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À propos d Interventions sur le transfert

Par Adrian Ortiz

Je vous exposerai une lecture possible de l'Écrit de Jacques Lacan


Interventions sur le transfert. D’abord celle-ci est à situer dans le cadre de
l'articulation Lacan Freud. Ensuite cette lecture il faudrait encore la définir, en
ce qui concerne trois manières, minimum, de concevoir la praxis analytique
depuis le parcour de Lacan.

En premier terme, Lacan nous a enseigné que lire est appliquer au texte ce
que le même texte nous propose. Ceci est souligné dans cet Écrit lorsqu’il
formule: “le caractère textuel du commentaire que j'en donne”.

Nous partirons des différences entre les publications de cet article, en 1952
dans la Revue française de psychanalyse (pags. 154-163) et sa republication
(avec une réécriture) dans les Écrits de 1966 (pags. 215-226).

Il y a deux paragraphes qui ont été supprimés et d’autres reformulés. Dans la


ligne 9 de la version de la Revue Francaise Lacan a enoncé: “Ce qui constitue
en effet l´homme en tant qu´homme, c´est une exigence d´être reconnu par
l´homme”.

Il exprime ainsi ce qui a dirigé sa conception de la psychanalyse dans un


premier temps: il s'agit de la reconnaissance dans ses différents versions:
reconnaissance de l'homme, reconnaissance du désir de l'homme,
reconnaissance de la vérité de l'objet du désir.

La marque de Hegel et sa Phénomenologie de l’esprit est claire (confirmée par


les ferventes dénegations de Lacan), la dialectique hegelienne met la lutte par
la reconnaissance aux fondements mêmes du lien social.

Comment Lacan pense-t-il à ce moment-là la psychanalyse? “Dans une


psychanalyse en effet, le sujet, à proprement parler, se constitue par un
discours où la seule présence du psychalyste apporte avant toute intervention
la dimension du dialogue”.
Ce dialogue est caracterisé par la reconnaissance de l'un par l'autre qui
supporte le lien de l'Autre, qui en reconnaissant dans la parole la structure
d'un désir cherche à la faire reconnaître par l'analysant.

Dans un texte qui a la prétension d'assurer une “lecture textuelle” nous


pouvons tenter d’en vérifier cette thèse partant de certaines répétitions
“textuelles”; nous soulignerons l´insistance des paroles “vérité” (9 occasions),
“véridique, vrai” (et son contraire le mensonge) et reconnaissance (3
occasions) reconnaître, etc (et son contraire la non-reconnaissance) dans
diverses acceptions.

1 “… c´est una exigence d´être reconnu par l´homme” Rfp pag.154

2 “… ne pouvons nous voir là quelque méconnaissance d´une donnée


inmediate” Rfp pag. 155

3 “Et reconnaître dans l´attention privilégiée accordée a la fonction des traits


muets” RFP pag. 155

4 “Si méconnaissance il y a en effet nous devons l´interroger selon les


méthodes que nous appliquerions en tout semblable cas” RFP pag. 155

5 “et reconnaître dans l´attention privilégiée accordé à la fonction des traits


muets du comportement” RFP pag.

6 “si méconnaissance il y a en effet” RFP pag.

7 “La femme c´est l´objet impossbile à détacher d´un primitif désir oral et où
il faut pourtant qu´elle aprenne à reconnaître sa propre nature génitale.” RFP
pag. 159

8 “Pour acceder à cette reconnaissance de sa féminité il lui faudrait réaliser


cette assomption de son propre corps” RFP pag 159

9 “Mais cet hommage… Dora, ne pourrait être reçu par elle come
manifestation du désir, que si elle s´acceptait elle même comme objet du
désir” RFP pag. 160
10 “Si Freud en un troisième renversement dialectique eût donc orienté Dora
vers la reconnaissance de ce qui était pour elle Mme K…” RFP pag- 160

11 “La question du sens du transfert positif ouvrant ainsi la voie à la


reconnaissance de l´objet viril” RFP pag 160

12 “en entraînant tout le monde à la reconnaître pour malade…” RFP pag 161

13 “À ce moment elle a fait reconnaître par tous la vérité” RFP pag 162

Nous postulerons que la suppression dans les Ecrits du paragraphe cité de la


version 1952, pag. 154, (qui pour nous résume la conception de la
psychanalyse centrée dans la recherche par le psychanalyste de la
reconnaissance de l'analysant de la vérité de son désir ou de son désir de
vérité) est causée par le fait que Lacan entre une date et l’autre a changé sa
conception de la praxis analytique.

En 1952 Lacan était préocupé parce que la “psychanalyse d'aujourd'hui”,


centrée dans les relations d'objet et les interprétations de la réalité hinc et
nunc de la relation transférentielle, conduisait fatalement à une
“objectivation de certaines propriétés de l'individu”. Et à cette objectivation il
a tenté d'opposer le refus d'interpréter le transfert, en faisant le guide et
l´aiguille de la possibilité de situer le sujet et l'autre, soulignant l'importance
de la structure du langage dans la construction du sujet.

L'expérience analytique comme un procès dialectique est centrée dans la


reconnaissance de l'autre et son désir, de son désir de vérité. Situer le sujet
était chercher à reconnaître et faire reconnaître la vérité de son objet du
désir.

Cependant dans ses Écrits Lacan a laissé tomber cette conception de la


psychanalyse en tant que recherche de la vérité de l'objet du désir. À sa place
il a traité de situer les circonstances du surgissement de l'objet, mais à ce
moment-là comme cause du désir. Ce n'est plus important de conduire le
sujet en direction de la reconnaissance de ce qui constitue l'objet de son
désir, mais de situer les particularités, les détails de l'apparition de l'objet
cause du désir.

Dans cet Écrit il y a spécialement deux paragraphes où Lacan explicite sa


conception. Selon lui, où Freud aurait-il dû avoir conduit l'analyse de Dora?
Sur le premier paragraphe “si elle s´acceptait elle même comme objet du
désir”; ensuite il ajoute sur le deuxième: “Si Freud en un troisième
renversement dialectique eût donc orienté Dora vers la reconnaissance de ce
qui était pour elle Mme K…”

Il est très clair qu’ à ce moment là, pour Lacan l'analyste doit orienter
l'analysant vers la reconnaissance de l'objet de son désir. L'”erreur” de Freud
aurait consisté à promouvoir Mr K à cette place où Lacan a situé Madame K.

Mais Lacan en 1966 a commencé à virer son mode d'analyser et de concevoir


l'analyse. Il passe d'accentuer l'objet du désir à la conception de l´objet cause
du désir. Il ne s’agit pas de changer Mr K pour Mme K ou viceversa, mais de
situer le surgissement d’un objet cause d’une fascination qui apparaît dans
cette analyse sous la modalité de ¨la blancheur ravissante de son corps¨ et de
ce tableau de la Madonna au Musée de Dresden.

C’est la nature de cette fascination même qui fait tomber, qui rend impossible
l’appelation au sujet à aucune reconnaissance. La fascination pose à
l’analyste une énigme: comment intervenir appellant l'analysant dès et sur le
cadre même de cette fascination?
A propósito de Intervenciones sobre la transferencia de Jacques Lacan

Por Adrian Ortiz

Voy a exponerles una lectura posible del escrito de Lacan Interventions sur le
transfert. A ella hay que colocarla en el marco de la articulación Lacan Freud.
Dentro de los al menos tres modos de pensar la praxis analítica desde el
trayecto de Lacan.

En primer término, Lacan nos ha enseñado que leer es aplicar al texto lo que
el mismo nos propone: al respecto este Ecrit subraya “le caractère textuel du
commentaire que j´en donne” “El carácter textual del comentario que yo
efectúo.”

Partiremos de las diferencias entre la publicación en 1952 en la Revue


francaise de psychanalyse RFP (pags. 154-163) y su republicación y reescritura
en 1966 en los Ecrits (pags. 215-226).

Hay dos párrafos que han sido suprimidos, otros reformulados. En la línea 9
de la versión de la Revue Francaise de Psychanalyse ; suprimido en los Ecrits,
Lacan enuncia: “Ce qui constitue en effet l´homme en tant qu´homme, c´est
une exigence d´être reconnu par l´homme”. “Lo que en efecto constituye al
hombre en tanto que hombre, es una exigencia de ser reconocido por el
hombre”.

Consignaba así lo que dirigía su concepción del análisis en un primer tiempo:


se trataba del reconocimiento, en sus diversas versiones: reconocimiento del
hombre, reconocimiento de un deseo del hombre, reconocimiento de una
verdad del deseo.

En ella es muy nítida la marca de Hegel y su Fenomenologia del espíritu


(confirmada por sus fervientes desmentidas) la dialéctica hegeliana coloca a
la lucha por el reconocimiento como fundamento del lazo social.
Para Lacan ¿Cómo se constituia, en ese momento, el psicoanálisis?: “Dans
une psychanalyse en effet, le sujet, à proprement parler, se constitue par un
discours où la seule présence du psychalyste apporte avant toute intervention
la dimensión du dialogue”. “En efecto, en un psicoanálisis el sujeto se
constituye por un discurso donde la sola presencia del analista aporta, antes
de toda intervención, la dimensión del diálogo”.

Ese diálogo está caracterizado por el reconocimiento de uno por otro que
soporta el lugar de Otro, quien reconociendo en la palabra la estructura de un
deseo, intenta hacerla reconocer por el analizante.

Un escrito que pretende asegurar una “lectura textual”, podemos intentar


verificar tal tesis partiendo de ciertas repeticiones “textuales”; subrayemos la
insistencia de las palabras verdad (9 veces) (y su contracara la mentira), el
reconocimiento (3 veces) (y su contracara el no reconocimiento) en diversas
acepciones.

1 “… c´est una exigence d´être reconnu par l´homme” Rfp pag.154

2 “… ne pouvons nous voir là quelque méconnaissance d´une donnée inmediate!


Rfp pag. 155

3 “Et reconnaître dans l´attention priviligiée accordée a la fonction des traits


muets” RFP pag. 155

4 “Si méconnaissance il y a en effet nous devons l´interroger selon les méthodes


que nous appliquerions en tout semblable cas” RFP pag. 155

5 “et reconnaître dans l´attention privilégiée accordé à la fonction des traits muets
du comportement” RFP pag.

6 “si méconnaissance il y a en effet” RFP pag. 1

7 “La femme c´est l´objet impossbile à détacher d´un primitif désir oral et où il
faut pourtant qu´elle aprenne à reconnaître sa propre nature génitale.” RFP pag.
159
8 “Pour acceder à cette reconnaissance de sa féminité il lui faudrait réaliser cette
assomption de son propre corps” RFP pag 159

9 “Mais cet hommage… Dora, ne pourrait être reçu par elle come manifestation
du désir, que si elle s´acceptait elle même comme objet du désir” RFP pag. 160

10 “Si Freud en un troisième renversement dialectique eût donc orienté Dora vers
la reconnaissance de ce qui était pour elle Mme K…” RFP pag- 160

11 “La question du sens du transfert positif ouvrant ainsi la voie à la


reconnaissance de l´objet viril” RFP pag 160

12 “en entraînant tout le monde à la reconnaître pour malade…” RFP pag 161

13 “A ce moment elle a fait reconnaître par tour la vérité” RFP pag 162

El hecho que este párrafo de la versión de 1952 (que a nuestro entender


concentra la versión del análisis centrado en la búsqueda por parte del
analista de reconocer y hacer reconocer al analizante el objeto de su deseo)
haya sido suprimido en la versión de 1966, cuando Lacan reescribe todos sus
artículos, es efecto de que entre una fecha y otra Lacan forjó una nueva
concepción de la praxis analítica.

En el 52 a Lacan le preocupaba que el “psychanalyse d'aujourd'hui”centrado


en las relaciones de objeto y en la interpretación a partir de la realidad del
aquí y ahora de la relación transferencia conducía a una “objetivation de
certaines propiétés de l´individu”. Y a esa objetivación la contrastaba con el
rehusarse a interpretar la transferencia, y en lugar de ello usarla como guía de
la ubicación del sujeto, poniendo el énfasis en la importancia de la estructura
del lenguaje en la construcción del sujeto.

La experiencia analítica como dialéctica se centraba en el reconocimiento del


otro y su deseo, de su deseo de verdad. Situar al sujeto era situarlo frente al
reconocimiento de la verdad de su objeto deseo.

Pero en el momento de reescribir sus Ecrits Lacan deja caer esta concepción
del análisis como búsqueda de la verdad del objeto del deseo. En su lugar
intentará situar el surgimiento del objeto como causa del deseo. Ya no se
trata entonces de llevar al sujeto hacia el reconocimiento de aquello que
constituye el objeto de su deseo como de situar las circunstancias del
surgimiento del objeto causa del deseo.

En este escrito hay dos párrafos especialmente donde Lacan explicita su


concepción mostrando según él, adonde Freud debería haber conducido el
análisis de Dora (uno, “si ella a se aceptaba a sí como objeto de deseo...”, “si
elle s´acceptait elle même comme objet du désir”; el segundo: “Si Freud en
un tercer giro dialéctico hubiese orientado a Dora hacia el reconocimiento de
lo que era para ella la Sra K...” “Si Freud en un troisième renversement
dialectique eût donc orienté Dora vers la reconnaissance de ce qui était pour
elle Mme K…”).

Es claro que en ese momento para Lacan el analista debía orientar al


analizante al reconocimiento de lo que constituía el objeto de su deseo. El
“error” de Freud solo habría consistido en equivocar el objeto de deseo,
ubicando al Sr K allí donde Lacan coloca a la Sra K.

Pero en 1966 Lacan había comenzado un viraje en su modo de analizar y de


concebir el análisis. Pasando de la concepción de objeto del deseo a la que
visualiza al objeto como causa del deseo. No se trataría solo del cambio del Sr
K por la Sra K o viceversa, sino del surgimiento del objeto como causa de una
fascinación, que aparece tanto bajo la modalidad “un cuerpo blanquísimo”
como del cuadro de la Madonna en el Museo de Dresden.

Es la particularidad de esta fascinación la que hace caer, vuelve imposible la


apelación al sujeto de reconocimiento. Dicha fascinación plantea al analista el
enigma de cómo intervenir llamando al analizante desde y sobre el cuadro
mismo de tal fascinación.
About Interventions sur le transfert

Por Adrian Ortiz

I will present a possible reading of the writing of Lacan Interventions sur le


transfert. It must be placed in the frame of the Lacan Freud articulation.
Within the least means of analytical practice from the path of Lacan.

In the first place, Lacan has taught us that reading is to apply to the text what
it proposes to us: this Ecrit emphasizes, "the textual caractère du commentaire
que j'en donne", "The textual nature of the comment that I make "

We will start from the differences between the publication in 1952 in the
Revue française de psychanalyse RFP (pages 154-163) and its republication
and rewriting in 1966 in the Ecrits (pages 215-226).

There are two paragraphs that have been deleted, others reformulated. On line
9 of the Revue Francaise version of Psychanalyse; suppressed in the Ecrits,
Lacan states: "Ce que constitue en effet l'homme en tant qu'homme, c'est une
exigence d'être reconnu par l'homme". "What in effect is to man as a man, is a
requirement to be recognized by man."

It consigned thus what directed its conception of the analysis in a first time:
recognition of the man, recognition of a desire of the man, recognition of a
truth of the desire. In it the mark of Hegel and his Phenomenology of the spirit
is very clear (confirmed by his fervent denials) the Hegelian dialectic places
the struggle for recognition as the foundation of the social bond.

For Lacan: How is psychoanalysis constituted at that moment ?: "Dans joins


psychanalyse in effet, sujet, à proprement parler, constitutes a discours of the
seulence présence du psychalyste apporte avant toute intervention la
dimension the dialogue" . "In fact, in a psychoanalysis, the subject finds
himself in a discourse where the mere presence of the analyst brings, before
any intervention, the dimension of dialogue."

This dialogue is characterized by the recognition of one by another that


supports the place of Another, who recognizes in the word the structure of a
desire, tries to make it recognized by the analysand.

A paper that aims to ensure a "textual reading", we can try to verify this thesis
based on certain "textual" repetitions; we emphasize the insistence of the
words truth (9 times) (and its counterpart the lie), the recognition (3 times)
(and its counterpart the recognition) in different meanings.

1 “… c´est una exigence d´être reconnu par l´homme” Rfp pag.154

2 “… ne pouvons nous voir là quelque méconnaissance d´une donnée


inmediate! Rfp pag. 155

3 “Et reconnaître dans l´attention priviligiée accordée a la fonction des traits


muets” RFP pag. 155

4 “Si méconnaissance il y a en effet nous devons l´interroger selon les


méthodes que nous appliquerions en tout semblable cas” RFP pag. 155

6 “… ne pouvons nous voir là quelque méconnaissance d´une donnée


inmédiate…” RFP pag. 155

5 “et reconnaître dans l´attention privilégiée accordé à la fonction des traits


muets du comportement” RFP pag. 155

7 “La femme c´est l´objet impossbile à détacher d´un primitif désir oral et où
il faut pourtant qu´elle aprenne à reconnaître sa propre nature génitale.” RFP
pag. 159

8 “Pour acceder à cette reconnaissance de sa féminité il lui faudrait réaliser


cette assomption de son propre corps” RFP pag 159

9 “Mais cet hommage… Dora, ne pourrait être reçu par elle come
manifestation du désir, que si elle s´acceptait elle même comme objet du
désir” RFP pag. 160

10 “Si Freud en un troisième renversement dialectique eût donc orienté Dora


vers la reconnaissance de ce qui était pour elle Mme K…” RFP pag- 160

11 “La question du sens du transfert positif ouvrant ainsi la voie à la


reconnaissance de l´objet viril” RFP pag 160
12 “en entraînant tout le monde à la reconnaître pour malade…” RFP pag 161

13 “A ce moment elle a fait reconnaître par tour la vérité” RFP pag 162

The fact that this paragraph of the 1952 version (which in our opinion
concentrates the analysis version focused on the analyst's search to recognize
and make the analysand recognize the subject of his desire) was suppressed in
the 1966 version, when Lacan rewrites all his articles, it is the effect that
between one date and another Lacan forged a new conception of analytic
praxis.

In 52 Lacan was concerned that the "psychanalyse d'aujourd'hui" focused on


the object relations and on the interpretation of the reality of the here and now
of the transference relationship led to an "objectification of certaines propiétés
de l 'individu. ' And this objectivation was contrasted with refusing to interpret
the transference, and instead using it as a guide to the subject's location,
emphasizing the importance of the structure of language in the construction of
the subject.

The analytical experience as a dialectic focused on the recognition of the other


and his desire, of his desire for truth. To situate the subject was to place him in
front of the recognition of the truth of his desire object.

But in 1966 Lacan had begun a change in his way of analyzing and conceiving
analysis. Moving from the conception of the object of desire to the one that
visualizes the object as the cause of desire. It would not be just the change of
Mr. K by Ms. K or vice versa, but the emergence of the object as the cause of
a fascination, which appears both under the modality "a white body" and the
painting of the Madonna in the Dresden Museum.

It is the particularity of this fascination that makes it fall, making appeal to the
subject of recognition impossible. This fascination poses to the analyst the
enigma of how to made appeal to the analysand from and on the very picture
of such fascination.

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