Documenti di Didattica
Documenti di Professioni
Documenti di Cultura
Introduction :
Problématiques :
Qu est ce qu un entrepreneur ?comment l’esprit d’entreprendre se déclenche t-il chez lui ?(cas de
stev jobs) : qu il est le point déclencheur de l’esprit d’entrepreneur chez lui ?et comment il a pu
marquer l’histoire économique et d’entrepreneuriat surtout avec ses innovations ?
Partie 1 :L entrepreneur :
Conclusuion :
.
Partie 1 :
Le premier est doté en principe du leadership et la vision en phase avec les enjeux et
les risques.
Le second dispose normalement des vertus hautement nécessaires pour assurer la gestion
au quotidien des revenus et des charges.
La forte personnalité de l'« entrepreneur » souvent inséparable de l'entreprise qu'il a fondée ou
relancée et pratiquant un leadership souvent sans partage, fait que sa disparition - lorsque la
prise de relais n'est pas suffisamment préparée - entraîne fréquemment une crise de succession
dont les effets à terme peuvent être dévastateurs, surtout au moment où l'entreprise se sent
« orpheline ». Il est donc utile de prendre en compte l'influence que la personnalité de
l'entrepreneur exerce sur son entreprise1,2,3.
Selon une étude d'Ernst & Young, « on ne naît pas entrepreneur, on le devient »4. Mais d'autres
études soulignent que « les 3/4 des entrepreneurs sont issus d'une famille d'entrepreneurs ».
En France, l’âge moyen de l’entrepreneur est de 41 ans. 2 % des entrepreneurs ont moins de 25
ans5. Une faible proportion d’individus estime avoir les compétences nécessaires au démarrage
d’une activité entrepreneuriale : 38 % contre 43 % au Royaume-Uni et 56 % aux États-Unis6.
Pour la figure de l'entrepreneur propre à l'entreprise voir l'article : Entreprise
L'ensemble des entrepreneurs d'un même pays forme l'entrepreneuriat.
il n'existe pas de « profil type » de l'entrepreneur. De la même manière, il n'existe pas non
plus de profil idéal pour mettre en œuvre et concrétiser un projet. Cependant, des études
récentes ont montré qu un nombre d'entrepreneurs ont des caractéristiques et des traits de
personnalité similaires.
Dans un premier temps, les traits de personnalité :
Tout entrepreneur doit s’assurer qu’il veut réellement créer une entreprise et commencer par réfléchir sur lui-même; connaître
et expliciter ses motivations, identifier ses atouts, détecter ses points faibles et les défaillances concernant la création
d’entreprise.
Les entrepreneurs partagent certains traits psychologiques, certaines qualités intellectuelles et morales qui favorisent la création
et la gestion de l’entreprise. Dans ce qui suit, nous allons déterminer les principales qualités présentes chez un entrepreneur.
1- Le Flair / Intuition :
L’intuition se cultive par le système de relations et d’information que l’entrepreneur utilise et qui lui permet d’observer et de
rester à l’écoute de ce qui se passe sur son marché. L’entrepreneur sent ce qui se passe dans le marché et doit deviner ce qui
2- L’imagination :
L’entrepreneur définit ce qu’il veut faire et comment il va le faire, puis il le fait. C’est un rêveur concret, il sait s’organiser pour
passer à l’action. Les entrepreneurs mis en situation, une fois leur entreprise créée, doivent apprendre à cultiver leur imagination
3- La passion :
La passion aide à maintenir la motivation. Elle agit aussi comme un stimulant pour viser des sommets. Elle redonne du courage
à l’entrepreneur. La passion est un des éléments-clefs qui va soutenir la dynamique et le dynamisme de l’entrepreneur, son
enthousiasme, sa vivacité.
4- Le jugement :
L’entrepreneur doit prendre des décisions éclairées déterminantes pour la réussite et la survie de l’entreprise. Alors, il doit
évaluer, calculer, regarder les conséquences des décisions qu’il s’apprête à prendre. Ceci requiert énormément de souplesse
d’esprit. Pour prendre des décisions éclairées, il lui faut du jugement. Il faut qu’il possède une bonne compréhension des
éléments en cause.
5- La prudence :
Les entrepreneurs qui réussissent sont ceux qui sont des adeptes de la prudence et qui se sont habitués à penser à long terme
6- La dextérité :
Quel que soit le secteur dans lequel l’entrepreneur se lancera, il aura l’avantage de bien connaître les équipements nécessaires
Un entrepreneur doit savoir se débrouiller, être créatif, fonceur, faire preuve de beaucoup d’optimisme et avoir une grande
confiance en soi-même. Il doit investir de l’énergie, apprendre à se dépasser, apprendre à se concentrer et continuer à travailler
La capacité à communiquer constitue un élément important de la réussite de l’entrepreneur. Le créateur d’entreprise devra
posséder au plus haut degré l’esprit d’équipe et avoir le profil d’un leader.
9- La différenciation – L’originalité :
Un entrepreneur doit créer la différenciation de son offre en lui conférant des qualités distinctes de celles des concurrents. Elle
peut porter sur une ou plusieurs caractéristiques du produit lui-même, du service associé au produit, sur le personnel, sur le
point de vente… La différenciation et l’originalité commencent par une attitude mentale, une façon de se concevoir et
10- La flexibilité :
Pour vendre, l’entrepreneur doit être flexible. Il doit savoir s’ajuster aux personnes et aux circonstances. Il doit être à l’écoute
11- La prévoyance :
Une des activités les plus complexes qu’aura à mener l’entrepreneur dès le début consiste à savoir bien s’entourer puis à choisir
des collaborateurs qu’il embauchera ou avec qui il sous-traitera. Il doit être capable de regarder avec clairvoyance au-delà de
l’immédiat.
Remarque : Il n’est pas indispensable qu’une personne dispose de la plupart des caractéristiques des entrepreneurs pour qu’elle
puisse devenir entrepreneur. Les entrepreneurs n’ont pas tous les mêmes caractéristiques. Un entrepreneur peut présenter des
particularités sur certains aspects et avoir des points de ressemblances avec d’autres entrepreneurs sur d’autres aspects. Chez
un entrepreneur, certaines caractéristiques sont plus fortes que d’autres, ce qui fait que chacun possède un profil bien particulier
Les précurseurs : Pour Richard Cantillon (1723), l'entrepreneur achète des produits et
services à un prix certain pour le revendre à un prix incertain sur le marché, après
défraiement des frais de transport 7. Jean-Baptiste Say (1767-1832) fonde véritablement le
concept et lui confère une consistance significative. Marcel Proust utilise l'image glorifiée de
l'entrepreneur pour décrire avec emphase un des personnages dur roman La
Prisonnière (1923): "C'était un homme, un vrai, un entrepreneur".
Joseph Schumpeter redonne à l'entrepreneur une place importante en le désignant comme
étant « l'homme de l'innovation » 8: Parce qu'il incarne et porte le pari de l'innovation, son
dynamisme assure la réussite de celle-ci :
« L’entrepreneur est un homme dont les horizons économiques sont vastes et dont l’énergie
est suffisante pour bousculer la propension à la routine et réaliser des innovations ».
C'est un véritable aventurier qui n'hésite pas à sortir des sentiers battus pour innover et
entraîner les autres hommes à faire autre chose que ce que la raison, la crainte ou
l'habitude leur dictent de faire. Il doit vaincre les résistances qui s'opposent à toute
nouveauté risquant de remettre en cause le conformisme ambiant.
L'entrepreneur est beaucoup plus qu'un chef d'entreprise, simple administrateur
gestionnaire. Beaucoup plus qu'un rentier-capitaliste, simple propriétaire des moyens de
production.
Ainsi, on pourrait soutenir qu'Henry Ford lorsqu'il s'établit en 1906 comme chef
d'entreprise n'est pas un entrepreneur. Mais qu'il le devient en 1909, lorsque ses usines
commencent à fabriquer la fameuse Ford T et font évoluer l'automobile vers le statut
d'objet de consommation courante et qu'il met en œuvre le système de la chaîne de
montage qui permet à la fois de baisser les coûts de production et d'accroître le débit de
la production, ce qui ouvre la porte à la production de masse.
Autre exemple de véritable entrepreneur avec Alfred Krupp qui concentre verticalement
ses entreprises et met en pratique le nouveau procédé de fabrication de l'acier imaginé
par l'anglais Henry Bessemer.
Pour Schumpeter, l'entrepreneur est certes motivé par la réalisation de bénéfices générés
par les risques pris et la réussite. Mais, la conception du profit défendue est originale.
L'entrepreneur crée de la valeur comme le salarié et comme lui il est aussi motivé par un
ensemble de mobiles irrationnels dont les principaux sont sans doute la volonté de
puissance, le goût sportif de la victoire et de l'aventure, ou la joie simple de créer et de
donner vie à des conceptions et des idées originales. Pour Schumpeter, le profit est la
sanction de l'initiative créatrice des risques pris par l'entrepreneur. Cette conception est
contraire aux économistes classiques qui font du profit la contrepartie des efforts
productifs (capital et travail) de l'entrepreneur, ce qui est plutôt celle du chef d'entreprise.
Elle est également contraire à la conception marxiste, qui place l'origine du profit dans la
confiscation de la plus-value, c'est-à-dire l'appropriation d'une partie du fruit du travail des
salariés, là on trouve plutôt le rentier-capitaliste.
L'entrepreneur doit choisir un statut juridique pour son entreprise, entreprise individuelle
ou société, qui sera déterminant pour les formalités de déclaration, pour son statut
juridique personnel, ainsi qu'en matière fiscale, administrative ou sociale. Créer une
société consiste à donner naissance à une nouvelle personne juridiquement distincte des
associés fondateurs, que l'on nomme « personne morale ».
Entreprise individuelle Entreprise en nom propre ou en nom personnel. Artisan, commerçant, ind
L'identité de l'entreprise correspond à celle du profession libérale
dirigeant, qui est responsable sur ses biens propres.
Entreprise individuelle à Entreprise individuelle dans laquelle l'entrepreneur Artisan, commerçant, ind
responsabilité limitée peut affecter un patrimoine à son activité profession libérale
(EIRL) professionnelle, séparé de son patrimoine personnel.
Entreprise unipersonnelle Société qui comporte un seul associé, qui ressemble Artisan, commerçant, ind
à responsabilité limitée de fait à une entreprise individuelle, mais qui obéit profession libérale (mais
(EURL) aux règles d'une SARL. professions juridiques, ju
ou de santé, à l'exception
pharmaciens)
Société en nom collectif Société dans laquelle les associés (minimum 2) ont Artisan, commerçant, ind
(SNC) la qualité de commerçants et sont responsables profession libérale (mais
solidairement des dettes de la société. Aucun capital professions juridiques, ju
minimum. ou de santé, à l'exception
pharmaciens)
Société en commandite Société qui comporte des commandités Artisan, commerçant, ind
simple (SCS) (commerçants) et des commanditaires (non profession libérale (mais
commerçants). professions juridiques, ju
Statut juridique Caractéristiques Qui peut l'utiliser ?
Société en commandite Société qui doit comporter au moins 4 associés : 1 Artisan, commerçant, ind
par actions (SCA) commandité (commerçants) et 3 commanditaires. profession libérale (mais
professions juridiques, ju
Les commandités sont responsables solidairement ou de santé, à l'exception
des dettes de la société, tandis que les pharmaciens)
commanditaires sont responsables que dans la limite
de leurs apports.
Société à responsabilité Société dans laquelle chacun des associés (entre 2 et Artisan, commerçant, ind
limitée (SARL) 100) n'est en principe responsable des dettes de la profession libérale (mais
société qu'à hauteur de ses apports personnels. professions juridiques, ju
Aucun capital minimum. ou de santé, à l'exception
pharmaciens)
Société d'exercice libéral Société permettant d'exercer une profession libérale Profession libérale réglem
(SEL) : Société réglementée sous la forme d'une SARL
d'exercice libéral à
responsabilité limitée
(SELARL), par exemple
Société civile Société permettant à plusieurs membres d'une Profession libérale réglem
professionnelle (SCP) profession libérale réglementée d'exercer en (sauf orthophonistes, orth
commun leur activité, même si chaque associé reste pédicures podologues,
personnellement imposé sur sa part de bénéfices pharmaciens, sages-femm
généraux d’assurances, e
Statut juridique Caractéristiques Qui peut l'utiliser ?
comptables, diététiciens,
psychologues)
Société par actions Société dans laquelle chacun des associés (au Artisan, commerçant, ind
simplifiée (SAS) minimum 2, sans maximum) est responsable des profession libérale (mais
dettes de la société qu'à hauteur de ses apports professions juridiques, ju
personnels. Sans capital minimum. ou de santé)
Société par actions Société à un seul associé reprenant les caractères Artisan, commerçant, ind
simplifiée unipersonnelle d'une SAS. Sans capital minimum. profession libérale (mais
(SASU) professions juridiques, ju
ou de santé)
Formalités
La constitution d'une entreprise nécessite de :
Steve Jobs est le cofondateur d'Apple, société pionnière de l'ordinateur personnel, qui connaît un
succès fulgurant. Il est considéré comme un innovateur de génie et un visionnaire.
Steve Jobs naît à San Francisco en 1955. Passionné très tôt par l'électronique, et influencé par la
culture orientale, il entreprend un voyage en Inde en 1974. L'année suivante, Steve Jobs et son ami
Steve Wozniak conçoivent un prototype d'ordinateur et en 1976 naît la société Apple (Computer). Les
deux amis montent les premiers Apple I dans le garage de Steve. En 1977, ils commercialisent l'Apple
II, qui est le premier ordinateur personnel à être vendu à grande échelle. La société entre en bourse
en 1980 et Steve Jobs devient multimillionnaire à 25 ans. Après s'être inspiré de l'interface graphique
Xerox, il lance l'Apple Lisa en 1983 puis le Macintosh en 1984. Steve Jobs embauche en 1983 John
Sculley (directeur général chez Pepsi-Cola) pour la campagne publicitaire du Macintosh.
Mais dès 1984, une lutte de pouvoir s'engage entre Jobs et Sculley et Steve Jobs décide de quitter
l'entreprise en 1985. Il fonde alors NeXT Computers. Les produits n'ont pas le succès escompté, mais
il a réussi à mettre en place des technologies révolutionnaires. En 1986, Steve Jobs rachète
également un studio d'animation, renommé par la suite Pixar. Apple rachète NeXT en 1996 et Steve
Jobs est de nouveau directeur général en 2000. Sous sa direction, Apple lance l'iMac en 1998, l'iPod
en 2001, puis l'iPhone en 2007, suivi de l'iPad en 2010 et s'impose comme une référence dans le
domaine technologique. Le lancement d'iTunes en 2001, d'iTunes Store en 2003, puis l'ouverture des
Apple Stores scellent la popularité d'Apple.
Atteint d'un cancer du pancréas depuis 2003, Steve Jobs meurt en octobre 2011, à l'âge de 56 ans.
Steve Jobs est décédé des suites d'un cancer à l'âge de 56 ans, après avoir passé la main à Tim Cook en tant
que directeur général du groupe Apple quelques semaines plus tôt. Très affaibli par la maladie ces deux
dernières années, son état de santés
* sa force résidait dans sa capacité à ne pas se contenter du present mais à anticiper le future ; il ne suivait pas
les tendances il les creait
*il suivait une politique basée sur l essentiel ; il ne s’embarrasser pas de l inutile
*il savait liée les idées entre elles et d ameliorer ce qui existait avant.
*il était un homme sans modele qui se fesait des regles ;s en fichait des regles suivait son cœur et son
intuition avec sa philosophie de ne pas vivre la vie d un autre et de ne ressembler à personne.
*une forte capacité de concentration et détermination, obséder par le fait de créer le produit parfait,
la motivation pour lui c était le produit et non pas le parfait.
Tout est parti du fond d’un garage en 1976, qui a vu naître ce qui allait devenir l’une des marques
les plus puissantes de la planète. L’élément déclencheur de la troisième révolution industrielle,
c'est-à-dire les technologies de l’information.
le don du marketing
Au départ, Steve JOBS et son ami Steve Wozniak, qu’il a rencontré à 15 ans lors d’un stage
chez HEWLETT-PACKARD, avaient un projet audacieux : celui de construire un ordinateur
compact, bon marché et simple d’utilisation pour unusage domestique. Parce qu’à
l’époque, la technologie informatique était coûteuse, encombrante et surtout réservée aux
entreprises. Les deux amis vont donc privilégier les composants bon marché. A l’idée de relever
les défis du coût de réalisation, Steve JOBS fixa le prix de son invention à 666,66 dollars. Une
tarification qui lui procurait un fort potentiel de vente.
200 exemplaires seront écoulés en 1976. Un record qui convint un gros investisseur. Résultat :
la société APPLE voit le jour. L’APPLE II, aujourd’hui encore considéré comme un chef d’œuvre
technique, suivra l’année d’après. Cette dernière réalisation a le don d’accélérer le déclic. JOBS
réalise son rêve de voir entrer l’ordinateur dans les foyers, au même titre que la télévision et la
radio. Le slogan « One man, One micro », inspiré de la devise démocratique de l’époque « One
man, one vote », est alors adopté.
Un come-back victorieux
Dès les années 1980, APPLE atteint un chiffre d’affaires d’environ 1 milliard de dollars,
fortune qui lui permet de faire son introduction en Bourse. Là encore, le génie de Steve
Jobs lui permet de moissonner 240 millions de dollars, à seulement 25 ans. Malheureusement,
l’aventure boursière lui fait perdre le contrôle de sa société. Des discordances avec certains
managers extérieurs nommés par les actionnaires se font jour.
John SCULLEY, venu de chez PEPSICO, pour occuper le poste de PDG d’Apple en 1983,
participera ainsi au lancement du premier Macintosh (Ndlr : Nom d’une variété de pommes).
Une opération très controversée puisqu’elle ne manque pas d’affecter gravement ses relations
avec le fondateur Jobs. C’est donc avec une immense déconvenue que Steve JOBS
démissionna de sa propre entreprise en 1985. Mais il fallait compter avec l’esprit de gagneur de
l’homme.
Avec l’argent amassé chez Apple, Jobs rachète à George LUCAS (Ndlr : le créateur de la
saga Star Wars), le studio PIXAR, qui lancera avec Disney, entre autres, les dessins
animés Toy Story, Le Monde de Nemo. Il fonda aussi NEXT, fabriquant d’ordinateurs haut de
gamme, et de logiciels. Mais cette dernière entreprise eu une réussite modeste.
La firme perd aussi sa place sur le marché de l’informatique, face à l’offensive d’une dizaine de
fabricants de PC, profitant de la montée en puissance de Microsoft de Bill Gates. Ce dernier
grâce à une stratégie bien ficelée, réussit à équiper leurs ordinateurs de logiciels, leur donnant
presque les mêmes arguments que ceux vendus par Apple. La société est au bord du gouffre, et
se tourne en 1997 vers NeXT, ayant développé entre temps un système d’exploitation
prometteur. Apple, rachète finalement cette autre entreprise de Steve Jobs pour 400 millions de
dollars, et réengage ce dernier comme PDG.
Lancement innovant pour un produit très innovant
Grâce à ses apports, Apple retrouve dès 1998 ses fans, avec le lancement de l’iMac, qui parvient
à créer une dé-consommation des PC. D’autant que grâce à sa forme arrondie et ses couleurs
vives, la nouvelle trouvaille vole la vedette aux PC. Une campagne est mise en avant afin
d’illustrer le retour à l’esprit maison. Avec la signature « Think different », elle met en scène des
icônes telles qu’Einstein, laCallas et Gandhi !
Il créa donc iTunes, iMovie et iDVD, dont l’apport est de renforcer les capacités des appareils.
Cette approche nommée la synthèse créative, sera incarnée en 2001 dans l’iPod, un baladeur
MP3 miniature doté d’une énorme capacité de stockage et d’un design épuré. Ce jouet devient
très vite leader sur le marché. La même recette est utilisée avec l’iPhone, Smartphone de
référence lancé en 2007, et plus tard (Avril 2010) avec l’iPad, une tablette tactile qui connaitra le
même succès.
Ces dernières réussites vont permettre à Apple de détenir 60% de parts du marché de la
téléphonie mobile, loin devant Samsung. Alors que la firme américaine y faisait à peine son
entrée avec seulement deux produits.
Cela a été possible grâce une nouvelle fois, au talent de marketeur de Steve JOBS, qui a eu
l’idée d’orchestrer un buzz médiatique mondial, avant la commercialisation de ces objets. « Je
n’ai pas été aussi enthousiasmé à l’idée d’acheter quelque chose depuis mes 8 ans », avouait
alors un chroniqueur du New York Times.
Jobs est devenu « iGod », gourou charismatique du high-tech, dont la société est devenue la
plus chère du monde. Un fou qui réussi à changer le monde avec ses idées, comme le proclamait
en 1997, une publicité de Apple : « Seuls ceux qui sont assez fous pour penser qu’ils
peuvent changer le monde y parviennent. » Steve Jobs a su relancer la marque à la pomme,
mais ne s’est malheureusement pas sorti du cancer qui l’a éteint en 2011.
Conclusion :
Nous pouvons réellement constater que c'est grâce a Steve Jobs que l'entreprise Apple a connu
son apogée. En effet, malgré le fait qu'il soit associé a un homme tyrannique et anti social, Steve
Jobs fût à la tête de l'entreprise high-tech la plus valorisée du monde.
Très tôt, Steve Jobs s'est passionné pour l'électronique. C'est en 1976, en collaboration avec
Steve Wozniack et Ronald Wayne qu'il lance sa carrière avec Apple. Après avoir traverse de
multiples épreuves, avoir été tant critiqué, l'ancien preésident directeur général d'Apple restera
dans les mémoires en tant qu'innovateur hors du commun.
Le PDG imposait sa vision, et rappelait souvent Henry Ford : « Si j’avais demandé à mes
clients ce qu’ils attendaient, ils auraient répondu : Un cheval plus rapide ». Il se montrait
d’un perfectionnisme implacable.
D'après une interview au magazine NEWSWEEK en 1985:
Conclusion :
Ce trait de caractère tiens notamment au fait qu’il souhaite plus que tout
réaliser de grandes choses par l’intermédiaire de ses produits, et ainsi
construire une entreprise pérenne.
L’un des atouts de Steve Jobs est sa capacité à découvrir toutes les
possibilités d’un produit et de faire tout ce qu’il faut pour l’améliorer et le
rendre « indispensable ».
Outre la qualité des produits Apple qui n’est plus a démontré, Steve Jobs a
réussi à rendre le monde de l’informatique attrayant voir même « sexy » à une
époque où le PC était principalement un produit « pratique ». Lui à voulu créer
des objets certes pratique mais au delà de ça, des produits beau, simple
d’utilisation et agréable à utiliser pour le commun des mortels.