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Introduction

Depuis l’explosion de la bulle internet, les systèmes de télécommunications


nécessitent toujours plus de débit. Comparée aux autres supports de transmission
existants, la fibre optique présente une atténuation quasiment constante sur une
énorme plage de fréquences (plusieurs milliers de gigahertz) et offre ainsi
l’avantage de bandes passantes gigantesques, permettant d’envisager
aujourd’hui la transmission de débits numériques très importants (plusieurs
térabits/seconde) exigés par la multiplication des services et les besoins accrus
de transmission de données.

L’amplification optique est une des techniques importantes permettant de


toujours repousser la limite du compromis distance/débit exigée par ces services.
Dans le temps l’atténuation que présente la fibre optique fût compensée en
utilisant des régénérateurs électriques. Comme leur nom l’indique ces derniers
détectent le signal, le convertissent en un signal électrique, l’amplifie et en
utilisant un nouveau laser transmettent une nouvelle version du signal. Ces
régénérateurs électriques sont coûteux et limitent la vitesse de transmission.

Pour surmonter les limitations imposées par la régénération électrique, une


amplification optique a été demandée. Deux technologies concurrentes ont
émergé : la première est l’amplification à fibre dopée à l’erbium (EDFA) et la
deuxième est l’amplification à effet de Raman.

Dans les premiers amplificateurs déployés la 1ère technologie était la plus


utilisée pour la simple raison qu’elle demande moins de puissance électrique et
que dans le temps la technologie des lasers ne pouvait pas fournir cette
puissance. Cependant avec l’évolution de la technologie de fabrication des
lasers, l’amplification à effet de Raman commence à prendre la relève.
Chapitre : 1

Besoin d’amplification
Le schéma standard d’une liaison de télécommunications optiques est
représenté sur la figure ci-dessous :

Figure1 : Schéma standard d’une liaison de télécommunications

La lumière émise par le laser signal est modulée en amplitude pour


coder le message à transmettre : pour un message numérique, on
utilise une simple modulation ON/OFF. Cette lumière modulée est
injectée dans la fibre optique, et va ainsi pouvoir se propager jusqu’à
la sortie de la fibre. En sortie, un photo-détecteur traduit en signaux
électriques le message émis.
La fibre optique est faite de Silice (SiO2).Ce choix se justifie par le
fait que les molécules de la Silice permettent de contrôler le
coefficient de réflexion et présentent de faibles pertes optiques
En général, on peut distinguer entre deux catégories des sources de
pertes : intrinsèques et extrinsèques. En effet, les pertes
extrinsèques découlent des impuretés et des imperfections
structurelles lors du processus de fabrication de la fibre mais avec
l’évolution des techniques de fabrication de la fibre on a pu les
éliminer. Cependant les pertes intrinsèques persistent avec le
mécanisme de la diffusion de Rayleigh due aux irrégularités
microscopiques causées par le refroidissement du verre lors de la
fabrication. Le coefficient de diffusion de Rayleigh est donné par :

ࢊ࡮ ૙Ǥ ૠ૞ ൅ ૟૟Ǥ ο࢔ࡳࢋ
ࢻ࢙ ሺ ሻൌ
ࡷ࢓ ࣅ૝
Où :
ο࢔ࡳࢋ Est la différence d’indices de réflexion du à l’ajout du
Germanium à la fibre.

ɉest la longueur d’onde de la lumière incidente en µm

Si on étudie l’atténuation du signal d’entrée en fonction de la longueur


d’onde du signal, on s’aperçoit qu’il existe un minimum d’atténuation
à la longueur d’onde de ߣ௦ = 1, 55 μm, comme le montre la figure ci-
dessous :

Figure2 : Atténuation dans la fibre de Silice

Les concepteurs de systèmes de télécommunication optiques utilisent


donc pour les transmissions la longueur d’onde de 1, 55 μm afin de
bénéficier de ce minimum d’atténuation. Il en résulte qu’en pratique,
la distance moyenne que l’on peut parcourir grâce à une telle fibre
sans système d’amplification est d’environ 150 km.
Pour dépasser cette limite physique, la plupart des systèmes procèdent
à une amplification des signaux tous les 150 km. La technologie la
plus déployée à ce jour passe par l’utilisation de l’EDFA (Erbium
Doped Fiber Amplfier). Cette technologie utilise l’amplification
produite au sein d’une fibre optique spécifique, fabriquée sur la base
de matériaux à terres rares, en général de l’Erbium. L’amplification a
lieu à l’intérieur de cette fibre à condition qu’elle soit stimulée par un
autre laser (appelée « laser de pompe ») dont la puissance est
relativement élevée : l’énergie va être transférée, grâce à la fibre
Erbium, de la longueur d’onde de pompe (usuellement à 980 nm) vers
la longueur d’onde signal (toujours à 1, 55 μm).
Le phénomène nécessite en général une assez courte distance de fibre
(typiquement 20 m) en regard des centaines de kilomètres constituant
la liaison.

Une autre technique émergente permet, elle, d’obtenir une


amplification optique dans de la fibre standard en silice, sans y
introduire de dopant. C’est en effet la fibre de transmission elle-même
qui va servir de milieu amplificateur en utilisant l’EFFET RAMAN :
c’est l’AMPLIFICATION RAMAN.
Chapitre : 2

Amplification de Raman

I. Historique
II. Effet Raman
II. Effet Raman spontané
IV. Effet Raman stimulé
V. Effet Raman en équations
I. Historique :
L’amplification Raman fait appel à l’effet Raman, c’est-à-dire la
diffusion Raman, qui est un phénomène de diffusion inélastique
omniprésente dans les milieux moléculaires. Ce phénomène de la
diffusion de la lumière fût découvert en 1928, dans les liquides et
vapeurs avec la lumière de soleil fortement focalisée, par le physicien
indien C.V. Raman, qui a reçu le prix Nobel de physique en 1930 pour
son travail sur la diffusion de la lumière et la découverte de l’effet
éponyme. Depuis, l’effet Raman a été appliqué dans divers domaines
d’applications. Dans l’étude des structures moléculaires, par exemple,
la spectroscopie Raman est un outil puissant et largement utilisée. Au
début des années 1970, l’amplification Raman dans les fibres optiques
a été déjà démontrée, et un certain nombre publications des années
1980 ont montré l’intérêt des amplificateurs Raman à fibres optiques.
Vers la fin des années 1980 et jusqu’au milieu des années 1990,
l’attention a été surtout portée vers les EDFAs. Ceci est dû d’une part
au fait que l’amplification Raman dans les fibres optiques nécessite
des pompes lasers de fortes puissances dont la technologie n’était pas
encore au point à l’époque pour les applications en communication.
D’autre part, déjà mature technologiquement au début des années
1990, les EDFAs apparaissaient comme une solution d’amplification
optique assez satisfaisante, au niveau du gain, du bruit et de la bande
passante, pour les besoins en communications.
Dans les dernières années 90, l’avancement technologique de pompes
lasers de fortes puissances a permis la maturité des pompes lasers
Raman et à leur disponibilité commerciale, ayant suscité le regain
d’intérêt pour l’amplification Raman. De nombreuses études
expérimentales et théoriques ont montré plusieurs avantages de
l’amplification Raman.
II. Effet Raman :
Contrairement à la diffusion de Rayleigh la diffusion de Raman est
inélastique c’est-à-dire le photon incident échange de l’énergie avec la
molécule du milieu diélectrique. Ainsi la lumière diffusée n’as pas la
même longueur d’onde que la lumière incidente. En d’autres termes la
diffusion de Raman est un phénomène non linéaire. Pour expliquer ça
on fera une analogie avec l’extension d’un ressort. En effet si on
attache une faible charge à un ressort alors la variation de la longueur
du ressort sera linéairement liée à la masse de la charge mais si la
masse de la charge dépasse un certain seuil cette dépendance ne sera
plus linéaire. Il en est de même pour la réponse d’un milieu
diélectrique notamment la fibre optique à une quantité de lumière :
plus l’intensité lumineuse augmente plus la réponse de la fibre est non
linéaire ce qui induit la diffusion de Raman.
Durant la diffusion de Raman, la lumière incidente est décalée vers les
basses fréquences grâce à un échange d’énergie entre le rayon
lumineux et le milieu. Le photon de pompe ᎆ୔ excite une molécule et
l’a fait passer à un niveau d’énergie virtuel mais cette molécule revient
rapidement à un niveau d’énergie inférieur en émettant un photon ᎆୱ
appelé photon de STOKES à une longueur d’ondes différente du
photon de pompe. La différence d’énergie des deux photons
apparaissant sous la forme d’un phonon optique est dissipée par la
vibration des molécules du milieu.
ᎆ௉ ᎆ௦

Figure3 : Mécanisme de l’effet Raman

On distingue deux types d’effet Raman : spontané et stimulé.

III. Effet Raman spontané:


La simple présence de la lumière du laser de pompe dans la fibre
induit un effet de Raman spontané. Ce phénomène consomme une
faible part de la puissance fournie par le laser de pompe, et va générer
de la lumière à la longueur d’onde du signal. Cette lumière apparaît
spontanément, c’est à dire indépendamment de la présence du signal.
Il ne s’agit donc pas d’un phénomène qui apporte à l’amplification
mais plutôt d’un effet parasite : on parle d’émission spontanée
amplifiée. Un photon issu du laser de pompe change de longueur
d’onde sous l’effet de la mécanique Raman : cette nouvelle longueur
d’onde dépend du matériau et de la longueur d’onde de pompe. Cet
écart entre les longueurs d’onde correspond à l’énergie d’un phonon.
Dans le cas de la silice, une longueur d’onde de pompe de 1, 45 μm
produit de la lumière `a 1, 55 μm.
Figure4 : Mécanisme de l’effet Raman spontané

IV: Effet Raman stimulé:


C’est l’effet recherché pour l’amplification optique : sous l’impact des
photons-signaux, la matière constituant la fibre, excitée par la
présence de la pompe, va favoriser le changement de longueur d’onde
des photons issus de la pompe, de par la mécanique de l’effet Raman
stimulé.
Ainsi, si l’on fait interagir via l’effet Raman un photon pompe et un
photon signal, on obtient deux photons à la longueur d’onde signal.
On a donc un phénomène de « duplication de photons » à la longueur
d’onde signal, qui correspond à la notion amplification.

Figure5 : Mécanisme de l’effet Raman stimulé


V. Effet Raman en équations :
Comme expliqué précédemment, la diffusion Raman stimulée (SRS)
est un phénomène qui découle de l’interaction entre une onde optique
et les vibrations des molécules du matériau dans lequel l’onde optique
se propage. Elle se caractérise par la génération d’une onde de Stokes
décalée vers les basses fréquences (généralement le maximum est de
13.2 THz pour les fibres dopées au Germanium).

L’évolution du signal et du pompe suivant l’axe z de la fibre est


donnée par :

ࢊࡼ࢖ ࢝࢖
‫ט‬ ൌെ ࢍ ࡼ ࡼ െ ࢻ࢖ ࡼ࢖ 
ࢊࢠ ࢙࢝ ࢘ ࢖ ࢙

ࢊࡼ࢙
ൌ ࢍ࢘ ࡼ࢖ ࡼ࢙ െ ࢻ࢙ ࡼ࢙ 
ࢊࢠ
Avec :

୮ : Puissance moyenne de pompe.

ୱ : Puissance moyenne du signal.

܏ ‫ ܚ‬: Le coefficient de gain Raman.

‫ ܘܟ‬Et ‫ ܛܟ‬sont les pulsations de pompe et du signal

હ‫ ܘ‬: Coefficient d’atténuation de la fibre à la longueur d’onde pompe.

હ‫ ܛ‬: Coefficient d’atténuation de la fibre à la longueur d’onde signal.


‫ܘܟ‬
ሺെ ܏ ‫ ܛ۾ ܘ۾ ܚ‬ሻ : représente la déplétion de pompe.
‫ܛܟ‬

ሺȽ୮ ୮ ሻ: représente l’atténuation intrinsèque de pompe.

ሺ܏ ‫ ܚ‬୮ ୱ ሻ: représente le gain du signal.

ሺࢻ࢙ ࡼ௦ ሻ: représente l’atténuation intrinsèque du signal.

La diffusion Raman est insensible au sens de propagation de la pompe


par rapport au signal : la pompe peut être injectée soit Co- soit contra-
directionnellement d’où le ‫ ט‬dans la 1ère équation.

Le signe - du signal de Stokes indique qu’elle se déplace dans les sens


opposé à la pompe.

Dans le régime petit signal le terme de déplétion de la pompe est


Négligeable devant l’atténuation. Ainsi, la puissance de pompe subit
une propagation de type linéaire, et la distribution de puissance de
pompe s’exprime par l’équation suivante :

ࢊࡼ࢖
ൌ െࢻ࢖ ࡼ࢖
ࢊࢠ

La résolution de cette équation donne :

ࡼ࢖ ൌ ࡼ૙ ࢋିࢻ࢖ሺࡸିࢠሻ 
Où :

଴ Est la puissance de pompe injectée dans la fibre.

L : La longueur de la fibre.
On remplace ୮ dans la 2éme équation alors on trouve :

ࡼ࢙ ሺࡸሻ ൌ ࡼ࢙ ሺ૙ሻ ࢋ࢞࢖൫ࢍࡾ ࡼ૙ ࡸࢋࢌࢌ െ ࢻ࢙ ࡸ൯ ൌ ࡳࡺ ሺࡸሻࡼ࢙ ሺ૙ሻ

Où : ࡸࢋࢌࢌ est la longueur effective de l’amplificateur en régime petit


signal.

ࢻ࢖
૚ିࢋ࢞࢖ቀି ቁ
ࡸࢋࢌࢌୀ ࡸ
ࢻ࢖

‡–
୒ Est le gain net du signal de Stokes.

La figure ci-dessous présente la puissance du signal en fonction de la


distance sans et avec amplification Raman.

Figure6 : Evolution des Puissances Optiques le long de la Fibre de Transmission


Chapitre : 3

Avantages & utilisations

I. Amélioration du facteur de bruit :


II. Gain en bande passante :
En général l’amplificateur de Raman présente deux avantages à
savoir : l’amélioration du facteur de bruit et l’aplatissement du profil
du gain.

I. Amélioration du facteur de bruit :

Au chapitre 1, nous avons établi un modèle de l’amplification Raman


dans les fibres optiques en silice, dont le mécanisme physique est la
diffusion Raman stimulée. Nous pouvons considérer, pour simplifier,
que cette diffusion inélastique résulte de la modulation de la lumière
incidente par les vibrations moléculaires du milieu. D’un point de vue
simplifié, la diffusion Raman peut être représentée, comme illustré sur
la figure ci-dessous, par la coexistence de deux phénomènes. Le
premier est la diffusion Raman Stokes, où un photon de pompe ܹ௣ est
diffusé, en créant un photon signal ܹ௦ de fréquence inférieure à celle
de pompe et un phonon optique ܹ௣ - ܹ௦ .

Le deuxième est la diffusion Raman anti Stokes, qui est le processus


inverse de la diffusion Raman Stokes. La diffusion Raman anti-Stokes
est bien moins probable que celle Stokes alors l’amplification Raman
est intrinsèquement de faible bruit.
Figure7 : Représentations schématiques des diffusions Raman Stokes et anti-Stokes.

Le facteur de bruit d’un amplificateur est le rapport du SNR du signal


d’entrée et du signal de sortie. Il mesure la dégradation que subit le
signal par l’amplificateur.

Le facteur de bruit de transmission est représenté sur la figure ci-


dessous, en fonction du gain Raman généré co- et contra-
directionnellement. Le schéma de pompage codirectionnel apparaît
clairement beaucoup plus avantageux, en termes de facteur de bruit.
Pour des valeurs du gain Raman inférieures à 5 dB, le facteur de bruit
en co-pompage est toujours inférieur à 20 dB, ce qui correspond au
facteur de bruit de la fibre passive, alors que le facteur de bruit en
contra-pompage est légèrement supérieur à cette valeur. Toutefois, à
partir du moment où le gain Raman dépasse 5 dB, ces deux schémas
de pompage présentent un intérêt certain. D’un point de vue pratique,
les valeurs très hautes de gain Raman ne sont pas souhaitables. Une
raison importante est l’effet de la double rétrodiffusion Rayleigh
devient très important pour les hautes valeurs de gain Raman.
Figure8 : Facteur de bruit en co-pompage et en contra-pompage

II. Gain en bande passante :

Le phénomène Raman dans la fibre optique est un phénomène à


large bande en longueur d’onde. Pour une longueur d’onde de
pompe donnée, la bande passante obtenue a la forme suivante :
Figure9 : Bande passante d’un amplificateur de Raman à la longueur d’onde 1450 nm.

Nous voyons bien sur la figure précédente que le maximum


d’amplification est décalée de 100 nm de la pompe, et que la bande
exploitable pour de l’amplification est d’environ 40nm. De plus, il est
possible de combiner dans une même fibre la lumière issue de
plusieurs lasers de pompe à des longueurs d’ondes différentes. On
peut ainsi obtenir une bande passante de 100 nm.

Figure10 : Bande passante d’un amplificateur de Raman pour différentes longueurs d’onde
Une telle bande passante permet des débits supérieurs à 10 TBit/s sur
des connections numériques, et ceci sur plus de 10000 km. Ce débit
est absolument colossal, surtout au regard de la distance parcourue.
Par composition de plusieurs longueurs d’onde de pompage, on peut
ainsi obtenir un amplificateur à gain plat sur une large bande.

Ainsi, comparé aux autres amplificateurs, l’amplificateur de Raman


présente les avantages particuliers et incontestables suivants :

· Le gain Raman existe dans toutes les fibres optiques à n’importe


quelle longueur d’onde optique et est facile à obtenir.

· Dans les fibres à silice, le spectre de gain Raman a une très large
étendue fréquentielle. Quand plusieurs pompes sont utilisées, il
peut aussi couvrir toute la fenêtre optique à faibles pertes, c’est-
à-dire, les bandes S, C et L, avec une bonne uniformité spectrale.

· L’amplification Raman est non seulement intrinsèquement à


faible bruit, mais corporativement à l’amplification localisée
dont les EDFAs sont l’archétype, elle permet une moindre
excursion du niveau de puissance de signal, et donc un meilleur
rapport signal sur bruit accompagné de moins de pénalités non
linéaires.
Conclusion
La figure ci-dessous montre le nombre d’articles publiés dans le
monde et de brevets déposés aux USA depuis 1980 dans le domaine
des EDFAs et des amplificateurs Raman. On y voit clairement que
l’intérêt porté à l’amplification par effet Raman est en pleine
expansion, ce qui tend à montrer que son utilisation doit se
démocratiser à l’avenir dans les systèmes de télécommunication.

Notons également qu’outre l’utilisation en amplification optique,


l’effet Raman est une voie prometteuse pour le développement une
technologie de laser à base de silicium. Cette technologie, développée
par Intel, trouverait alors de nombreuses applications pour
l’élaboration de télécommunications optiques au sein des
microprocesseurs et des calculateurs en général.

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