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Qu est ce qu un entrepreneur ?

Introduction :

La compréhension que nous avons de l'entrepreneuriat doit beaucoup à l'économiste


Joseph Schumpeter ainsi qu'à l'école autrichienne.
L’entrepreneuriat recouvre les activités qui concourent à la formation et la croissance
d'une entreprise, dont la conséquence première est la création de valeur (richesse, emploi). Cela
peut aussi concerner des formes d'organisation sans but lucratif, par exemple dans
l'entrepreneuriat social.
Les formes d’entrepreneuriat varient selon le type d’organisation qui est mis en place.
Par ailleurs, pour Schumpeter (1950), un entrepreneur est une personne qui veut et qui est
capable de transformer une idée ou une invention en une innovation réussie.
Dans un cadre général nous allons répondre à certaines questions dans ce travail pour
cerner la notion de l’entrepreneur tout en prenant le cas de steev jobs comme exemple d un
entrepreneur qui a marqué le monde d’entrepreneuriat par sa carrière et son innovation dans
le secteur de la technologie informatique.

Problématiques :
Qu est ce qu un entrepreneur ?comment l’esprit d’entreprendre se déclenche t-il chez lui ?(cas de
stev jobs) : qu il est le point déclencheur de l’esprit d’entrepreneur chez lui ?et comment il a pu
marquer l’histoire économique et d’entrepreneuriat surtout avec ses innovations ?

Partie 1 :L entrepreneur :

1.1 typologie et caractéristiques :

1.2 profil, compétences et qualités

1.3Evolution de la vision d entrepreneur

1.4Statut juridique de l’entrepreneur

1.5L'accompagnement des entrepreneurs

Partie 2 : steev jobs : entrepreneur pas comme les autres

2.1biographie et evenements marquant sa vie et son parcours dans le monde d’innovation

2.2 Comment il est devenu entrepreneur ?

2.3les secrets de sa reussite

Conclusuion :
.

Partie 1 :

Selon la définition de l'Organisation Internationale du Travail (Capt, 1998),


Un entrepreneur est "quelqu'un qui analyse le potentiel de son environnement économique,
trouve les moyens de l'améliorer, mobilise les ressources et agit de manière à tirer parti des
possibilités existantes.
C’est est une personne à l'origine de la création d'une activité économique, dans la plupart des cas ex
nihilo. Formulé différemment, un entrepreneur est un chef d'entreprise qui possède les compétences
et la motivation suffisantes pour créer une activité économique, se lancer sur un secteur d'activité,
créer des emplois, etc. Plusieurs éléments caractérisent un entrepreneur : une implication forte dans
son projet, un investissement matériel et/ou moral important, une personnalité marquée par un
leadership naturel.

L'identification de l'entrepreneur à son projet d'entreprise ou à une entreprise établie explique le


degré fort de son implication.
À la différence du terme d'homme d'affaires, le terme d'« entrepreneur » laisse entendre que
celui-ci est fortement investi matériellement et/ou moralement dans le développement et le
déploiement de son projet. Il est en fait investit d'une mission de salut public. La réunion et la
mobilisation de ressources pertinentes, ainsi que la volonté de pérennisation de celle-ci dans le
cadre durable d'une organisation voire d'une institution.
Pour autant, les exemples abondent qui montrent que les qualités indéniables chez un
« entrepreneur » ne coïncident pas toujours avec celles du « gestionnaire » :

 Le premier est doté en principe du leadership et la vision en phase avec les enjeux et
les risques.
 Le second dispose normalement des vertus hautement nécessaires pour assurer la gestion
au quotidien des revenus et des charges.
La forte personnalité de l'« entrepreneur » souvent inséparable de l'entreprise qu'il a fondée ou
relancée et pratiquant un leadership souvent sans partage, fait que sa disparition - lorsque la
prise de relais n'est pas suffisamment préparée - entraîne fréquemment une crise de succession
dont les effets à terme peuvent être dévastateurs, surtout au moment où l'entreprise se sent
« orpheline ». Il est donc utile de prendre en compte l'influence que la personnalité de
l'entrepreneur exerce sur son entreprise1,2,3.

Selon une étude d'Ernst & Young, « on ne naît pas entrepreneur, on le devient »4. Mais d'autres
études soulignent que « les 3/4 des entrepreneurs sont issus d'une famille d'entrepreneurs ».
En France, l’âge moyen de l’entrepreneur est de 41 ans. 2 % des entrepreneurs ont moins de 25
ans5. Une faible proportion d’individus estime avoir les compétences nécessaires au démarrage
d’une activité entrepreneuriale : 38 % contre 43 % au Royaume-Uni et 56 % aux États-Unis6.
Pour la figure de l'entrepreneur propre à l'entreprise voir l'article : Entreprise
L'ensemble des entrepreneurs d'un même pays forme l'entrepreneuriat.

il n'existe pas de « profil type » de l'entrepreneur. De la même manière, il n'existe pas non
plus de profil idéal pour mettre en œuvre et concrétiser un projet. Cependant, des études
récentes ont montré qu un nombre d'entrepreneurs ont des caractéristiques et des traits de
personnalité similaires.
Dans un premier temps, les traits de personnalité :

-L’entrepreneur a généralement un esprit inventif et imaginatif.


- il est capable d'anticiper et de prévoir des perspectives futures :
- n'a pas peur de prendre des risques
- il a de l’Énergie et dynamisme :
- Capacité à résoudre de multiples problèmes :
- Il est passionné
- Il doit avoir une facilité de communication pour mener à bien ses négociations.
Dans un deuxième temps, les qualités managériales,

- Poussé par une ambition débordante et par le désir de tout contrôler,

- il se voit comme un leader et aime diriger.


- Conscient à la fois de ses points forts et faibles,
- la moindre difficulté le stimule et devient un véritable défi à relever.
- Capable de s'adapter aux différentes situations qui se présentent à lui.
- Capacité de travailler en équipe
- Capacité de prendre des bonnes décisions.

Tout entrepreneur doit s’assurer qu’il veut réellement créer une entreprise et commencer par réfléchir sur lui-même; connaître

et expliciter ses motivations, identifier ses atouts, détecter ses points faibles et les défaillances concernant la création

d’entreprise.

Les entrepreneurs partagent certains traits psychologiques, certaines qualités intellectuelles et morales qui favorisent la création

et la gestion de l’entreprise. Dans ce qui suit, nous allons déterminer les principales qualités présentes chez un entrepreneur.
1- Le Flair / Intuition :

L’intuition se cultive par le système de relations et d’information que l’entrepreneur utilise et qui lui permet d’observer et de

rester à l’écoute de ce qui se passe sur son marché. L’entrepreneur sent ce qui se passe dans le marché et doit deviner ce qui

peut présenter du potentiel.

2- L’imagination :

L’entrepreneur définit ce qu’il veut faire et comment il va le faire, puis il le fait. C’est un rêveur concret, il sait s’organiser pour

passer à l’action. Les entrepreneurs mis en situation, une fois leur entreprise créée, doivent apprendre à cultiver leur imagination

pour demeurer en affaires ou devancer leurs concurrents.

3- La passion :

La passion aide à maintenir la motivation. Elle agit aussi comme un stimulant pour viser des sommets. Elle redonne du courage

à l’entrepreneur. La passion est un des éléments-clefs qui va soutenir la dynamique et le dynamisme de l’entrepreneur, son

enthousiasme, sa vivacité.

4- Le jugement :

L’entrepreneur doit prendre des décisions éclairées déterminantes pour la réussite et la survie de l’entreprise. Alors, il doit

évaluer, calculer, regarder les conséquences des décisions qu’il s’apprête à prendre. Ceci requiert énormément de souplesse

d’esprit. Pour prendre des décisions éclairées, il lui faut du jugement. Il faut qu’il possède une bonne compréhension des

éléments en cause.

5- La prudence :

Les entrepreneurs qui réussissent sont ceux qui sont des adeptes de la prudence et qui se sont habitués à penser à long terme

pour minimiser les risques dans leurs prises de décision.

6- La dextérité :

Quel que soit le secteur dans lequel l’entrepreneur se lancera, il aura l’avantage de bien connaître les équipements nécessaires

à son activité et à bien les maîtriser.

7- La débrouillardise(3) – la constance(4) – la ténacité(5):

Un entrepreneur doit savoir se débrouiller, être créatif, fonceur, faire preuve de beaucoup d’optimisme et avoir une grande

confiance en soi-même. Il doit investir de l’énergie, apprendre à se dépasser, apprendre à se concentrer et continuer à travailler

dans la même direction.


8- La communication :

La capacité à communiquer constitue un élément important de la réussite de l’entrepreneur. Le créateur d’entreprise devra

posséder au plus haut degré l’esprit d’équipe et avoir le profil d’un leader.

9- La différenciation – L’originalité :

Un entrepreneur doit créer la différenciation de son offre en lui conférant des qualités distinctes de celles des concurrents. Elle

peut porter sur une ou plusieurs caractéristiques du produit lui-même, du service associé au produit, sur le personnel, sur le

point de vente… La différenciation et l’originalité commencent par une attitude mentale, une façon de se concevoir et

s’expriment ensuite dans ce que fait la personne.

10- La flexibilité :

Pour vendre, l’entrepreneur doit être flexible. Il doit savoir s’ajuster aux personnes et aux circonstances. Il doit être à l’écoute

et montrer de la sensibilité envers son environnement, et savoir s’ajuster en conséquence.

11- La prévoyance :

Une des activités les plus complexes qu’aura à mener l’entrepreneur dès le début consiste à savoir bien s’entourer puis à choisir

des collaborateurs qu’il embauchera ou avec qui il sous-traitera. Il doit être capable de regarder avec clairvoyance au-delà de

l’immédiat.

Remarque : Il n’est pas indispensable qu’une personne dispose de la plupart des caractéristiques des entrepreneurs pour qu’elle

puisse devenir entrepreneur. Les entrepreneurs n’ont pas tous les mêmes caractéristiques. Un entrepreneur peut présenter des

particularités sur certains aspects et avoir des points de ressemblances avec d’autres entrepreneurs sur d’autres aspects. Chez

un entrepreneur, certaines caractéristiques sont plus fortes que d’autres, ce qui fait que chacun possède un profil bien particulier

tout en possédant plusieurs caractéristiques communes contribuant à son succès.

Les caractéristiques dominantes de la personnalité entrepreneuriale ont évolué:

 Les précurseurs : Pour Richard Cantillon (1723), l'entrepreneur achète des produits et
services à un prix certain pour le revendre à un prix incertain sur le marché, après
défraiement des frais de transport 7. Jean-Baptiste Say (1767-1832) fonde véritablement le
concept et lui confère une consistance significative. Marcel Proust utilise l'image glorifiée de
l'entrepreneur pour décrire avec emphase un des personnages dur roman La
Prisonnière (1923): "C'était un homme, un vrai, un entrepreneur".
 Joseph Schumpeter redonne à l'entrepreneur une place importante en le désignant comme
étant « l'homme de l'innovation » 8: Parce qu'il incarne et porte le pari de l'innovation, son
dynamisme assure la réussite de celle-ci :
« L’entrepreneur est un homme dont les horizons économiques sont vastes et dont l’énergie
est suffisante pour bousculer la propension à la routine et réaliser des innovations ».
C'est un véritable aventurier qui n'hésite pas à sortir des sentiers battus pour innover et
entraîner les autres hommes à faire autre chose que ce que la raison, la crainte ou
l'habitude leur dictent de faire. Il doit vaincre les résistances qui s'opposent à toute
nouveauté risquant de remettre en cause le conformisme ambiant.
L'entrepreneur est beaucoup plus qu'un chef d'entreprise, simple administrateur
gestionnaire. Beaucoup plus qu'un rentier-capitaliste, simple propriétaire des moyens de
production.
Ainsi, on pourrait soutenir qu'Henry Ford lorsqu'il s'établit en 1906 comme chef
d'entreprise n'est pas un entrepreneur. Mais qu'il le devient en 1909, lorsque ses usines
commencent à fabriquer la fameuse Ford T et font évoluer l'automobile vers le statut
d'objet de consommation courante et qu'il met en œuvre le système de la chaîne de
montage qui permet à la fois de baisser les coûts de production et d'accroître le débit de
la production, ce qui ouvre la porte à la production de masse.
Autre exemple de véritable entrepreneur avec Alfred Krupp qui concentre verticalement
ses entreprises et met en pratique le nouveau procédé de fabrication de l'acier imaginé
par l'anglais Henry Bessemer.
Pour Schumpeter, l'entrepreneur est certes motivé par la réalisation de bénéfices générés
par les risques pris et la réussite. Mais, la conception du profit défendue est originale.
L'entrepreneur crée de la valeur comme le salarié et comme lui il est aussi motivé par un
ensemble de mobiles irrationnels dont les principaux sont sans doute la volonté de
puissance, le goût sportif de la victoire et de l'aventure, ou la joie simple de créer et de
donner vie à des conceptions et des idées originales. Pour Schumpeter, le profit est la
sanction de l'initiative créatrice des risques pris par l'entrepreneur. Cette conception est
contraire aux économistes classiques qui font du profit la contrepartie des efforts
productifs (capital et travail) de l'entrepreneur, ce qui est plutôt celle du chef d'entreprise.
Elle est également contraire à la conception marxiste, qui place l'origine du profit dans la
confiscation de la plus-value, c'est-à-dire l'appropriation d'une partie du fruit du travail des
salariés, là on trouve plutôt le rentier-capitaliste.

 Dans une période plus récente, divers auteurs enrichissent le concept


de diverses manières :
David McClelland (1961): l’entrepreneur est avant tout motivé par un besoin débordant de
réalisations, par « la nécessité de construire ».
Collins and Moore (1970) (étude du cas de 150 entrepreneurs) concluent qu’ils sont durs,
pragmatiques et conduits par le besoin d’indépendance et de réalisation, et peu enclins à
se plier à l’autorité.
Peter Drucker dans son ouvrage « Les Entrepreneurs » (1985), insiste sur l'innovation et
l'esprit d'entreprise (entrepreneurship)
Bird (1992) voit les entrepreneurs comme étant Mercuriels et imprévisibles, sujets à des
intuitions, des activités cérébrales intenses, et des déceptions. Ce pourquoi ils sont
ingénieux, plein de ressources, malins, opportunistes, créatifs, et sentimentaux.
Busenitz et Barney (1997) défendent le fait que les entrepreneurs sont susceptibles d’être
trop confiants ou de généraliser trop facilement.
Cole (1959), définit quatre types d’entrepreneurs : l’innovateur, l’inventeur qui calcule, le
promoteur trop optimiste et le constructeur d’organisations.
Burton W. Folsom Jr. distingue quant à lui ce qu’il appelle « l’entrepreneur politique » qui
cherche le profit pour son affaire en usant de son influence politique afin d’obtenir des
faveurs et des accords avec le gouvernement, de « l’entrepreneur de marché » qui
recherche le profit sans mettre en jeu son influence.
 Le statut juridique : c’est la forme que prend l’entreprise ;
 Les statuts : c’est le document qui détermine le mode de fonctionnement de
l’entreprise/association, etc.

L'entrepreneur doit choisir un statut juridique pour son entreprise, entreprise individuelle
ou société, qui sera déterminant pour les formalités de déclaration, pour son statut
juridique personnel, ainsi qu'en matière fiscale, administrative ou sociale. Créer une
société consiste à donner naissance à une nouvelle personne juridiquement distincte des
associés fondateurs, que l'on nomme « personne morale ».

Le choix du statut de l'entreprise dépend du type d'activité professionnelle qui y sera


exercée, ainsi que d'autres éléments à prendre en compte :

 l'entreprise sera-t-elle individuelle ou créée en association avec des


partenaires ?
 quels sont les besoins de financement de la nouvelle structure ?
 le créateur envisage-t-il de séparer son patrimoine personnel du patrimoine de
l'entreprise ?

Statut juridique Caractéristiques Qui peut l'utiliser ?

Entreprise individuelle Entreprise en nom propre ou en nom personnel. Artisan, commerçant, ind
L'identité de l'entreprise correspond à celle du profession libérale
dirigeant, qui est responsable sur ses biens propres.

Entreprise individuelle à Entreprise individuelle dans laquelle l'entrepreneur Artisan, commerçant, ind
responsabilité limitée peut affecter un patrimoine à son activité profession libérale
(EIRL) professionnelle, séparé de son patrimoine personnel.

Entreprise unipersonnelle Société qui comporte un seul associé, qui ressemble Artisan, commerçant, ind
à responsabilité limitée de fait à une entreprise individuelle, mais qui obéit profession libérale (mais
(EURL) aux règles d'une SARL. professions juridiques, ju
ou de santé, à l'exception
pharmaciens)

Société en nom collectif Société dans laquelle les associés (minimum 2) ont Artisan, commerçant, ind
(SNC) la qualité de commerçants et sont responsables profession libérale (mais
solidairement des dettes de la société. Aucun capital professions juridiques, ju
minimum. ou de santé, à l'exception
pharmaciens)

Société en commandite Société qui comporte des commandités Artisan, commerçant, ind
simple (SCS) (commerçants) et des commanditaires (non profession libérale (mais
commerçants). professions juridiques, ju
Statut juridique Caractéristiques Qui peut l'utiliser ?

Les commandités sont responsables solidairement ou de santé, à l'exception


des dettes de la société, tandis que les pharmaciens)
commanditaires sont responsables que dans la limite
de leurs apports.

Aucun capital minimum.

Société en commandite Société qui doit comporter au moins 4 associés : 1 Artisan, commerçant, ind
par actions (SCA) commandité (commerçants) et 3 commanditaires. profession libérale (mais
professions juridiques, ju
Les commandités sont responsables solidairement ou de santé, à l'exception
des dettes de la société, tandis que les pharmaciens)
commanditaires sont responsables que dans la limite
de leurs apports.

Le capital social minimum est de 37 000 € ou


de 225 000 €selon le cas.

Société anonyme (SA) Société de capitaux, dont la participation des


actionnaires (au minimum 2, ou 7 pour une société
cotée) est fondée sur les capitaux qu'ils ont investis
dans l'entreprise. Elle peut être dirigée par un
conseil d'administration avec un président-directeur
général (PDG) ou par un conseil de surveillance
avec un directoire.

Société à responsabilité Société dans laquelle chacun des associés (entre 2 et Artisan, commerçant, ind
limitée (SARL) 100) n'est en principe responsable des dettes de la profession libérale (mais
société qu'à hauteur de ses apports personnels. professions juridiques, ju
Aucun capital minimum. ou de santé, à l'exception
pharmaciens)

Société d'exercice libéral Société permettant d'exercer une profession libérale Profession libérale réglem
(SEL) : Société réglementée sous la forme d'une SARL
d'exercice libéral à
responsabilité limitée
(SELARL), par exemple

Société civile Société permettant à plusieurs membres d'une Profession libérale réglem
professionnelle (SCP) profession libérale réglementée d'exercer en (sauf orthophonistes, orth
commun leur activité, même si chaque associé reste pédicures podologues,
personnellement imposé sur sa part de bénéfices pharmaciens, sages-femm
généraux d’assurances, e
Statut juridique Caractéristiques Qui peut l'utiliser ?

comptables, diététiciens,
psychologues)

Société par actions Société dans laquelle chacun des associés (au Artisan, commerçant, ind
simplifiée (SAS) minimum 2, sans maximum) est responsable des profession libérale (mais
dettes de la société qu'à hauteur de ses apports professions juridiques, ju
personnels. Sans capital minimum. ou de santé)

Société par actions Société à un seul associé reprenant les caractères Artisan, commerçant, ind
simplifiée unipersonnelle d'une SAS. Sans capital minimum. profession libérale (mais
(SASU) professions juridiques, ju
ou de santé)

Formalités
La constitution d'une entreprise nécessite de :

 lui donner un nom (dénomination sociale ou raison sociale) ;


 la domicilier dans un local adapté (siège social) ;
 lui apporter un minimum d'argent et/ou de biens qui constitueront son capital
social ;
 désigner une ou plusieurs personnes chargées de l'administrer et de la
représenter vis-à-vis des tiers ;
 consigner dans un contrat toutes les règles qui régiront son fonctionnement
(les "statuts").

L'accompagnement entrepreneurial s’inscrit dans la perspective de l’aide au conseil à la


création et au management stratégique. C’est une méthode fondée sur l'heuristique de la
décision et sur la systémique (Julien, 1997). En fait, l'approche se veut collective et encourage
le créateur ou le dirigeant à reproduire progressivement sa propre démarche intellectuelle dans
le cadre des impératifs organisationnels et du contexte socio-économique général (Gartner,
1989). La pertinence des investigations qualitatives permet de mieux approcher cette
démarche d'intériorisation des pratiques d'accompagnement.
Les démarches d'accompagnement à la création d'entreprise sont désormais courantes et font partie
des préoccupations socio-économiques des collectivités locales (Fourcade, 1991). En fait, le
processus de création et de développement de l’entreprise s’inscrit dans un écosystème constitué
par les agents socio-économiques du territoire concerné, en l’occurrence, les institutions locales, les
réseaux de sous-traitances et de fournisseurs, les structures de recherche, les organismes de
formation et les financeurs actuels et potentiels. Sous l’influence croisée de ces agents, le territoire
peut connaître de notables transformations pour s’assurer une dynamique économique favorisée par
les pratiques d'accompagnement (Fayolle, 1994; Saporta, 1994; LevanLemesle, 1998). Les actions
collectives de sensibilisation à la création d’entreprise et d’accompagnement des créateurs émanent
de cette nécessité de dynamiser le territoire local (Smith, Dickson et Smith, 1991; Johannison, 1988;
Geringer, 1988; Lynch, 1989; Freeman, 1991; Blancho, 1995). On remarque que, non seulement, ces
actions contribuent à bâtir un environnement économique favorable au phénomène entrepreneurial,
mais qu'elles participent aussi à l’aménagement du territoire.

La motivation du créateur et le positionnement de son système d’offres constituent les deux


conditions de base de tout projet entrepreneurial. Mais nous postulons que la jeune entreprise peut
franchir plus facilement le cap des trois à cinq premières années si l’accompagnement se fonde sur
un façonnement culturel. Celui-ci passe par une dimension professionnelle avec des partenaires du
monde économique (chambres de commerce, chambres de métier, club de créateurs, banques,
consultants, experts comptables, conseils juridiques, notaires, etc.) qui inscrivent leurs actions dans
une démarche d’apprentissage relatif à la gestion des obstacles administratifs à la création
d’entreprise et à l’intériorisation progressive des fonctions clés compte tenu du positionnement
stratégique retenu.

Certaines s’imposent d’office comme l’approche marketing, la production et la gestion comptable et


financière. Le façonnement culturel intègre toutes ces dimensions à partir d’une structuration
progressive du couple ressources/compétences rendue possible grâce à l’ensemble des partenaires
jouant les rôles de courtier de l’information et de la formation (Julien, 1996). Une telle démarche est
à même de permettre à l’entrepreneur d’assurer avec plus d’efficacité ses premières fonctions. Il
s’agit notamment de :

• Voir les banques ;

• Rechercher des aides ;

• Remplir les dossiers administratifs ;

• Rechercher des informations marketing ;

• Comprendre les droits et les obligations d’un responsable d’entreprise ;

• Apprendre sur le terrain par immersion ;

• Avoir les premières affaires et dégager les prévisions.

Partie II : steev jobs un bon exemple d entrepreneur innovant

Né à San Francisco (États-Unis) le 24/02/1955 ; Mort à Palo Alto (États-Unis) le 05/10/2011

Steve Jobs est le cofondateur d'Apple, société pionnière de l'ordinateur personnel, qui connaît un
succès fulgurant. Il est considéré comme un innovateur de génie et un visionnaire.

Steve Jobs naît à San Francisco en 1955. Passionné très tôt par l'électronique, et influencé par la
culture orientale, il entreprend un voyage en Inde en 1974. L'année suivante, Steve Jobs et son ami
Steve Wozniak conçoivent un prototype d'ordinateur et en 1976 naît la société Apple (Computer). Les
deux amis montent les premiers Apple I dans le garage de Steve. En 1977, ils commercialisent l'Apple
II, qui est le premier ordinateur personnel à être vendu à grande échelle. La société entre en bourse
en 1980 et Steve Jobs devient multimillionnaire à 25 ans. Après s'être inspiré de l'interface graphique
Xerox, il lance l'Apple Lisa en 1983 puis le Macintosh en 1984. Steve Jobs embauche en 1983 John
Sculley (directeur général chez Pepsi-Cola) pour la campagne publicitaire du Macintosh.

Mais dès 1984, une lutte de pouvoir s'engage entre Jobs et Sculley et Steve Jobs décide de quitter
l'entreprise en 1985. Il fonde alors NeXT Computers. Les produits n'ont pas le succès escompté, mais
il a réussi à mettre en place des technologies révolutionnaires. En 1986, Steve Jobs rachète
également un studio d'animation, renommé par la suite Pixar. Apple rachète NeXT en 1996 et Steve
Jobs est de nouveau directeur général en 2000. Sous sa direction, Apple lance l'iMac en 1998, l'iPod
en 2001, puis l'iPhone en 2007, suivi de l'iPad en 2010 et s'impose comme une référence dans le
domaine technologique. Le lancement d'iTunes en 2001, d'iTunes Store en 2003, puis l'ouverture des
Apple Stores scellent la popularité d'Apple.
Atteint d'un cancer du pancréas depuis 2003, Steve Jobs meurt en octobre 2011, à l'âge de 56 ans.
Steve Jobs est décédé des suites d'un cancer à l'âge de 56 ans, après avoir passé la main à Tim Cook en tant
que directeur général du groupe Apple quelques semaines plus tôt. Très affaibli par la maladie ces deux
dernières années, son état de santés

*il était un fondateur innovant,

*il était un entrepreneur visionnaire

* sa force résidait dans sa capacité à ne pas se contenter du present mais à anticiper le future ; il ne suivait pas
les tendances il les creait

*il était courageux

*il suivait une politique basée sur l essentiel ; il ne s’embarrasser pas de l inutile

*il savait liée les idées entre elles et d ameliorer ce qui existait avant.

*il savait s inspirer de ce qu’il l entoure

*il était un homme sans modele qui se fesait des regles ;s en fichait des regles suivait son cœur et son
intuition avec sa philosophie de ne pas vivre la vie d un autre et de ne ressembler à personne.

*une capacité de s entourer des bonnes personnes

*un leader pointilleux et exigeant, obsédé par le contrôle

*une forte capacité de concentration et détermination, obséder par le fait de créer le produit parfait,
la motivation pour lui c était le produit et non pas le parfait.

*avec sa mort il avait assuré l avenir d APPLe


Si Steve JOBS, fondateur de Apple et père des révolutionnaires iMac, iPod, iPhone, iPad…
est aujourd’hui vénéré par une bonne frange des technophiles même après sa mort, c’est parce
qu’il avait une philosophie particulière . Chose qui a permis à sa firme de dépasser le 25 Janvier
2010, la barre de 50 milliards de dollars de chiffres d’affaires. Gros plan sur les secrets d’une
réussite.

Tout est parti du fond d’un garage en 1976, qui a vu naître ce qui allait devenir l’une des marques
les plus puissantes de la planète. L’élément déclencheur de la troisième révolution industrielle,
c'est-à-dire les technologies de l’information.

 le don du marketing
Au départ, Steve JOBS et son ami Steve Wozniak, qu’il a rencontré à 15 ans lors d’un stage
chez HEWLETT-PACKARD, avaient un projet audacieux : celui de construire un ordinateur
compact, bon marché et simple d’utilisation pour unusage domestique. Parce qu’à
l’époque, la technologie informatique était coûteuse, encombrante et surtout réservée aux
entreprises. Les deux amis vont donc privilégier les composants bon marché. A l’idée de relever
les défis du coût de réalisation, Steve JOBS fixa le prix de son invention à 666,66 dollars. Une
tarification qui lui procurait un fort potentiel de vente.

200 exemplaires seront écoulés en 1976. Un record qui convint un gros investisseur. Résultat :
la société APPLE voit le jour. L’APPLE II, aujourd’hui encore considéré comme un chef d’œuvre
technique, suivra l’année d’après. Cette dernière réalisation a le don d’accélérer le déclic. JOBS
réalise son rêve de voir entrer l’ordinateur dans les foyers, au même titre que la télévision et la
radio. Le slogan « One man, One micro », inspiré de la devise démocratique de l’époque « One
man, one vote », est alors adopté.

 Un come-back victorieux
Dès les années 1980, APPLE atteint un chiffre d’affaires d’environ 1 milliard de dollars,
fortune qui lui permet de faire son introduction en Bourse. Là encore, le génie de Steve
Jobs lui permet de moissonner 240 millions de dollars, à seulement 25 ans. Malheureusement,
l’aventure boursière lui fait perdre le contrôle de sa société. Des discordances avec certains
managers extérieurs nommés par les actionnaires se font jour.

John SCULLEY, venu de chez PEPSICO, pour occuper le poste de PDG d’Apple en 1983,
participera ainsi au lancement du premier Macintosh (Ndlr : Nom d’une variété de pommes).
Une opération très controversée puisqu’elle ne manque pas d’affecter gravement ses relations
avec le fondateur Jobs. C’est donc avec une immense déconvenue que Steve JOBS
démissionna de sa propre entreprise en 1985. Mais il fallait compter avec l’esprit de gagneur de
l’homme.

Avec l’argent amassé chez Apple, Jobs rachète à George LUCAS (Ndlr : le créateur de la
saga Star Wars), le studio PIXAR, qui lancera avec Disney, entre autres, les dessins
animés Toy Story, Le Monde de Nemo. Il fonda aussi NEXT, fabriquant d’ordinateurs haut de
gamme, et de logiciels. Mais cette dernière entreprise eu une réussite modeste.

Apple pendant ce temps, connaît de multiples déboires, notamment l’échec du projet


d’organisateur électronique Newton.

La firme perd aussi sa place sur le marché de l’informatique, face à l’offensive d’une dizaine de
fabricants de PC, profitant de la montée en puissance de Microsoft de Bill Gates. Ce dernier
grâce à une stratégie bien ficelée, réussit à équiper leurs ordinateurs de logiciels, leur donnant
presque les mêmes arguments que ceux vendus par Apple. La société est au bord du gouffre, et
se tourne en 1997 vers NeXT, ayant développé entre temps un système d’exploitation
prometteur. Apple, rachète finalement cette autre entreprise de Steve Jobs pour 400 millions de
dollars, et réengage ce dernier comme PDG.
 Lancement innovant pour un produit très innovant
Grâce à ses apports, Apple retrouve dès 1998 ses fans, avec le lancement de l’iMac, qui parvient
à créer une dé-consommation des PC. D’autant que grâce à sa forme arrondie et ses couleurs
vives, la nouvelle trouvaille vole la vedette aux PC. Une campagne est mise en avant afin
d’illustrer le retour à l’esprit maison. Avec la signature « Think different », elle met en scène des
icônes telles qu’Einstein, laCallas et Gandhi !

La sortie de l’iBook, version portable de l’iMac, contribue à accroitre l’engouement autour de la


marque. Jobs, est alors l’un des premiers à saisir les nouveaux enjeux de la révolution
numérique : la prolifération des appareils photo, caméras vidéos et MP3, transforme les
ordinateurs en plates-formes multimédias, dont les logiciels associés fournissent le contenu.

Il créa donc iTunes, iMovie et iDVD, dont l’apport est de renforcer les capacités des appareils.
Cette approche nommée la synthèse créative, sera incarnée en 2001 dans l’iPod, un baladeur
MP3 miniature doté d’une énorme capacité de stockage et d’un design épuré. Ce jouet devient
très vite leader sur le marché. La même recette est utilisée avec l’iPhone, Smartphone de
référence lancé en 2007, et plus tard (Avril 2010) avec l’iPad, une tablette tactile qui connaitra le
même succès.

Ces dernières réussites vont permettre à Apple de détenir 60% de parts du marché de la
téléphonie mobile, loin devant Samsung. Alors que la firme américaine y faisait à peine son
entrée avec seulement deux produits.

Cela a été possible grâce une nouvelle fois, au talent de marketeur de Steve JOBS, qui a eu
l’idée d’orchestrer un buzz médiatique mondial, avant la commercialisation de ces objets. « Je
n’ai pas été aussi enthousiasmé à l’idée d’acheter quelque chose depuis mes 8 ans », avouait
alors un chroniqueur du New York Times.

Jobs est devenu « iGod », gourou charismatique du high-tech, dont la société est devenue la
plus chère du monde. Un fou qui réussi à changer le monde avec ses idées, comme le proclamait
en 1997, une publicité de Apple : « Seuls ceux qui sont assez fous pour penser qu’ils
peuvent changer le monde y parviennent. » Steve Jobs a su relancer la marque à la pomme,
mais ne s’est malheureusement pas sorti du cancer qui l’a éteint en 2011.
Conclusion :
Nous pouvons réellement constater que c'est grâce a Steve Jobs que l'entreprise Apple a connu
son apogée. En effet, malgré le fait qu'il soit associé a un homme tyrannique et anti social, Steve
Jobs fût à la tête de l'entreprise high-tech la plus valorisée du monde.

Très tôt, Steve Jobs s'est passionné pour l'électronique. C'est en 1976, en collaboration avec
Steve Wozniack et Ronald Wayne qu'il lance sa carrière avec Apple. Après avoir traverse de
multiples épreuves, avoir été tant critiqué, l'ancien preésident directeur général d'Apple restera
dans les mémoires en tant qu'innovateur hors du commun.

Le PDG imposait sa vision, et rappelait souvent Henry Ford : « Si j’avais demandé à mes
clients ce qu’ils attendaient, ils auraient répondu : Un cheval plus rapide ». Il se montrait
d’un perfectionnisme implacable.
D'après une interview au magazine NEWSWEEK en 1985:

« Ce pourquoi je suis le meilleur, c’est trouver un groupe de gens talentueux et fabriquer


des choses avec eux. »
Il accompagne son retour chez Apple en 1997 d’une campagne publicitaire
révolutionnaire « Think Different », qui associait Apple à des figures telles que Gandhi, Einstein
et Picasso. Il admis un jour que ces publicités étaient autant destinés aux clients d’Apple qu’à ses
salariés pour leur redonner « l’amour de leur travail ».
Il était à l'honneur, notamment lors des Stevenotes ( pour Steve Jobs et la keynote = conférence
), conférence pour annoncer le prochain produit Apple.

Conclusion :

Steev jobs était un homme de fort caractere .On découvre un homme au


caractère fort, avec de nombreuses sautes d’humeur et qui
entretenais des rapports souvent difficiles avec les autres. Il n’y a pas vraiment
de demi mesures avec Jobs. Comme le montre à de nombreuses reprises le
livre soit vous faites partie de la catégorie des génies ou des médiocres…
Quitte à changer de cases selon son état de forme.

Ce trait de caractère tiens notamment au fait qu’il souhaite plus que tout
réaliser de grandes choses par l’intermédiaire de ses produits, et ainsi
construire une entreprise pérenne.

L’un des atouts de Steve Jobs est sa capacité à découvrir toutes les
possibilités d’un produit et de faire tout ce qu’il faut pour l’améliorer et le
rendre « indispensable ».
Outre la qualité des produits Apple qui n’est plus a démontré, Steve Jobs a
réussi à rendre le monde de l’informatique attrayant voir même « sexy » à une
époque où le PC était principalement un produit « pratique ». Lui à voulu créer
des objets certes pratique mais au delà de ça, des produits beau, simple
d’utilisation et agréable à utiliser pour le commun des mortels.

En bref, impossible de décrire Steve Jobs en quelque lignes tellement le


personnage est complexe et « haut en couleur ». Je vous conseille d’autant
plus le livre si vous faites professionnellement partie du monde de
l’informatique, du marketing et du design. On apprend des choses très
instructive sur ces différents secteurs de métiers.

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