TRAVERSENT De PORT EN ‘ES MAISONS ONT ere CONS TRUSTED AVEC Du MATERIEL PRE-FABRIQUE |LES DEUX HOMMES SE DIRIGENT VERS |[ 7 NEGATIF,, MISTER = KUNE _DES MAISONNETTES, DONT LS EUH!... ETES -vousS PORTE... SUR QUE CE MINIOS.. TauT EN PARLANT, MISTER 2 4 (File UNE PAIRE DE GANTS PAIS ET S'EST APPROCHE DU Z COFFRE-FORT QUTL OLIVE, oH \Y AE VAIS VOUS MONTRER 2 ONE PIERRE CONTENANT BIEN Que LA QuaNTITE DU MMINIOS Ts a DE MINIS SOIT “TRES MINIME, SA_PUISSANCE EST | INCROYABLE |ce RECIPIENT NOUS 1 PROTEGE DES RADIATIONS! ETEIGNEZ TOUT! CETTE PETITE, PIERRE A ETE TROUVEE DANS ION | JE_NE SAIS Cetre Rest . PAS EXACTEMENT OD, MAIS est Z MONS DUN RAYON DE DIX KILOME - 5 TRE! LA LAMPE ROUGE, S'EST )MIENNE ALLUMBE!.. (AUSSI BLOUISSON, QNE LUMIERE IS'EZCWHAPPE DE LQ PETITE PIERRE V7 Y; 7S ABLE! YET VOILA a mons es A PRESENT, APROCHEZ VOS APPAREILS DE RECHERCHE |LES DEUX_CHERCHEURS _SE SON REPRENEZ DONC Vos RE - RETIRES ST NOUS LA RELACHERONS ET Noug LA SUIVRONS ! ELLE gee eQucuiga A SA TANIERE ‘SOF DEGUVRIRO} eS ee. BETES NE SOIENT &@ Peecieue MINGRAT I as TUBES SIMPLEMENT SF ErouRDIES! — lo-MMES SONT FAITES consTRUIRE UNE GRANDE CAGE AU CENTRE Ou VILLAGE! LES ANIMAUX CAPTURES Y SeRONT ENFERMES! DECISION PRISE, AKIN) RETOUR-| DE GES AMIS:.. SE SONT CeR- TAINEMENT DES €ROIS-TU QUILS ONT tcl DES LaSoRAToIRES, AKIM'S CA M'INTERESSERAIT OF LES VISITER | al o ‘Z LOCCASION wen{— ce | Nous POURRONS BSS uF = S$ Dee. omy N ii etZe UBT, SUNANT UN GROUPE LORSQUE LUN D'EUX..- Be LIONS SE CHAURFAIENT AU ve JESPERE QUE LA DECHARGE N-éTar PAS TROPHATONS-NOUS EN TOUT BI) ViENS Midiber & SouLe- LE RAMENER VER LA BATTERIE ET LA, Mi i. PLAQUE METALLIQUE, HANS! IL VAUT MIEDX_LES EMPOR- TER AVEC NOUS} AHL VOILA HANS ET KARL" PRE! SE! PAREZ LA CA -B-FOUR L'ENCORMIR ? NON! IL EST VIVANT + x CEPENDONT: HANS ET KARL COMMENT ONT-ILS AIT SONT REPARTIS EN CHASSE-+ ALLez , VIEUX JIM: SLIVONS cette Seer! JE VAIS LA OEPOSER PAR ICl--- NOUS POUVONS LAISSER LA BATTERIE DANS 4 JEEP! PLAST AF ONS LA BUISSONS SONT UNE UE _ELECTRI- NTE iE PRES LA : Les aeJE COMPRENDS: DES QUE GAY, EST! LA PLAQUE EST }|| LES ANIMAUX POSENT LEURS POSEE...METS LE COURANT , PATTES SUR ‘ kare: A = ELEC. ss TRIQUE. IT PERORE = S| CONNAISSANCE ! ~wf =i . p FAUT oar a K cuctne een i AKIM SANS wes 1 BA TarceR | A , Ban, “Sos Ne A JEEP REPARTAIT CAMP, EMPORTANT LE AQUVRE KAR EVANOU/-+~V Axim : ws. C'EST POUR S'EN POSENT DES PIEGES ELECTRIQUES! ILS SERVIR POUR LELIRS b VEGLENT EVIDEMMENT CaP- EXPERIENCES | C'EST acces ea CERTAIN | JE LE CRANG AUSSI IMA! \| | 2u_ MEME WSTANT, 1A PETITE a Fauy DELIVER NOS Amis! (OUT MORS D'HALEINE »~ Nou CETTE NUIT Meme. Quik... AKIM. ; AkiIM! MAITRE ‘aoea FOUDRE 7; FOUDROYE TI: 2IM-++ KAR, A SON TOUR, 4 ETE CAPTURE PAR LE PIEGE éLEcTRIQ OU, Ziet L NETAr QUEVANOU!! RAS- SURE SOI! PENDANT CE TEMPS, 2U Camp...|[7s! JE TROUVE OES TRACES OF [> MINIOS_ DANS LEURS GRIFFES , LES MAGNIEIQUES SPECI- ~ NOUS SERA FACILE DE, RE MENS!... DES DEMAIN ,J'EXA-|| TROUVER LE GISEMENT! MINERA] LEURS PATTES! IL FAUDRA LeUie Fal es Nous: Vole... ATTENTION! NE Tou ~ CHEZ “SuRTOUT PAS LES b, BARGELESIILS SONT CERTAI- P NEMENTJE VAs FAIRE SALTER, LA SERRURE ! FAIS LE Gust, Jim! OH! CE CADENAS EST SOUID} aeTour, 1S PORMENT. PAISIBLEMENT + WES INSTANTS PLUS vako) Se SPURL Pe Cer LE Restez (GREASPR Behe! S r| SUIVEZ-MO! EN SILENCE! i 7 a PEL -—19-COURAGE, KAR! AVES CES PIQUETS DE BOIS, NOUS NERISQUONS ES! KAR NOUS AIDERA { BIENTOT , LES BARBELES ee ET ARM, ET LES SENS BRISES LIVRAIENT ENFIN SELINGAIENT VERS LA LIBERTE « —20-—gp Quanr Aux CARER EO Us ETE DEMOLIS A cout BATON... SEUL UN ere HuMAIN A PO FAIRE GA! ANDE & Le SauvVaGe Qui EST VENU OuvRIR LA CAGE DES PLAGONS NOTRE PIEGE DANS _| ces “RocHEeRs! allesMAIS LA PANTHERE ND Pas LE AMENONS-LA Tour, 7 De SUITE Al CAMPEMENT: BRAVO, Amis! PoRTEZ LE FAUVE DANS MON LA- BORATOIRE TOUT DE Suite t SE VAIS EXAMINER CETTE BOuE QUELLE A ENTRE MS LES PATTES..- = 27=ENTRE - TEMPS, IGNORANT LA VICTOIRE! IL Y A UNE DECOUVERTE MMOS? 3E GRRR... CE SONT LES ME-} MES QUI MONT caPTURI 1 3E VAIS PREVENIR AKIN! IL PACT 4 OUl!L NOUS ALLONG LEUR | INTERVENIR « || DONNER UNE PETITE LEGON - MAIS ATTENTION, KART “IL FAUT LES EFFRAYER SEULE- MENT! ~23-—LES TROS AMIS FILENT LES VOLA! A Nous COMME DES FLecHes vERS\ 4 DE Les CAPTURER Le RENDEZ-VOUS DES AIDES DE MISTER Z-+- ET BOUSGUEMENT, LES TROIS AMIS (EN UN TOUR DE MAIN, LES DEUX BONDIESENT Sue LES HOMMES, HOMMES SONT LIGOTES COMME SURPRIS ET TERRORIGES... Des SAICISSONS« ... £7 INSTALLES DONS eur JEEP... DOMMAGE QUE KAR NE SACHE PAS CONDUIRE ip — Kes p Pr Lorsquil Est VEN omy Ne CheRcHER Au ESE LA BA tece Ly A quelques Ada Wi vois 2? 5 —24-APRES QUELQUES ESSAIS ATTENTION, AUX_} INFRUCTUBUX ,'L4 JEED DE TOUuRNANTS “KAR! MaRRE SOUDAIN COMME UNE FLECHE ~~~ GRRR...5E CROYAIS QUE CeTAIT BEAUCOUP PLUS FACILE OE CONDUIRE CES = MOB EIR «-. MAIS ELLE EN FAIT UN PEU 4 SA TETE | ATTENTION, KAR REGARDE CevAi 25OUF! HEUREUSEMENT LA RVieRE ETAIT Presque & Sec! Me F/NALEMENT LE CAMP EST EN Wwe ET-= =o RR wwe VOU: Volta BENSLS! EN Ai cer- HINE IABOLIQUE! LES DEUX MALHEUREUX CHAS — SEUS EONT Que vous esT-10X RIVE? Qul Vous A LIGOTE: Ca Sonre 20 = 26 = MISERICORDE ! QUAND CE Vovace VAqTaIL FINIR? La Jeep, JPRES UNE EMBOR Ale ad "Beau mM, EL aIRIERE WUM,-, QUEST-CE_ Que ¢A VEU ORE? LA JEEP SANS ConDUCTEUR *?CesT LA VERITE! LES DEUX || QUELQUES HEUCES PLUS TARD, LES SAUVAGES SE NOMMENT DEUX HOMMES, RACONTAIENT 4 LEUR ZkiM &T JIM! ILS SEMBLENT| |CHER LEue MESOVENTURE «. « PARLER AUX ANIMAUX ET LES COMPRENORE PARFAITE- | Les Plus FEROCES ANIMAuUX OBEISSENT| 4 CES SALVAGES, COMME. IDES TouTOUS D:APPaAR- i TEMENT 1 PEU IMPORTE,MES AMIS! DES TRACES DE MINIOS ETAIENT Dang J'Al UNE MAGNIFIQUE NOUVEL- J] Les PATTES DE LA PANTHERE! VOUS! Le & VOUS ANNONCER? SOUVENEZ-VOUS DE LENDROIT of VOUS L'AVEZ JE MEN SOUVIENS' PARFAITEMENT | TRES BIEN !NOUS PRENDRONS LHELICOPTERE Pour ALLER INSPECTER CETTE REGION TU MIACCOMPAGNERAS | HANS. DIRECTION SuD-EST, Mi en —17-J VITE) METTONS - Nous 4 L:ABRI! ILS SIELOIGNENT! LA LESON SeRVIRA, (Us ONT vouLU JesPEee. ET MAINTENANT, NOUS EFFRAVER! ATTERRISSONS ! Voic! LIEN” y DRoT, Ob NOUS AVONS CAP. TURE LA PANTHERE NOIRE!) —28—i METS TON CASQUI Nous ¥ vos! ¢| ois poureiSNe teouvER LA ZONE RADIO-ACTIVE DUN INSTANT 4 L'AUTRE! G LRT 36 VO unis PERDUS! c pasa he Eee if DANS CES ROCHERS! SA TANIERE NE DOT PAS | pasa he Eee if LOIN | De Voor fy PLUS €”, N = REGARDE DEVANT JO zie! VoLA CE Que NOUS SHER CHONS! LES DEUX PILOTES NE SON PLuS AZ BORD, Amis! W Brau? Quoi 3 oul:se suis Le PROFESSEuR JEFF ARISTON , DU COMITE INTERNATIONAL DE RECHERCHES NuctEAl- MAIS APRES LA DECOUVERTE DU MINIOS, 1.4 DISPARU , EM- PORTANT AVEC Lil TOUTES MES FORMULES &T TOUS MES DocuMENTS! JE ROIS Que VOS DEDUCTIONS] SONT SUSTES , PROFESSEU, UN CERTAIN MISTER 2 EST ARRIVE DANS LA JUNGLE, AVEC TOUTE UNE| EQUIPE.., IL SGT CERTAINE - MENT Oe VoTRE <2. ET JE VIENS DE DECOUVRIR ET DIGOLER UN Nouvel ELEMENT \LE MNOS! J'ETAIS SECONDE PAR MAX RIDER, UN CHIMISTE QUE SE CROYAIS HONNETE ET LOYAL !.. J OR, APRES ETUDE DU TER RAIN ,JETAIS ARRIVE 4 LA CON- CLUSION QUE LES COLLINES RO CHEUSES DE LA JUNGLE, CONTE - NAIENT OU MINIOS... JE SUPPOSE DONC QUE RIDER EST VENU ICI CONTINUER MES TRAWAUX POUR SON_PROPRI MENT DE MINERAL, cae LES TRAVAUX_ ONT COMMENCE ET SONT MEME TRES i AVANCES! —44—ce MisTee z EST CERTAINEMENT NOUS ALLONS Vous B/..L4, Vous PRE z QueLque rato Et WACHES Que KAR PORTE PRECIEUSEMENT. Ps N ear —45—C'EST DONC PAR LE FLELVE FUE SAUL ATTAQUERS! Nous ALLONS’ LE “REMON’ er Avistbons LoeeouE SERONS 4 SING, MILLES, EN AVAL Du CAMP) Du cote CE | LA JUNGLE. ET LES CROCODILES, \ 3" : AKIM 2 eee Le PLeUVvE Nous Y VOICI: EN EST POURRI ET LS | AIDEZ-Mol_ 4 ABATTRE NE SONT PAS TOUS cet ARBRE, AMIS! NOS AMIS?! L4RBRE Er SES FEUILLES SONT UNE EXCELLENTE CACHETTE FLOTTANTE —46—TRAVAIL ANT SANS ARRET PEN \] ba EMBARQUEZ, AIG CE NAVIRE SPECIAL NOUS 'MENERA CAMPEMENT ET SES BRANcues FEULLUES Nous RONT DES YEUX INDISGRETS | ET TANS QUE LA, MIT TOMBE,LES TRUS AMIS CACHES BANG Le Feulla- Gage Larsen acum au Fie De ee ranataat DIRIGEONG LARBRE Vers LA TERRE AVEC NOS MAINS! LE” courat DIAILLEURS, NOUS Y PORTE! -—47-ATTENTION! QUE PERSONNE NE BOUGE'! “Ly A, DEUX SENTINELLES!... DES QueLtes| AURONT LE GOS’ TOURNE JE AU MEME MOMENT, DONS LE La BoesTeiee DE MISTER Z. TOUT EST PRET POUR LA GRAN- DE EXPERIENCE ! 5E POURRAIS. Désf FAIRE SAUTER UNE DONNERA! Le SIGNAL ET MONTAGNE ENTIERE | NOUS SAUTERONS & FERRE! SE N'auRAI Quis suIVRe POINT PAR POINT LES INSTRUC- TIONS TRACEES SUR CES QUELQUES DOCUMENTS ET La’ PLUS PUISSANTE ARME DE L'WISTOIRE, SERA Peete: PU APRES, MISTER Z ENCORE UN PEU DE QUITTAIT SON LOBORATOIRE ... TEMPS ET JE SERAI PRET & CONQUERIR LE MONDE } — 48PENDANT SE TEMPS, LES SENTINELLES , LOW De SE. Qouree BE cE QUE _L'AR- BeE DISsi— MULAIT. DANS. SON _FEULLAGE, SE _SONT, SLOIGNEES OU Rivace_ ET. AkiM ET SES BANS SDUTENT ET MAINTENANT, AU LABS: RATOIRE | IL SAGIT DE Passer p'uN SATIMENT & AUTRE, SANS SE Fane Repérer! _PAREAIT) NoTRE DEBARQUEMENT S'EST EFFECTUE SANS Nous Y voici! se VAIS MY INTRODUIRE PAR CETTE, FENETRE --- MONTEZ LA GARDE eT LANCEZ LE DU CoRBEAU SI, QUELQUIUN VIENT, eet ET ENIJ2MBANT LA FENETRE, AKI] SE LOISSE GLISSER D LINTERIEUL, OU LABORATOIRE - -~ CE NEST Pas TRES PRUDENT D'ALLUMER «+= MAIS DANS LE Nol, 3E NE TROUVERA JAMAIS CE QUE SE CHERCHE —49—te CA SHANE (Me SSRI ces PAPERS le BUREAU. LE TEMPS PRESSE, MAIS CES BOMBES £, MAIN, FOURR: ‘Tet VauT MIEUX PEEPS x : fy i Se Lisez nos magnifiques albums: BRIK - PERCEVAL - TOTEMPourTANT JE Lal \/ iL vaur Y JE M'EXCUSE DE Yous vo Sorta tL MIEDX CERANGER, PROFESSEUR, Mais ty A De LA cu MIERE DANS VoTRE | LAPORATOIRE : zE ME SOUVIENS: LES TROIS HOMMES COURENT, PARFAITEMENT ,DE L'AvoIr VERS LE LABORATOICE ET Y STEINTE | VITE/ALLONS VOIR 4| 42GVENT AU MOMENT OL KIM. CE qui SE PASSE! S'APPRETE £ SAUTER AU DEHORS- Je Suis PRIS 1S ONT Vu LA LUMI@Re eT : Lee Vous Qui a ent REGARDEZ! Vola VOTRE Visireuz Qui a = PUT, CHEE! ne - AKIM - DAKOTA - MON JOURNAL Spécialssc est LA SUR LA | Tirez! MAIS TIREZ Donec! FeEN@TRE ATTENTION, FLUYEZ, ALLEZ ILE TEMPS DE JM! 3& vous REIOINS } RENDSE A’ MISTER 2 gugeques, WEUREUSEMENT QUE L'6es-)||( UNES De SES Bomee: CUuRITE NOUS PROTEGE! MAIN ET J'ARRIVE! DE TouTES SES FORCES AKIN HANCE SES BOMBES EN PLEIN LABORATORE ET 4USSITST, ene EXPLOSION FAIT VOLER TOUT EN ECLATS Ni) ES i ou PRENANT SES JAMBES A Son COU KIM BAT EN ere ATE SUM) Ee SES” AMIS. G41, MALGRE SE 28 OES; SONT "RESTES PRES DE Lai « —52—VITE, AMIS! RETOURNONS ous VoILa our! NOTRE BATEAU sae LA- ARRIVES! VITE, EMBARQUGNS. 4 BorAToRE EST DETRUIT ! LES FORMULES! NOTRE J'AL MISSION EST REMPLIE ! F=_V JOUANT DES MAINS ET DES PIEDS, TES TRolS ONS REPOUSSENT ARBRE LOIN DU RIVAGE ET Bienrey,_ LS SONT ENT AINES TL A FA SALUTES MON LABS: ALLURE PAR LE RATOIRE MAIS S'EN Al UN AU- Re SUR Le CHANTIER -.. Qual A TOUTE COURANT -~ 6, ACEROUPISSEZVouS]} AUX FOPMILES,JIEN POSSE! DES PHOTOCO: f --cdideanliinae ame G0uS LE FELILLAGE , AMIS: eet PLUS PRUDENT! Bae NERS VEREONE. cot . ONT Ful VERS Le Reuve.s. Quon Les lisez Tous POURSUIVE "ET QU'ON ME eae RAMENE CE SAWAGE MOIS PRO- MORT Ou VIF! CHAIN Ld - FIN DE CETTE “Pas- SIONNANTE AVENTURE "ZIG A LA — 53—LA FOUDRE et ses fantaisies Durant des siécles, les hommes ont cru que la fou- dre était une manifestation de la colére divine. La pre- miére théorie d’allure scien- tifique fut fournie par Des- cartes. Cette théorie était d@ailleurs fausse. Elle pré- tendait expliquer la naissan- ce de I’éclair par la chaleur développée grace a la compression de lair entre deux nuages. Cest Stephen Gray qui parla le premier d’étincelle électrique (1735). Par la suite, les savants, s’ils avouérent souvent leur ignorance sur bien des points, ont étudié longue- ment le phénoméne. On sait aujourd’hui que, a chaque seconde, cent éclairs tombent sur notre globe (qui peuvent attein- dre la vitesse de 90 millions de kilométre-heure !) et que la chaleur dégagée par la foudre avoisine 30 000 de- grés. On a également cal- culé que la différence de potentiel entre le sol et le nuage peut atteindre cent millions de volts et que le « tonnerre » tue cent fois moins sirement que... l’au- to : (3 a 10 personnes par an et par million d’habi- tants). DES CAPRICES EXTRAORDINAIRES... La foudre, on le sait, est capable des caprices les = 54—plus extraordinaires. Dans le domaine du drame, les gazettes de toutes les épo- ques ont rapporté des faits qui ont frappé l’imagination de toutes les générations. Ces huit moissonneurs qui, a la fin de autre siécle, prenaient leur repas sous un chéne ne furent-ils pas foudroyés, ensemble, d’une fagon telle que les témoins qui découvrirent cette tra- gédie, plusieurs heures plus tard, interpelérent des ca- davres! Les malheureux étaient restés dans la posi- tion exacte du moment. Les uns levaient leur verre pour boire, les autres coupaient Jeur pain; un petit chien, également inanimé, gardait la gueule ouverte dans I’at- tente du morceau que lui tendait son maitre... On croyait jadis que la foudre épargnait les puis- sants. La « preuve » de cette étrange protection est fournie par plusieurs événe- ments enregistrés par IHis- toire ; la foudre, tombant sur la litiére d’Auguste, Jaissa l'empereur indemne mais massacra tous ses ser- viteurs, et le cheval de Charlemagne fut foudroyé sous son cavalier, qui n’eut, lui, aucun mal. On emplirait des volu- mes A aligner des exemples curieux, pittoresques, ex- travagants, fournis par le comportement malicieux du fluide. Vers 1880, un vieux loup de mer, le comman- dant Rihouet se tenait sur la passerelle de son navire lorsque éclata un orage grandiose. Tout a coup, léclair atteignit le marin et... l’épila soigneusement. Si soigneusement que le commandant demeura chauve toute sa vie et que, —55—plus jamais, il n’eut a faire usage de son rasoir ! Dans la nuit du 20 au 21 janvier 1874, un violent orage éclate au-dessus de Rochefort-sur-Mer. Et, sou- dain, sous les yeux effarés dune famille rassemblée dans la piéce commune, une boule en étain, placée sur la table, disparait, tandis qu’un vase de faience qui se trou- vait a cété, se métamor- phose en vase de métal ! L’étain s’est répandu sur lui en étamage brillant. Au méme instant, la bordure dor d’une tasse a thé, vola- tilisée, se dépose a Tinté- rieur et @ l’extérieur de la tasse, en un enduit du plus beau rouge cochenille... LA FOUDRE QUI SOULEVE LES MURS ! Plus prés de nous, on cite ce tour de force: 4 Man- chester, la foudre frappe un mur de briques du poids de 26 tonnes ; elle déplace ce mur sur une largeur de deux métres, sans le renverser et sans faire tomber une seule brique ! On a cependant calculé que la foudre est plus béné- fique que désastreuse. On l’a vue remettre en marche de vieilles montres en panne, guérir des sourds et des aveugles, et méme ren- dre la raison 4 des fous (bien avant la thérapeutique de J’électrochoc !). Enfin, son prodigieux pouvoir fer- tilisant suffirait 4 excuser ses caprices. Chaque année, les orages ne précipitent-ils pas sur la terre plus d’un milliard de tonnes d’engrais gratuits, sous la forme de nitrates ? LA CRAINTE DU « FEU DU CIEL » De nos jours, la foudre = 56—n’offre plus aucun mystére. Certes, elle effraie encore beaucoup de gens, a juste titre d’ailleurs, puisque, dans certains cas, elle peut se montrer terrible et dévas- tatrice. Mais il faut se reporter aux temps anciens pour imaginer a quel point nos aieux redoutaient ce quils nommaient « le feu du ciel ». Pendant trés longtemps, bien sar, ces manifestations électriques ont alimenté la peur des hommes. Il est d’ailleurs curieux de remar- quer que cette peur était plus grande chez les peuples méditerranéens que chez les peuples nordiques. L’expli- cation en est simple. Dans le Midi et sous les tropi- ques, les orages sont beau- coup plus violents et dévas- tateurs que dans le Nord. Cest ainsi que les Scandi- naves et les Finlandais appelaient les orages de tous leurs voeux, car ils avaient remarqué que les pluies comportaient une action bienfaisante pour les récoltes. Les Finlandais pré- tendaient méme que le bruit du tonnerre provenait de ce que leur divinité avait ren- fermé des provisions de grains de blé dans un coffret de fer, qu’elle secouait pour la grande joie des futurs récoltants. Vous savez que, pour les Grecs et les Romains, les éclairs étaient forgés dans Yantre de Vulcain par trois monstrueux cyclopes. Le terrible et irrascible Jupiter, suivant ses besoins et ses coléres, puisait dans cet arsenal pour épouvanter les hommes qui avaient mérité sa vengeance. —s7—Diavolo Corsaire de [a Deine 24-4 Dysyowo ev e1GODON VONT RE: REGARDEZ BIEN <1 QUE JE VAIS FAIRE Dt ‘CE BOUT GE CORDE ALLONS, VENS.>) RIGODON / = a UNE NOUVELLE MISSION 5 QUAND, EN CHEMIN, RIGO- DON SARRETE DEVANT UN PRESTIDIGITATEUR.POUR LE NUMERO IE JE_VAIS. EXECUTER A PRESENT, J Al BESOIN DE VOTRE COLLABORATION TY NE VAS TOUT DE meme Sas ester | COM PLANTE LA LE RES: TANT DE LA GROSSIER SY MORBLEU 7 JE LAVERAT E /) CETTE INJURE DANS TON SANG / 7 (CESRS COMMENT OSES-TU. MANANT ? JE NE COLLABORE PAS fle PAUVRE DABLE SEST MS DANS LE) A —59—fe: (ON Pas DE PLUS, COMTE, ET VOUS VOUS COUVREZ, DE RIDICULE / u —— MAIS MYSTERY, TEL EST LENOM DU PRESTIDI- GITATEURSAIT SE DEFENDRE TOUT SEUL CULOT at Te BO tidgyy ‘ TROP /J HUME GOOTE (CRESS RRR EN RONDELLES ” {LA PLAISANTERIE, —60—MOUTARDE M’EST SUPREMEMENT ANTIPATHIQUE / SUIS-MOL. JE T OFFRE LU HOSPITALITE A * PISTAL CHE, V ‘QUE VOIS-JE ? DIAVOLO SOUSTRAT CHARIATAN A MA JUSTE COLERE) = IL ME LE BAleRA ; es ET CHER / LE SOR MEME, LA * PISTAGHE* LEVE LANCRE POUR LES LOIN- TAINES INDES. ET DEUX MOIS PLUS TARD. DOS REMETTRE UN MESSAGE ‘DE LA REINE A Sie CEDRIC, MAIS. IR DARVENIR JUSQUA WU, IL FAUDRA DEINE TROIS JOURN ENFIN... PUISQU'IL fe IFN Bese NOUS & DEBARQUER / TOUT EST y ABSOLUMENT, PARE ? APT) SG ous mene’ EN ROUTE / —61—— CEST AINS/ QUE COMMEN- CE lA RUDE MARCHE VERS 2 INTERIEUR. DIAVOLO IGNO- RE QUE DES YEUX ENNE- MIS L'EPIENT... [AUSSITOT [A CARAVANE DASSEE IES DEUX | | PUIS COURENT A TOUTES AMBES DANS JGUETTEURS SE LAISSENT COULER A TERRE.| | UNE DIRECTION INCONNUE. VIENS, RIGODON / PENDANT QUE LES MaRINS SSSERONT LE CAMPEMENT, NOUS “ALLONS JETER UN COUP DOEIL, ALENTOUR.. HALTE /NOUS PASSERONS LA NUIT ICI / aSOUDAIN , DELX LA- CETS SIF- FLENT DANS LAIR ET SENROU ~ LENT AU- TOUR DU COU DE NOS AMIS... PUIS UN GROUPE D‘INDIGE- NES SUR- GIT DES BUISSONS VOISINS ET L/GOTE SOI- GNEUSE- MENT DIA- VOLO ET RY- APRES DE IONGUES HEURES DE MARCHE, SONTADMIS EN PRE- SORTER. TU POURRAIS NOUS EVITER LES INJURES D'USAGE / gaia:: CEST, HELAS, AUX PAROLES eR PRONOS POURTANT, MA DOVE TIS VEULENT A Les BRERA DIAVOLO SE oN ROU TENOO! INTERVENIR ?, ee aS FAGOTS ET VOUS VERREZ —64—EN EFFET, A PEINE LE FEU EST-/k ALLUME QUUN PHE- NOMENE SE PRODUIT : LES FLAMMES MONTENT A UNE HAUTEUR VERTIGINEUSE TANDIS LES INDIGENES ATTERRES, SE erin oF AGEN RCE LE RIDEAU DE FLAMMES. ( eggs.(ELVONS VIBE cYAUT MIEUX AUSSITOT, NOS AMIS PRENNENT LE LARGE, MAIS DEJA LE SORCIER DE LA TRI- BU A FLAIRE LE STRATAGE- JUS E FENIMA | fi “tas tes BOUTS 4A POURSUI- Té EST VITE ENGAGEE ET LES SAUVAGES QUI CONNAIS- SENT 1A JUN- GLE COMME LEUR POCHE, GAGNENT DU TERRAIN... Cry pS CaS N'AVEZ_CRAINTE / ILS NE NOUS REJOINDRONT PAS... i 66i—:A CES MOTS, UN MUR SE DRESSE DE- VANTS LES POUR SUI - VANTS 2 LE SORCIER REFUSE DE 5° AVOUER VAINCU ET ORDONNE A SES HOMMES DESCALADER LE MUR... L REPOSONS -NOUS, UN PEU y INUTILE DE NOUS EREINTER’ Pic ET PIC ET COLEGRAM / VENNENT 4 AVOIR RAISON DE LETRANGE OBSTACLE —67—ET LE MUR DE DISPARATTRE AUSS/ MYSTERIEUSEMENT OU' ESTACAARU. 9] ok er. > a — 68 —AH / CETTE FOIS, JE SUIS TRANQUILLE / CELUL-@, TENTE DESESPEREMENT DE LU) ECHAPPER.. (~.'AL_ENFIN REUSSI A, SEMER, CEITE DAMNEE BUCHE / < LS BAST ALOO MITSU FENOMI ! (DEMI-TOUR, LES GARS 114 PANTELANTS, 'PLAISANTERIE A ASSEZ DURE!) EXCEDES, EPUISES, LES SAUVAGES S AVOUENT FINALEMENT VAINCUS... —69—QUELQUES MOIS PLUS TESTI TARO, DE RETOUR EN MABOUL DIABLE TQUE VOS-JE PDIAVOIO |] [OE SERAT EN: EN COMPAGNIE, ICORE, MIPRGNIE DECE PEU ADRES, TOUS DEUX SE RENDENT 4 BUKIN-GOM- ME ETTANOIS RECUS PAR GUD "HURLE... 1 © SOIT JEN GARDE ! JE VOUS DEMANDE- RAI_CEPENDANT. DE NE BAS AVOIR RE- COURS AUX DIABLERIES OE VOTRE AMI saaar {peanMON DIEU / DIAVOLO EST PERDU ! POURQUOI Al-JE_DON MA DAROLE POSS Y iC DONNI RENDEZ- VOUS, COMMANDANT, SQUDAIN, POUR EVITER UNE BOTTE, DiA- Sous Hee un Few MOeY VOLO CAEN TALK BAS OF GLSSE =T—(MAIS UN MIRACLE SE PRODUIT: EN TOMBANT. DIAVOLO HEURTE (A HAMDE IE RENO DANS |UNE PECE DELETAGE INFERIEUR, VENEZ-' a '? ) AU-DESSOUS SREY) Bree ME SABRE AU CLAIR, NO- TRE HEROS GRIMDE LES MARCHES MENANT A LETAGE J | suremeue LEST TOMBE...L EST REMONTE. C'EST IMPOSSIBLE. JE SUS VICTIME D'UNE ILLUSION. VENEZ , PROFESSEUR, MAIS JE CROS NUAVEZ’ BLS BESON DE LA PROCTOR BY INE TARDE DOT ETRE CONVAINCU Seu MO AUSSI, UN PRESTIOIGITATEUR / —72—LE SUPERBE CE SOIR-LK , UN GRAND DINER EST DONNE AU PALAIS DU GOUVERNEUR EN L’HONNEUR DU CAPITAINE FER- NANDO GRAY. MAIS LA NIECE DE CE- LUI-CI, LA BELLE LISA, NE SEMBLE PAS PARTICIPER K LA JOIE GENERALE ET SUPPORTE MAL LES ATTENTIONS GALANTES DU GOUVERNEUR... POURQUOI MON ONCLE QUEL GRAND HONNEUR MW A-T-IL CONDUITE ICI Z LA D. ETRE LA DROITE. COUR DE CET HOMME EST ; D’ UN HEROS COMME REPUGNANTE ! IL M’- EXASPERE | CAPITAINE GRAY QUI, LENCE POUR L’HONNEUR TETE DE SON ARMEE ale Qu’IL ME FAIT ET... DEBARRASSE LA REGION DES INDIENS WIPEG! BUVONS K LA SANTE Pe | | ( REMERCIE SON EXCEL-MISERICORDE !.. REGARDEZ ! LA | UN VISAGE AU REGARD FROID ET IMPITOYABLE, FIXAIT LE CAPITAINE _ GRAY’ A TRAVERS LA VITRE DE LA VERANDA... QUE SE PASSE-T-IL 7! ¥ JE vol RIE! NE ) 1S, NL TUES MALADE , MON ONCLE 7! AVEZ VU UN SPec- / TRE A vous ETES MOR- ‘ul! GA NE POU- TELLEMENT PALE, VAT. QU’UN CAPITAINE : ON Di- | SPECTRE i UN SPEC- RAIT QUE VOUS TRE QUI_REVIENT ME TOURMENTER! MIEUX VAUT QUE VOUS NE. RENTRIEZ PAS CE SOIR CAPITAINE | JE “FAIS PRE- PARER DES CHAMBRES, POUR VOUS ET VOTRE NIECE}QUELQUES HEURES PLUS TARD, BRUSQUEMENT, UN LEGER BRUIT TOUT EST SILENCIEUX DANS LE] | LE REVEILLE EN SURSAUT ... PALAIS ..DANS LA CHAMBRE D’- AMIS, LE CAPITAINE BRAY DORT + Qui VA LA Z. D'UN SOMMEIL AGIT! TU NE ME QUE_VEUX-TU DE C’EST TO! QUI SERAS PENDU! RECON ~ MOIZ TUES FOU \ J’ APPRENDRAL A TouS TON NAIS PAS, ] DE VENIR ICI! IGNOMINIE | JE VENGERAI LA CANAILLE 2) / JE TE FERA PEN- ( MORT DU PAUVRE JOHN | LACHE - MO! | AU_SECOURS ! UE SE PASGE-T-IL, NV’ JE SUIS LE SERCENT MALOY Du 7e"®Y CEST DEDANS 7 Qui’) CHEVAU _- LEGERS , EXCELLENCE | EST CET HOMMEZ ah aeuse LE CAPITAINE GRAY Dy sFIT DONC Pf [ CET HOMME ETAIT DANS MA COMPAGNIE ET IL A DESERTE AVANT L’ATTAQUE CONTRE LES CHIEN! IL NE TE SUF- AVOIR ACcoMeLs VA_PLUS VILE , DES RETONS ae PITAINE ; N’ INDIENS WIPEG !C’~ EST UN DESERTEUR! Le’ | re > y—| ASSEZ ! ET VOUS , CA~ AYEZ CRAIN PAROLE CONTRE_CEL- ims LE DE CE Mi- SERABLE ! GARDES | AR- RETEZ- LE | QUER... JE DOIS LACHEZ MOI! LAIS-'Y" ALLEZ? SEZ- MO! EAPLI- ( PLUS VITE QUE GA! JE NE SAIS CET HO! ME, BRAT EN ECHANGE, CE SERA COMMENT LA VERI yh Eee ALLEZ ME UN GRAND WOUS REMER- sOuE DONNER LA MAIN. | HONNEUR CIER, EXCEL- LENCE | VICE, EN LE Pk ARRETER AVANT IL ASq NE PARLI 12 EXCELLENCE) PAS 2 Sa RENDU “ii FIER SER- | DE VOTRE NIE~ / POUR MOI,JE VAIS ALLER LUI EN PARLER IMMEDIATEMENT... CE. MARIAGE EST DEJA CHOSE FAITE |J/ MON DIEU! MON_ONCLE N?HESITERA PAS A ME DONNER AU GOU- NON | JE NE SERAI dAMAIS_ LA FEMME DE CET HOMME!.. IL ME FAUT FUIR | [ SOUS LA PLUIE QUI_LUI_FOUETTAIT LE VISA-| OH | CE TEMPS D'ENFER ET CETTE \ | HEURE TARDNE NE SONT GUERE |y PROPICES A UNE PROMENA- S off DE. QU'EST-IL DONC _ARRI-2NGgaaae ye eras: 5 ~ POUR QU’ al iE a . Rae ee EMpcee YE SNe ANN : |GE, LE SUPERBE GALOPAIT VERS LA VILLE. ARRETEZ-VOUS , MADEMOISE! LE | ET N’AYEZ PAS PEUR DE MON MASQUE ! 7-\ JE NAL PAS PEUR ! VOU! ETES LE SUPERBE , NEST. CE PAS 7! LE CiEL VOUS D) TOUT CECI EST TRES GRAVE | PENSEZ- VOUS K VRAI DIRE, JE LE CON- NAIS TRES PEU ! JE viS bent Za AVEC LU! DEPUIS QUEL- QUES JOURS SEULEMENT /'DE-QUE PENSEZ- NOUS FAIRE 7 LE GOUVERNEUR EST |_. TRES PUISSANT! QUO! QU IL EN SOIT, LE COUVERNEUR AURAIT DU ECOUTER LE SER- GENT MALOY ! iL FAUT QUE JE TIRE CETTE AFFAIRE AU CLAIR! PERSONNE NE PEUT ARRETER LE SUPERBE K UA RECHERCHE DE UA _VERITE | VENEZ, dE CONNNS UNE FA: MILLE DE BRAVES > GENS QUI_VOUS ACCUEILLERA VOLONTIERS PLACE DE LA EST DRESSEE |. LE LENDEMAIN, SUR LA GRANDE _ [CET MBECILE DE GOUVERNEUR VILLE, [A POTENCE | NE PERD PAS DE TEMPS ! JE z DOIS ME PRESSER | a “| CEN EST FINI DE MOL! SiENTOT we PENDRA UN POTENCE, EN PKOIE AUK FAUCONS ' ET CETTE CANAILLE DE GRAY, PLAS- TONNERA |. SOMBRE CELLULE DE LA PRI-] SON... —78—PERE, VOUS ALLEZ DONNER L) ABSOLUTION K UN HOM- ME QU! VA MOURIK INNOCEKT! NE PARLE PAS DE MORT, . MALOY... ET _DIS -MOl, PLUTOT CE QUI S’EST PASSE PEN- DANT LA _CAMPAGNE CONTRE LES WIPEG ! yo LE SUPER-/ LA OIE QUE TU BE! LA / MONTRES EN ME CHANCE RECONNAISSANT, MB NE MWA PROUVE TON IN- NOCENCE | VOUS ALLEZ Y ATTENDS ! CONNAITRE eect VERE _.IL_ FAUT TOUT D’ABORD VOUS AVEZ Y MA MISSION EST| SORTIR. D7IC | IL ME FINI, PERE Z TERMINEE MON ILS | SEMBLE QUE LE GEOLIER REVIENT ! ‘ -79—ILS AGIT DE ME ET VOLONTAIREMENT, LE SUPERBE BOUSCULE LE GEOLIER... SS) ET, RAMASSANT LE TROUSSEAt CLES, LE SUPERBE S’EMPRI DE DELIVRER LE PRISONNI IER | — fl IMPOSSIBLE DE FAIRE AUTREMENT ! ef Tl ° ' NOUS NE REUSSIRONS PAS XK SORTIR Dic! LYA DES SENTINELLES PARTOUT|! U DE ESSE VTE! NE PERDONS PAS DE TEMPS ! | v — 80 —MON DIEUT ET US _VIENNENT ENTRONS DEUX SOLDATS ! PAR LA! iS VONT | ICI ! VITE! NOUS DECOUVRIR | IS QUE DIABLE ! VOILA DANS LE BUREAU TONNERRE !!! DU COMMANDANT DE LA PRISON |. ARRETEZ DONC DE HURLER COMME UN LOUP |IL EST EVANOU!! IT DEVANT COMMANDANT, NOUS ALLONS PE PORTE 1 PEUT - ORE POUVOIR SOR- = TR! AIDE-MOI ! CHUT! LES SOLDATS GRACE K AIDE DE Bs) QUELQUES MINUTES PLUS TARD, | [S° US S°APERGOIVENT DE MALOY REVETU DE L’UNIFORME LA SUPERCHERIE, NOUS DU COMMANDANT; QUITTAIT LE » SOMMES PERDUS ! BUREAU... = BONJOUR, COMMAN— UA PAIK SOIT DANT! BONJOUR PERE! AVEC VOUS ! —82—UN INSTANT !.. VOUS... VOUS N’ETES PAS LE COM MANDANT SPARRING ! ARRETEZ OU dE TIRE! COUP DE FEU VA ATTIRER TOUS LES } 4y SOLDATS DE LA Xf Wy PRISON ! : FUYONS, MALOY | St NOUS VOULONS NOUS SAUVER, IL FAUT VOLEK PLUS VITE Que NOUS ALLONS LES vie? SAU- AVOIR. TOUS SUR TONS DANS. CE CHARIOT! LES “TALONS 11)FOUETTE TON CHEVAL, L’ AMI! LE SUPERBE JIT Au SECOURS | LE “SUPER- BE EST ICI | CANAILLE | JE ET POURQUOI! dE NE SUIS PAS DEVRAIS- JE UN MOINE, MAIS TOBEIK Z JE N™- AL UAMAIS VU] UN MOINE | / IMPERTINENT ! NOUS LES TENONS ! EN AVANT! Pm ME PASSERAI DONC DE TON AULEZ, PETIT CHEVAL | HUE II!TONNERRE | LES BALLES SIFFLENT COMME DES MOUCHES AUX OREILLES ! ATTKAPEZ-LES ! OH ! MON CHE- VAL | MA VOITURE! SES_ TRACES EN POUSSANT LE CHARIOT DANS LE DEDALE DES RUES .. .MAIS. K LA SORTIE DE LA VILLE ILS SONT ENCORE ICI! ILS VONT NOUS RE~ —~ JOINDRE! ¢ PENDANT ENCORE QUELQUES MILLES , LE SUPERBE GARDE LA DISTANCE QUI LE SEPARE DE SES POURSUIVANTS ... .. MAIS SOUDAIN, LA MAL— CHANCES’? ABAT SUR LES DEUX = FUGITIFS -.. ->————]PERSONNE |. ILS OIVENT ETRE MORTS! CE QUE CES Fi CHUS SOLDATS SE SOIENT E- LOIGNES ! —86—UN QUART D’HEURE PLUS TARD, LES DEUX _HOMMES PEUVENT SORTIR DE LEUK PS Du ET SE _CHAUFFER PRES D’UN PETIT FEU IMPROVISE... ET MAINTENANT, RA CONTEZ- MO}, TOUT | AU-DELA DE CES COLLINES | POU | Even LES MAUVAISES | SURPRI NOUS ALLONS ~ AVANCI Bang UNE LARGE aE D’ ENCER« Z (ees reece [LE VILLAGE DES WIPEG SE ce MON FRERE JOHN ET MOI. AN SIONS PARTIE DE LA CO! GNIE DU CAPITAINE ey QUI AVAIT REGU MISSION DE COMBATIRE LES - NDIENS WIPEG REVOLTES | PRENEZ Di) OM 1 AVEC_ VOUS ,; SERGENT MALOL, ET GAGN | LE COTE_pRTEC LE GROS DE LA COMPAT\ | “AVEC MON FRERE JOHN ET] | GNIE, JE PRENDRAI LE COTE 'HUIT AUTRE! HOMIES SE | | GAUCHE | DES QUE DUN DE (ME DETACHAI .D nud a he | NOS GROUPES ENTENDRA DES |! | PE_ET M APPRETA! & SU! | COUPS” DE FEU, Il COURKA AU / | SECOURS gaps DE LYAUTRE Lu | KNOS LES ORDRES REGUS LE CAPITAN, GRRy | NvA PAS VOULU COU- aig DE RISQUE. | at UA TROUPE KSA DISPOSITION ET NOUS, NOUS NE SOMMES QUE DIX ‘T.-. NOUSALLIONS SOMTOURNER| LA COLLINE LORSQUE MISERICORDE | REGARDEZ ! NET INQUIETE PAS, i ( { i JOHN ILE CAPITA ( NE Z GRAY OFFICIER, 1 ET LSAT f UNE HORDE DE wikee ELANGAIT SUR NOUS| REFUGIONS- NOUS DERRIERE (7 FAITES COUCHER LES\ | | CES _ROCHERS ! NOUS, POUR- CHEVAUX ! ILS NOUS I | RONS MIEUX NOUS sri SERVIRONT Bi 1 | | ( \ [NOUS NE = POURRONS eee TEN | VAIN... MES “HOM | SOURRGE, GON LONETEMPS | COURAGE ABAIENT. LES _UNS | UE CAPTAINE GRAY A \V | APES Nes RoreeS | | DU ENTENDRE LA Fu- aan SILLADE ET DOIT DEJA | COURIER NOTRE yh | SECOURS | a MON_ ESPOIR |MAIS ,QUe FAT DONC | CE UACHE DE GRAY! | POURQUO! NE VIENT-IL | PAS NOUS AIDER 7 if JOHN TMON FRERE | | | | | ! | | TéRAY NOUS A | TROMPES ! PAR | SA. FAUTE, NOUS MOURRONS TOUS! | ADIEU. IM... ADIEU | NAB [ue REST BIENTOT SEUL} oy) | UE VIDAI AVEC RAGE | | MON REVOLVER CONTRE| | LES WIPEG... ————} (puis, JE FUS TOUCHE LORSQUE_JE REPRIS CON- | MON Tour ET LA Nurr | NAISSANCE, QUELQUES | TOMBA SUR MOI... || HEURES PLUS” TARD, J)- [7 AR IMON San ETAIS LE SEUL SURVIVANT! Coat fe < —90—JE MARCHA PENDANT DES \\ | |-. QUAND LE CAPITAINE | HEURES ... J? ARRIVAL ENFIN GRAY ENTENDIT LA FUSIL- AU CAMPEMENT DES WIPEG LADE... ! UI AVAIT ETE DETRUIT... |____I EcouTez, capi- | , UN JEUNE SOLDAT | TAINE | LA PATROUILLE_ DU | MOURANT ME Zam | SERGENT MALOY A DU RACONTA TOUT | CEST UNE CHANCE [ PEN- | | DANT QUE LES WIPEG SE | | BATTENT AVEC LE SERGENT | MALOY, NOUS ALLONS ATTA- QUER LEUR ary.,VILLAGE ! | ae (Pe APRES ; LE VILLAGE DES WIPEG, OUIL NE RESTAIT QUE” 1 (LES " VIEWLARDS , LES FEMMES ET'LES ENFANTS, FUT BAR- | | BAREMENT DETRUIT... pS iLoRsQU iL NE | RESTA PLUS | UN HABITANT | LE CAPITAINE = GRAY FIT CA- | CHER SES HOM- MES DANS LES TENTES ENCORE DEBOUT ET ATTENDIT LE RETOUR DES GUERRIERS ... LES VISAGES PALES ONT ATTAQUE NOTRE, VILLA- GE ! ILS ONT TUE NOS SQUAWS_ET NOS EN- FANTS !.. y TX LY ATTAQUE! ] = \ [LES WIPEG | / OUVREZ AVANCAIENT |( LE FEU! AU MILIEU : | DE_CE CAR- | NAGE LORS- [PRIS “PAR SURPRISE, LES i E fae | WIPEG FURENT TRES viTE | | ANEANTIS ... 2 ' : ; i y I . 3 ' ; Re > Zi: te ie —92— esGRAY A ACHETE LEUR SILENCE! EH BIEN, CE SERA LE CAPITAINE GRAY, LUI-ME} ME QUI CON FESSERA SA MAINTENANT VOUS SA- CERTAINS DES VEZ TOUT ! LA TRIOM- { HOMMES QUI PHALE VICTOIRE, DU CA- \ ONT PARTICI Pr ‘AINE GRAY ETAIT Kila eA SACRIFICE DE MON FRERE JOge ET DE_MES COM PAGNONS | LE SUPERBE CONDUIT LE SERGENT MA- LOY DANS LA MAISON QUI, ABRITE DEJA LISA, PUIS Les ‘ AYANT RASSURES TOUS_DEUX, IL REPART... AU REVOIR, AMIS | JE a BIENTOT DE RETOUR AVEC DE BONNES NOUVELLES! TOUT S*ARRANGERA EXCELLENCE | J) EN SUIS CONVAINCU | LES CHOSES SE GOMPLIQUENT, GRAY | VOTRE NIECE TN DISPARU_ ET ce DEMON. DE SUPERBE, A DELIVRE LE __ SERGENT MALOY! ==[NE DITES PAS DE BE- TIES | JE vOUS Al DEFENDU TANT QUE J'Al PU, MAIS JE NE VEUX PAS ETRE COM- PROMIS PAR VOTRE FAUTE | JE VEUX SA- VOIK Si LES ACCUSA- TIONS DU SERGENT MALOY as / J& VAS VOUS NE ME TOUCHEZ PAS | REPONDRE GOU- ALLEZ- VOUS EN ! SINON VERNEUR | GRAY \ LE GOUVERNEUR’ APPEL- EST UN LACHE LERA’ LES SENTINELLES | ET UN ASSASSIN! > JE SUIS VENU FAIRE JUSTICE! VOUS NEM AUREZ PAS ! YOUS DEVE vous *N V 2 eee i | IT VIL FILE AU GALOP! ) | UN LIEVRE ! ae) | 5 °° Publicité p. la France : FONTANEAU PUBLICITE, 37, r. Meslay, Paris (3+). ARC. 76-94.JE DOIS L’ARRETER ‘) LE SUPERBE_FAIT MOUCHE ET LE CHEVAL DU CAPI- TAINE |S’ABAT, ENTRAINANT SON MAITRE DANS SA CHUTE. A PRESENT, IL NE PEUT PLUS M? ECHAPPER J cal Sh SANS LES SUPERBE... COMPTE LES DU — 95 MAIS LE CAPITAINE GRAY CHERCHE REFUGE DANS LE CLOCHER, BARRICADANT LA PORTE DERRIERE LUI... a ae ee aCEST TO! QUI ES PRIS AV PIEGE, SU- PERBE ! TU VAS" MOURIR! ET VOILA QUI CONFIRMER) MES PAROLES ! ET LE JUSTICIER MASQUE SE LAIS- SE TOMBER SUR GRAY ET LE DESARME.. UN DE MES POINGS VAUT PLUS QUE TON REVOLVER, CANAILLE! Va JE LE FERAI S| TU_CONFE: SES TA FAUTE! Comité de Direction : Bernadette Ratier, Gérante, Directrice de Publication ; Berthe Fréche, Membre ; M. Challet, Administrateur. Loi n¢ 49.956, du 16 juillet 1949, sur les ‘publications ‘destinées & la jeunesse. Autorisation Iégale n°“ 13.41, du 27 avril 1946, Dépot légall C. 255. — Janvier 1961.CEPENDANT, SO LE POIDS Du CAPITAINE GRAY. LES CL ES SONNENT A TOUTE VOLEE... OU... OUI... JE FERAL TOUT CE QUE VOUS VOUDREZ! [--, FAISANT SORTIR TOUS LES HABITANTS Di tA VILLE, DE LEURS MAISONS .. aienusiel QUE SE_PASGE-T-IL 4 EGT=CE / VILLE QUI £7! ET DU HAUT DE SON CLOCHER SUPERBE RACONTE TOUT.. ALO] DE LA FOULE UN GRAND ‘CRI S' Sve 2 K NORT.. LE CAP I~ ia <, TAIN, © RAY | Adresser toute correspondance & AKIM, Editions Aventures et Voyages, 26, rue d’Aboukir, PARIS. ABONNEMENTS FRANCE ET UNION FRANCAISE, 1 an : 12 NB, métropolitains a adresser FRANCE EX UNION FRANCAISE UL ted MR OOD. i2as1-s3 FARES.CONFIRME CE QUE J'AI DIT SINON , AU BUNAL MILI- TNRE, JE T- ABANDONNE K UA HAINE DE CETTE FOu- LE HURLANTE! ae SUIS COU- PABLE ... OUI. COUPABLE |. \ ELA VILLE, U -MOUVANTE RE- MONIE SE DEROU- LAT... MALOY ; JE SUIS HEUREUX D’ATTRIBUER K UX MEMOIRE DE VOS , ! MEDAILLE DE LA RECONNAISSANCE ! ET Al D IMMENSE PLAISIR_ DE VOUS HOMMES, LA NOMMER CAPITAINE! — 98 — MALOY PAS DES YEU ENSEMBLE ILS SERONT HEUREUX |. Imp GEORGES LANG - PARIS