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Introduction générale
L’énergie électrique est l’un de premiers facteur conditionnant le développement d’un pays,
il représente de nos jours aussi une ressource essentielle et vitale pour l’homme. C’est
pourquoi les hôpitaux, les centres de traitement des données, les centres commerciaux, les
entreprises industrielles et le site minier ou forestier doivent impérativement être alimenté en
énergie électrique, car dans certains cas, une panne de courant peut entrainer une véritable
catastrophe. Pour cela, la fourniture de l’énergie électrique à tout un chacun est indispensable.
C’est pourquoi le Niger comme tous les autres pays s’est doté d’une structure assurant la
production, le transport et la distribution de l’énergie électrique sur toute l’étendue du
territoire. Au Niger, c’est la Société Nigérienne de l’Electricité(NIGELEC) qui assure ce
rôle. Elle possède des lignes provenant du Nigeria qui alimentent le plus grand nombre du
territoire du Niger et elle exploite des centrales électriques aussi avec des moyens de
production (groupes électrogènes).
C’est dans ce cadre que nous avons effectué notre stage au sein de la société Nigérienne
d’électricité (NIGELEC/Maradi) du 09 juillet au 09 septembre 2018.
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Dans les années 1960, les états de l’Afrique de l’Ouest pour la plupart ayant acquis
l’indépendance ont changé sa dénomination pour la renommer SAFELEC.
La NIGELEC quant à elle, a vu le jour le 07 septembre 1968 par suite de l’éclatement des
activités de la SAFELEC entre les sociétés nationales constituées par les états de l’Afrique de
l’Ouest. Elle s’est donc substituée dans ses droits et obligations à la SAFELEC, qui elle-
même avait précédé l’AOF.
La société nigérienne d’électricité (NIGELEC) est une société anonyme d’économie mixte au
capital de 3 356 500 000 f CFA (5 116 951 €) dont le siège social est à Niamey. Le capital de
la NIGELEC est détenu à:
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(positif) après impôt enregistré à la fin de l’exercice 2009 se chiffre à 1 176 505 000 FCFA
(1 793 570 €). Au terme de l’exercice 2009, la capacité d’autofinancement de l’entreprise était
de 8 817 197 000 f CFA (13 441 730 €).
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2.3. Constitution
Le circuit électrique est constitué des enroulements en fils conducteurs disposés autour d’une
colonne. Ces fils conducteurs, généralement en cuivre sont isolés pour permettre une bonne
circulation du courant dans les différentes spires qu’ils forment. Pour les transformateurs de
fortes puissances, l’isolation se fait par l’huile et par du papier diélectrique enroulé autour des
conducteurs. Des conducteurs multibrins y sont également utilisés pour limiter l'effet de peau
et les pertes par courants de Foucault. Du fait de forts courants qui les traversent, les
enroulements HT et BT des transformateurs de puissance sont généralement concentriques
pour permettre le couplage serré des inductances de fuites propres. Dans ce cas, les spires BT
sont placées sur les spires HT pour permettre la réalisation des connexions. On distingue les
enroulements bas et hauts tensions :
Les enroulements basse tension doivent véhiculer des intensités importantes lorsque
l’appareil est en charge. Ils doivent également supporter les efforts électrodynamiques
produits par un court-circuit. Pour les appareils les plus puissants, ils sont conçus en
bandes d’aluminium ou de cuivre. Le cuivre présente une faible résistivité mais un
poids important contrairement à l’aluminium qui possède une résistivité plus élevée
mais un poids plus faible. Le principal critère de choix de l’un ou l’autre est
généralement d’ordre économique.
L’enroulement haute tension : En haute tension, le principal problème est lié à la
tenue diélectrique. Le bobinage doit supporter des tensions normalisées importantes.
Parmi les différents types de bobinage existants, nous citerons les suivants :
le bobinage en longue couche : une couche occupe toute la longueur du noyau. La
tension entre spires de couches successives est plus importante à un bout de la
couche qu’à un autre. Le vernis isolant le conducteur n’est pas suffisant pour
assurer l’isolation des couches. On place alors un papier dont l’épaisseur varie.
Ceci permet d’avoir une tenue diélectrique plus importante à un bout de la couche
qu’à l’autre.
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Fréquence 50 Hz
Couplage YNd11
1 146520 39,4
HT YN 11 132000 43,74
21 117480 49,14
BT D 20000 288,7
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Le circuit magnétique est constitué des colonnes parallèles situées dans un même plan
vertical. Ils comportent un ou deux noyaux bobinés pour les transformateurs monophasés, et
trois noyaux bobinés pour les transformateurs triphasés.
L'enroulement primaire est soumis à une tension sinusoïdale. Il est donc traversé par un
courant sinusoïdal et donne naissance à travers le circuit magnétique à un flux sinusoïdal. Ce
flux engendre alors une force électromotrice induite dans l'enroulement primaire et dans
l'enroulement secondaire. Au niveau des bornes du secondaire, apparaît alors une tension
sinusoïdale dont la fréquence est la même que celle de la tension appliquée au primaire, mais
dont l'amplitude est différente.
2.3.3.1. Loi de FARADAY
La force électromotrice induite dans un circuit fermé est proportionnelle au taux de variation
du flux du champ magnétique traversant la surface délimitée par le circuit par rapport au
temps.
d
E
(Exprimé en volts) dt
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d d(N )
EN
dt dt
Le générateur impose la tension primaire ainsi que la fréquence. Le nombre de spires N1 étant
fixé par condition, le flux a sa valeur imposée en module et phase par le générateur selon la
relation :
U1 2Nf max
Soit U1 = 4,44 N1 fΦmax
Où
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Pertes dues aux harmoniques: émanant des charges non linéaires qui absorbent des
courants riches en composantes harmoniques.
2.3.4 Le rendement :
Les pertes à vide, ou pertes fer qui sont pratiquement indépendantes de la charge
Les pertes dues à la charge, ou pertes joule qui sont proportionnelles au carré de
l’intensité du courant.
L’intensité du courant de charge, de même que la puissance utile du transformateur étant
proportionnelles au taux de charge, le rendement varie avec ce dernier. Il s’exprime en
fonction de ces pertes et est compris entre 94% et 99% pour un transformateur de distribution.
Pu
avec : Pu * Sn * Cos
Pu Pf Pj
τ est le taux de charge du transformateur.
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Les éléments des services auxiliaires d’un transformateur de puissance sont les suivants :
Le relais Bucholz est un mécanisme qui se déclenchant quand il y a une trop grande
quantité de gaz produite dans le transformateur, témoignant d'un défaut interne au
transformateur ou d’un niveau très bas de l’huile du transformateur.
Il joue le même rôle que le relais Bucholz mais, lui il contrôle les gaz de la cuve du chargeur
de prise en charge(CPC).
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FIGURE 3. 4
C’est une soupape de sécurité qui fonctionne suite à une surpression dans la cuve du
transformateur.
3.5. Le conservateur :
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3.6.1 Silicagel
C’est à travers le silicagel que le conservateur rempli son rôle de respirant : lorsque l’huile
du transformateur se dilate, une certaine quantité remonte dans le conservateur et chasse l’air
à travers le silicagel.
C’est un appareil qui nous indique la température de l’huile dans la cuve principale du
transformateur et la température des enroulements du transformateur.
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Les radiateurs sont équipés de ventilateurs donc l’écoulement de l’air est forcé mais celui de
l’huile reste naturel
Les radiateurs sont aussi équipés de ventilateur, l’écoulement de l’air et d’huile est forcé
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Le changeur de prises en charge est prévu pour le réglage en charge de la tension, tout en
modifiant le rapport de transformation des transformateurs sans interruption de service.
Le seul élément mobile c'est le changeur de prise ou le régleur qui est considéré comme le
cœur du transformateur. Malheureusement il est souvent mal connu des exploitants et donc
parfois mal exploité. Il se fait oublier par sa robustesse et certainement sa longévité si certains
comportements sont respectés.
Pour tout réseau de transport d'énergie, le régleur en charge est essentiel pour adapter la
tension aux consignes contractuelles car il y'a de nombreuses raisons pour que cette tension
fluctue dans le temps. Le changeur de prises en charge est donc prévu pour le réglage en
charge de la tension tout en modifiant le rapport de transformation des transformateurs sans
interruption de service. Il est composé de deux (2) éléments:
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Fabrication 1992
Tension 132000 KV
Intensité 49 A
Nombre de position 21
Type BUF3
Chauffage 230V
NB : Révision après 100000 commutations mais au moins une fois tous les 7 ans. Examen
une fois par an.
Position 1 146520 V
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Position 21 117480 V
Les enroulements des transformateurs sont constitués en fils conducteurs disposés autour
des colonnes. Ces fils conducteurs, généralement en cuivre sont isolés pour permettre une
bonne circulation du courant dans les différentes spires qu’ils forment. Le cuivre présente une
faible résistivité mais un poids important contrairement à l’aluminium qui possède une
résistivité plus élevée mais un poids plus faible. Le principal critère de choix de l’un ou
l’autre est généralement d’ordre économique.
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Les traversées permettent de lier les enroulements du transformateur aux lignes électriques
sans risque de décharge électrique entre les phases et la cuve du transformateur qui est à la
terre. Ils sont constitués à l’intérieur d’une structure capacitive et à l’extérieure d’un isolant à
fin d’éviter les arcs électrique en surface.
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3) La maintenance corrective.
C’est une maintenance appliquée après défaillance (après l’apparition de la panne).dont elle
est de deux types:
La maintenance corrective palliative (dépannage) ;
La maintenance corrective curative (réparation).
4.1.4 Les cinq niveaux de maintenance
1ere Niveau : réglages simples prévus par le constructeur au moyen d’organes accessibles sans
aucun démontage d’équipement ou d’échange d’éléments accessibles en toute sécurité.
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2eme Niveau : Dépannage par échanges standards d’éléments prévus à cet état ou d’opération
mineure de maintenance préventive.
3eme Niveau : Identification de pannes, réparation par échange de composants fonctionnels
réparations mécaniques mineures.
4eme Niveau : Travaux importants de maintenance corrective ou préventive.
5eme Niveau : Travaux de rénovation de reconstruction ou de réparations importantes confiées
à un atelier central.
4.2. la maintenance du transformateur.
Pour un bon fonctionnement des transformateurs de puissance, on doit les maintenir
quotidiennement en bon état. Pour se faire, ces transformateurs sont soumis sous divers types
de maintenance.
Dans cette partie nous avons y à effectuer plusieurs maintenances préventives conditionnelles.
Ces dernières consistent à effectuer une série de test (celui d’isolement et de continuité). Chaque
transformateur nouveau commandé par la NIGELEC doit subir ces tests avant sa mise en
service.
Ce test consiste à vérifier la continuité entre les différentes phases au primaire et entre les
différentes phases et le neutre au secondaire. Il s’effectue à l’aide d’un appareil de mesure de
continuité (multimètre).
Au primaire :
On mesure la continuité entre les différentes phases ; si au moins entre deux phases, il n’y a pas
de continuité, alors le transformateur est défectueux dans le cas contraire, il est en bon état.
Au secondaire :
On mesure la continuité entre les différentes phases et le neutre ; si au moins il n’y a pas
continuité entre deux phases ou entre une phase et le neutre, le transformateur est défectueux
et dans le cas contraire, il est en bon état.
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La vérification au primaire
Après avoir allumé le mégohmmètre, on branche le fil rouge sur l’une des phases du primaire
et le fils noir sur la carcasse et ensuite on introduit une tension de 5000 V puis appuis sur le
bouton Start/stop pour lancer le test et on attend trois sonnés de l’appareil pour l’arrêter à l’aide
du même bouton ; l’isolement est bon quand la résistance atteint au moins un giga ohm.
La vérification au secondaire
On procède de la même manière que le premier cas sauf qu’ici on branche le fils rouge sur
une des phases de secondaire tout en gardant le noir sur la carcasse et introduit une tension de
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Operations Exécutions
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Sur ce transformateur, nous avons effectué deux types d’interventions à savoir le remplacement
de bobines et la suppression du commutateur.
Après les tests de continuité et d’isolement sur le transformateur de type 24/ 250-H-59, nous
avons remarqué une défaillance, alors nous l’avons opéré pour pallier à cette dernière. L’ordre
chronologique des opérations est la suivante :
dévissage des 32 boulons qui fixent le couvercle avec la carcasse du transformateur à l’aide
des clefs à pipes et à plate.
Soulèvement du couvercle de la carcasse, sous lequel sont fixés tous les bobinages du
transformateur.
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Laisser la partie soulevée pendant un certain temps pour que le résidu d’huile qui reste sur
Les bobines se déverse, avant de la déposer.
Déposer la partie soulevée sur une table.
Dévisser les isolateurs du primaire et le couvercle.
Vidanger la carcasse.
4.2.3.3. Diagnostic des pannes
On évalue les dégâts sur les différentes pièces du transformateur à l’œil nu. Dans ce cas précis,
c’est le commutateur qui a grillé. C’est un appareil destiné à modifier les connexions d’un ou
plusieurs circuits électriques. Son rôle essentiel est de varier la tension à la sortie du
transformateur.
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4.2.3.4. Dépannage
C’est une opération corrective qui consiste à mettre en état une machine ou un appareil qui ne
fonctionne plus à la suite d’une avarie. En effet, pour dépanner ce transformateur, on élimine
carrément le commutateur, donc de variation de tension. Pour ce faire, on procède comme suit :
L’huile du transformateur est une huile isolante pour transformateur et autres appareils
électriques semblables pour lesquels une stabilité à l’oxydation normale est requise. Elle sert
également à imprégner l’isolation papier de ces composants. Il s’agit traditionnellement d’huile
minérale hautement raffinée. C’est un bon conducteur thermique, et sa circulation à travers de
radiateurs permet d’évacuer la chaleur produite par les bobines et le circuit magnétique du
transformateur. Elle permet aussi l’isolation diélectrique et un haut point d’éclairage pour une
exploitation en toute sécurité. Cette huile est principalement composée de 4 familles
d’hydrocarbure : les paraffines, les naphtènes, les aromatiques et les alcènes. Une fois le
transformateur réparé, cette huile doit être testée pour voir sa capacité diélectrique. Ce test est
effectué à l’aide d’un appareil appelé Spintermètre.
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Le test d’huile consiste à remplir une petite boite avec l’échantillon d’huile et placer cette boite
sur les deux bornes de l’appareil.
Ensuite, on introduit des tensions en KV comme suit : 0.5 ; 1 ; 2 ; 3 ; 5 ; 0.5 pour recueillir des
tensions respectives à la sortie. On fait alors six test pour éliminer le premier et faire la moyenne
des tensions de sorties équivalentes. Alors si cette moyenne des tensions équivalentes est au
moins également à 20KV, alors l’huile est en bon état.
Exemple de test:
0.5 38.1
1 41.1
2 26.4
3 24.3
5 43.7
0.5 23.1
En supprimant le premier test la moyenne donne 31.72 KV supérieur à 20KV donc l’huile est
réutilisable.
4.2.3.6. Remontage
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Conclusion Générale
Les transformateurs sont les organes vitaux des réseaux de production et distribution de
l’énergie électrique, une défaillance peut entrainer des pannes des réseaux aux conséquences
extrêmement coûteuses. De ce fait, tous les fournisseurs d’énergie électrique doivent
d’améliorer leur efficacité en adoptant une politique de maintenance préventive et corrective
pour une meilleure exploitation des transformateurs. A l’issue de ce stage que nous avons
effectué au sein de la société nigérienne d’électricité (Nigelec), nous pouvons conclure, que ce
dernier nous a permis de se familiariser avec l’environnement de l’entreprise et de mettre en
pratique les cours théoriques apprises en classe.
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Bibliographie :
Document acquis sur le lieu de travail
Sites internet:
www.nigelec.ne
www.wikipedia.org
www.google.com
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Annex
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Annexe 3 : procedure du montage d’un parafoudre Annexe 4 : Mise à la terre d’une ligne
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