Sei sulla pagina 1di 7

Le capitole

Le Capitole est un monument de la ville française de Toulouse, qui abrite aujourd’hui l'Hôtel de
ville et le théâtre du Capitole. Sa construction a été décidée par les Capitouls en 1190, afin d’y
établir le siège du pouvoir municipal. Il est l’emblème de la ville et c’est l’emplacement du
pouvoir municipal depuis plus de huit siècles. Le Capitole est entouré par la place du Capitoleà
l'ouest, la rue de la Pomme et la rue du Poids de l'Huile au Sud, le square Charles-de-Gaulle et
la pseudo-rue Ernest Roschach à l'Est et la rue Lafayette au Nord. Appelé autrefois la Maison
Commune, il se composait d’un ensemble plus important de bâtiments achetés, construits et
modifiés au fil des siècles selon les besoins. Aujourd’hui, seules subsistent la tour des archives
ou Donjon datant du xvie siècle, les galeries de la cour Henri-IV du xviie siècle, la façade de
l’hôtel de ville du xviiie siècle et la porte du Petit Consistoire, faite par Nicolas Bachelier en
1546 aujourd'hui au jardin des plantes de Toulouse.

Siège du pouvoir municipal depuis le XIIème siècle, ce chef d’œuvre néoclassique déploie sa
majestueuse façade de briques et de pierres sur l’incontournable place du Capitole. Agrandi,
transformé, embelli à chaque époque, les décors inscrits sur ses murs racontent les grands
moments de l’histoire toulousaine : de l’épisode cathare à la création des Jeux floraux, des
comtes de Toulouse au siège de la ville. Célèbre pour ses salles d’apparat, ne manquez pas la
Salle des Illustres : Henri Martin, Jean-Paul Laurens, Paul Gervais et bien d’autres artistes ont
peints ou sculptés le décor de ces salles. Amateurs d’art lyrique ? Le Capitole, c’est aussi le
célèbre opéra de Toulouse.

pont neuf

Le pont Neuf, d'une longueur de 140 m pour une largeur de 20,5 mètre, commencé en 1578
sous Henri III est achevé en 1604 sous le règne du Roi Henri IV. Il est contrairement à son nom,
le plus ancien pont de Paris. Les travaux, dirigés dans un premier temps par l'architecte
Baptiste Androuet du Cerceau, puis par Guillaume Marchant, dureront 30 ans. Ils seront
interrompus par les guerres de Religion, de 1588 à 1599. Henri IV, qui inaugurera l'ouvrage en
1607, le baptisera du nom Pont Neuf, appelé au moment de sa construction par opposition aux
anciens ponts de Paris.

Le pont traverse la pointe ouest de l'île de la Cité , place du Pont neuf à l'entrée de la place
Dauphine avec le jardin du Vert Galant à la pointe de l'île.

Premier pont de pierre sans maison, pourvu de trottoirs. Il repose sur 12 arches en
maçonnerie, 7 sur le grand bras de la Seine et 5 sur le petit bras. Ses flans sont ornés de 381
mascarons, sortes de masques grimaçants, tous différents les uns des autres.

En 1991, il a été inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco, avec l'ensemble des quais de la
Seine à Paris.

Le pont Neuf est situé en aval du pont au Change , du pont Saint Michel sur le petit bras et en
amont du pont des Arts .

Remarques

Fernand de Dartein, dans son remarquable ouvrage: "Etudes sur les Ponts de Pierre les Plus
Remarquables Antérieurs au XIXè Siècle", paru en 1912, en plusieurs volumes grand format,
avec dessins au trait, à l'échelle; consacre un long chapitre au Pont-Neuf de Toulouse, donnant
sa description et l'historique en détail de sa construction et des réparations qui suivirent. Il
termine en écrivant: "Le Pont-Neuf de Toulouse, est l'un des plus beaux pont de France, et le
plus beaux du Midi ". Fernand de Dartein, était ingénieur-en-chef des Ponts & Chaussées, et
chargé du cours d'architecture à l'Ecole des Ponts.

la-basilique-saint-sernin

Sur les chemins de Saint-Jacques de Compostelle, la basilique Saint-Sernin, chef d’œuvre d'art
roman, est inscrite parmi les joyaux du patrimoine mondial (UNESCO). Elevée en l’honneur de
Saint Saturnin (ou Sernin), premier évêque de Toulouse, sa construction s’est étalée du XIème
au XIIIème siècle. Déambulez autour de l’édifice et admirez le chevet élégant, échelonné des
chapelles jusqu’au clocher octogonal, caractéristique de l’architecture toulousaine. A
l’intérieur, 5 amples nefs voûtées convergent vers le chœur et le baldaquin de bois doré et de
marbre. Accédez aux cryptes et au tour des corps saints, trésor de reliques qui témoigne du
prestigieux passé de cette église de pèlerinage.

la-cathedrale-saint-etienne
Insolite, complexe, éclectique : autant d’adjectifs qui définissent le style de cette cathédrale
édifiée dès le Vème siècle, aux limites de la ville antique. Cette incroyable construction
médiévale réunit deux styles gothiques : le gothique méridional massif, puissant et le gothique

septentrional élancé, lumineux. Elle témoigne de la volonté de s’inspirer des grands édifices
d’Ile-de-France. Le gothique septentrional est introduit dans le sud de la France. Flânez autour
des chapelles, admirez la riche collection de vitraux ou le somptueux mobilier : les stalles,
l’autel, le buffet d’orgue. C’est ici, devant le pilier Jean d’Orléans, qu’est enterré Riquet,
célèbre concepteur du canal du Midi.

Les archives font état d’une première mention en l’an 844, mais son histoire démarre
réellement en 1073, avec la construction d’une nouvelle église romane sur les ruines de
l’ancienne dont il ne reste aujourd’hui que de rares vestiges.

A la fin du XIIIe siècle, l’évêque Bertrand de L’Isle-Jourdain fit entreprendre la construction


d’une grande cathédrale, dans le style gothique du nord de la France. Menés à terme, les
travaux auraient entraîné la destruction de la première cathédrale, de style roman.
Commencés par le choeur, ils furent interrompus au niveau du transept de l’ancienne nef
romane, laissant les deux édifices juxtaposés.

D’autres travaux furent entrepris au fil des siècles, comme le portail de l’archevêque Denis du
Moulin, le clocher du cardinal Jean d’Orléans ou, plus récemment, le portail nord. Le résultat
donne une cathédrale déconcertante, extrêmement riche en détails avec ses vitraux, ses
tapisseries et ses 17 chapelles. La grande rosace qui couronne le double portail de style
gothique reprend le même schéma que celle de Notre Dame de Paris.

La cathédrale Saint-Etienne est la première église du diocèse toulousain.

Hôtel d'Assézat à Toulouse


Chef d’œuvre de la renaissance classique, l’Hôtel fut édifié pour Pierre d’Assézat, marchand
pastelier et capitoul de Toulouse. La cour d’honneur, somptueuse, sert d’écrin aux deux
façades rythmées par les colonnes antiques et reliées par la tour d’escalier. Nicolas Bachelier,

l’architecte, œuvra pour de nombreuses familles toulousaines. L’édifice légué à la ville de


Toulouse en 1895 accueille les académies et sociétés savantes dont les Jeux floraux créés en
1323. Le collectionneur argentin Georges Bemberg, fasciné par le lieu, le choisit pour exposer
sa collection exceptionnelle d’œuvres d’art et créa la Fondation Bemberg inaugurée en 1995,
sans cesse enrichie par de nouveaux achats.

L'Hôtel d'Assézat est situé dans la ville de Toulouse, proche de la place Esquirol. Cet hôtel est
bien connu des toulousains et des touristes de la ville pour la merveille de son architecture.
Elle est l’œuvre de Nicolas Bachelier, architecte de Toulouse emblématique du courant de
la Renaissance. Cet hôtel a été construit entre 1555 et 1557 et est caractérisé par son portail
monumental en bois et par sa cour intérieure, qui a par ailleurs été rénovée en 1993,
représentant une des premières manifestations duclassicisme français.

Pierre d'Assézat, le riche industriel textile qui commandita cet hôtel, n’a pas toutefois jamais
pu y vivre, il mourut ruiné avant que l’Hôtel soit terminé mais sa famille occupera les lieux
jusqu’en 1761.

Aujourd’hui l’hôtel d’Assézat accueille le musée de la Fondation Bemberg et sa prestigieuse


collection de peintures datant du XVe au début du XXe siècle.

Église des Jacobins à Toulouse


Eglise des Jacobins est située dans le centre de la ville, à mi-chemin entre le Capitole et la
Garonne, est constitué d'un cloître et d'un couvent. Elle a été construite par l'ordre des frères
prêcheurs. Ce bâtiment entièrement fait de brique est considéré comme l’un des joyaux de
l'art gothique languedocien en matière de construction monastique des XIIIe et XIVe siècles.
L'église abrite depuis 1369 le corps de saint Thomas d'Aquin, auquel elle est consacrée. C'est
également dans ces bâtiments qu'a été établie pendant plusieurs siècles l'ancienne université
de Toulouse depuis sa fondation en 1229 jusqu'à sa suppression à la Révolution française.

Le couvent des Jacobins est l’un des édifices les plus originaux de la ville. Maison-mère de
l’Ordre des Dominicains, fondé pour lutter contre le catharisme, il fascine par son architecture,
ample et lumineuse, caractéristique du gothique méridional. A l'intérieur le célèbre "palmier"
des Jacobins et ses 22 nervures soutiennent le chœur de l’église. Siège de l’université de
Toulouse, il abrite les reliques de Saint-Thomas d’Aquin. L’édifice restauré a retrouvé sa
splendeur d’antan, les vitraux modernes diffusent une lumière variant au fil des saisons.

Le suêrbe cloître accueille différents évènements culturels tout au long de l'année : des
concerts, des festivals dans le cloitre et des expositions dans l’ancien réfectoire du couvent.

Chapelle des Carmélites à Toulouse

Le couvent fut détruit pendant la Révolution française, et seule la chapelle fut épargnée.

L’intégralité de la voûte et des murs de la chapelle des Carmélites est recouverte de peintures

à l’huile créant des trompe-l’œil baroques d’un caractère exceptionnel. Ils sont DUS en
partie au peintre Jean-Pierre Rivals, qui s’inspira au XVIIe siècle de la chapelle Sixtine en
reprenant des figures allégoriques de Vertus. Son successeur Jean-Baptiste Despax acheva
cette œuvre considérée comme l’un des chef d’œuvre de la peinture toulousaine du XVIIIe
siècle.

La Chapelle des Carmélites est aujourd’hui une salle de concert très demandée et très prisée
par les amateurs de musique sacrée. Le voûtement de la nef est constitué d’un lambris de
chêne souligné de nervures et de clés pendantes en bois doré qui lui confèrent une excellente
acoustique.
La Bibliothèque Municipale se trouve aujourd’hui à la place de l’ancien couvent des Carmélites.

Ouvert tous les jours sauf le lundi

jardin-des-plantes de toulouse

Ce jardin public de 7 ha, ancien jardin botanique, se situe près du canal du Midi et des
quartiers du Busca et des Demoiselles à Toulouse. Le premier jardin des plantes est créé en
1730 par la Société des sciences, aux abords de Saint-Sernin. La qualité du sol ne donnant pas
satisfaction, la

collection est déplacée. C'est en 1794, par la volonté de Philippe Picot de Lapeyrouse,
naturaliste, que le jardin actuel voit le jour à l’emplacement du couvent des Carmes
déchaussés. Riche d’une collection de 1300 espèces, il permettait aux étudiants en médecine
de disposer de plantes médicinales. Aujourd’hui, il complète agréablement les collections du
Muséum et offre de belles promenades familiales.

Potrebbero piacerti anche