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: \ C8 canes Md (2s Nathan B= Vacances COMMENT REUSSIR SA RENTREE EN TROISIEME ? LES CONSEILS TRES PRATIQUES DU N°1 TUR hel ee eae @ Le premier examen de sa vie scolaire, Les nolés eequises pendant Tannee comptent pour labtention du «DNB», dou ia nécessité dun travail régulier, dds le premier trimestre. Mars (élave doit Aussi ge preparer aux épreuves derites de mathématiques, francais et histoire géographie de lexamen final Le «DNB» fait ainsi figure de «mini-baccolauréal » el doit dtre appréhendé avec la méme — rigueur, Tous les réflexes acquis 4 cette occasion Seront en effet dune grande utilité pour “i les révisions du Bac, quelques années lus tard hpi tenu Nt. Les program Wont tres chargés, aveoup dadoles.- ince 4 Se Noyer Aoujours ios Par Stéphanie BRIERE, Directrice du Departement Pédagogie Acadomia, La troisiéme est une annee doublement importante pour Uéléve qui doit obtenir le Diplame National du Brevet et preparer en paralléle son passage au lycée, Quelques conseils pour alder votre enfant 4 réussir ce double defi... dre délinirdes Entin, it faut impeérativernent remedier oux lacunes «qui ne pardennent plus» au lyede » une Mmauvaise orthographe, une présentation boclee des deveirs, un manque de méthodolagie, @N'attender pas d'avoir besoin d'aide... Vous ne vous senter pas sullisamment pedagogue ? Vous manquez de temps pour suivre devoirs et lecons? Les sdances de travail tournent au contlit? Dans tous ces cas, 1 hésiles pas 4 lire appel a une solution de soutien sealaire, Acadornia vous — propose des enseiqnants sdélectionnés selon deux critéres - partaite connaissance du programme de 3° et aptitude & comrru: hiquer avec des adolescents, Et il guffit bien souvent d'une & deux heures par semaine pour accompagner l'éléve dans $8 progression, tout au long de lannée. ® Pourquoi pas un Stage Intenaitl de pré-rentrée 7 Pour faite une bonne troisiéme, les bases de lannée précédente doivent dire tros solides, Sous peine de perdre pied dos les premiers contrdles, Cone. lider les acquis, Cesl justoment lobjectii des Stages — Intensifs’ organiads par Acadomia pendant Vété. Stage Individuel’ 4 yotre dernicile, deux heures par jour pendant une deux Semaines Gu slage eh pelit qroupe’ (8 elaves maxinvumn..), Vetre Conseiller Pedagogique Acadomis Saura vous re commander la formule la plus efficacc pour une reniree en pleine forme | Se Emr ibe « Mathematiques ou francais » tages en petits groupes Ganises aans vorre Leora juste avant la rentreeé NOUR lmmalomarilee Manhole ies. mare ee Le ene Mii he) mathematiques ot francais Pendant une semaine, A 106 deux heures par your, Onl insi PoOUuVvoOn reviser lés points fondamentaux du programm nnee passee, a partir de ca © los differentes bie ea ProgramMmMees erent in POTS aoe ol nbetlls Tay /OUS Au ER materia) eri ce Beenie nd oe peetinns 8 @ ¥Ou8 @cHule pour eae eee Ol Ree Nee ee bal DE CHAQUE ENFANT ADAGUAMIA ROS 41) ba0.29) > GIKHOT. epadit Pht | Bethy Iniage Denis ANTON Sherlock Holmes a disparu dans les chutes de Reichenbach, agrippé au professeur Moriarty, son ennemi mortel. Les années passent... Un jour, - @ Londres, le fidele Watson regoit la visite d'un vieux bibliophile... ~ Je tournai la tete pour regarder le rayon en ques: tion, puis je la tournai a nouveau vers mon hibliophi- le.. Sherlock Holmes était debout de lautre cote de la table, souriant. Je bondis sur mes pieds je le contemplai stupéfait pendant quelques instants. et puis, pour la premiere ‘et derniére fois de ma vie, je dus m evanouir. En tout cas un brouillard gris tourbillonna devant mes yeux, et, quand il se dissipa.je mapercus que mon col etait deboutonné : javais encore sur les Jevres un vague arriére-gout de cognac. Holmes était penche au-des- sus de mon fauteuil, un flacon dans la main. _ ~Mon cher Watson ! me dit la voix dont je me souve- — nais si bien, je vous dois mille excuses. Je ne pensais pas que vous étiez aussi sensible. - _Je Yempoignai par le bras. — Holmes ! mécriai-je. Est-ce bien vous ? Se peut-il Ae _ que vous soyez reellement vivant ? Est-il possible que Nous ayez réussi asortir de ce gouffre infernal ? ~Attendez un peu 'Etes-vous star que vous étes en état | ects? evs lng ne le secs ave - Qui, oui, je me sens tres bien. Mais en verite Holmes, jose a peine en croire mes yeux Seigneur ! Penser que vous... que cest vous entre tous les hommes qui étes la dans mon cabinet |... A nouveau je le saisis par la manche, mais je pincai son long bras maigre et nerveux. ~ _ Au moins vous n étes pas un pur esprit! dis-je en lui voyant faire la grimace - Cher ami! ~ Je suis au comble de la joie. Asseyez-vous et dites- moi comment vous étes sorti vivant de cet horrible abime ! ll s'assit en face de moi et il alluma une cigarette avec sa Vieille nonchalance accoutumee. Sir Arthur Conan Doyir, Le retour de Sherlock Holmes. Ed. Robert Laffont Compréhension Ma _ 84887 _ a a y a a rd 7 | i lac raerinse a : 7 , LES ra? mes gd! ornrni;moc | ra | eae /i oe 2 OD Se A! 4. Lh AC. : P| _ 1 ' P / Reliez les racines grecques a leur sens et donnez un mot contenant cette racine (ex : crypto : une crypte, décrypter...) : Racines grecques Sens | 4 crypto sagesse reo Un bibliophile oO gone angle est quelqu'un ortho eau wi ae (-phile) les vieux chromo ensemble livres (biblio). Ce hy Avo od mot est formé de deux racines sophie droit, correct SIEGES sym couleur ——__personnages lerononis Sherlock Holmes 1™ pers. sujet p ) an | 1" pers, CO! | | 2° pers. plur. sujet . | 2* pers. plur. CO! b) Comment appelle-t-on ce type de narrateur ? c) Quel est le passage qui montre que ce type de narrateur ne peut pas tout décrire ? ‘Sur la Terre ravagée par un cataclysme. lenfant noir sest enfui vers Niourk, l'ancienne ville de New York. Il doit combattre de gigantesques et monstrueuses pieuvres mutantes mais trouve un ami, un ours.. quil a blessé au cours dun combat. Enfin, il osa s'approcher, fendit la grosse branche d'un jet de feu et se fit piquer au bras par une abeille rescapée. Il s'accroupit et prit dans ses mains les gluants rayons de miel. (...) Assis en face de lui, l'enfant se gorgea également de miel tout en parlant - al'ours qui paraissait s'habituer asa présence. L’enfant sentait peu a peu naitre en lui une espéce d'attachement pour cet étre qu'il épargnait. — Que ferait ‘ours si l'enfant noir n’était pas la ? disait-il. ll ne pourrait ni boire ni chasser avec ses pattes brulées. (..) ll arracha quelques pieds de menthe sauvage et les broya dans le _grand coquillage avec un peu d'eau. Puis, tournant avec circonspection autour du gros animal impotent, il alla déposer avec douceur |'em- platre ainsi obtenu sur la blessure de la patte arriere. ll se risqua a renouveler son geste sur la patte avant, la ou la béte auraft pu lui broyer un membre d'un coup de miachorre. Mais l’ours, les yeux mi-clos, ne bougea pas. Alors |'enfant lui caressa legerement le front. L'ours émit un léger grondement. L'enfant recula sa main, puis recommenca. L'ours gronda moins fort que la premiére . fois. Au bout d'un moment, il soupira d'aise sous la caresse, nouvelle pour lui, "une main a fees et poussa Sa grosse téte sous |’aisselle de l'enfant qui riait de contentement. _ Quand le soir tomba, l'enfant et la béte dormaient cdte 4 céte auprés d'un feu de bois. Leurs réves étaient eee pale murmure du vent, le chuchotement des eaux et les craquements des flammes. Stephan Wui, Niourk, © Editions Denoél. a: _Reponder aux questions erie pragraphe lcci les diverses réactions de l’ours. Que peut-on en conclure ? a a | I Sa Le sens des mots _ Sur gm Z. Retrouvez dans le texte les mots correspondant aux définitions suivantes : a) Qui a échappé a un danger. b) Lien, amitié, affection. c) Prudence, précaution. d) Quine peut bouger. e) Bruit léger, semblable a des paroles prononcées a voix basse, Le complement du verbe passif faa (ou complément d’agent) Taranto S Mettez a la forme active : a) L'enfant noir se fit piquer au bras par une abeille rescapée. b) Leurs réves étaient bercés par le murmure du vent, le chuchotement des eaux et les craquements des flammes. - 4 Mettez a la forme passive : a) Uenfant broya quelques pieds de menthe sauvage dans un peu d'eau, Bours emittin |egergrondement, 2 Que serait Tintin sans Milou... ! Tentez de retrouver les amis, les comparses des heros suivants : Tom Sawyer [D’Artagnan | Phileas Fogg Don Quichotte | | Augustin Meaulnes | Un peintre, passionné par son art, épouse une jeune fille tres belle, qu'il prend pour modele. Ptc était un homme passionne, et étrange, et pensif qui se perdait en réveries ; si bien quill ne voulait pas voir que la lumiere qui tombait si lugubrement dans cette tour jsolée desséchait la santé et les esprits de sa femme, qui languissait visiblement pour tout le monde, excepté pour lui. Cependant, elle souriait toujours, et toujours sans se plaindre, parce quelle voyait que le peintre (qui avait un grand nom) prenait un plaisir vif et brilant dans sa tache. et travaillait jour et nuit pour peindre celle qui Taimait si fort, mais qui devenait de jour en jour plus languissante et plus faible. En verite, ceux gui contemplaient le portrait par- laient a voix basse de sa ressemblance, comme dune puissante merveille et comme une preuve non moins grande de la puissance du peintre que de son profond amour pour celle qu'il peignait si miracu- Jleusement bien. ~ Mais, 4 la longue, comme la besogne approchait de sa fin, personne ne fut plus admis dans la tour ; car le peintre était devenu fou par|ardeur de son travail, et il détournait rarement les yeux de sa toile, méme pour regarder la figure de sa fenrme. Et i] ne voulait pas voir que les couleurs quil éetalait sur ja toile étaient Compréhension tirées des joues de celle qui était assise prés de lui. Et quand bien des semaines furent passées et qu'il ne restait plus que peu de choses a faire, rien qu'une touche surla bouche et un glacis' sur | oeil, fesprit de la dame palpita encore comme la flamime dans le bec d'une lampe. Pt alors la touche fut donnée, et alors le glacis fut place ; et pendaht un moment le peintre se tint en extase devant le travail qu'il avait travaillé ; mais une minute aprés, comme il contemplait encore, il trembla, et il devint tres pale - et il fut frappe d'effroi ; et criant d'une voix éclatante : - Fn vérite, cest la Vie elleméme | » Il se retourna brusquement pour regarder sa bien-aimee : elle était morte! Edgar Por, « Le Portrait ovale - in Nouvelles histoires extraordinaires. cr. 1. Glacis : petite touche de peinture qui donne de I’éclat. Remettez dans leur ordre chronologique ces expressions qui montrent I'accélération du récit. (1) Comme Ia besogne approchait de sa fin -(2)brusquement - (3) pendant un moment - (4) une minute ar aprés -(5)il ne restait plus que peu de choses a faire -(6)dejourenjour =. er eae oes Le temps Raa bie a 7 Retrouvez les termes, relatifs au temps, de ce petit récit : Commetous les apres le petit qu il venait de retrouver :« Quel hasard incroyable! dejeuner, il descendit acheter son Tiens. viens diner ce - a la maison chez le marchand de journaux. Ft cest la qu'il rencontra son vieil ami, quiil n'avait pas vu depuis dix ans, cest-a-dire une ___ Pourquoi pas, sourit lautre. Japporterai une bouteille de bourgogne, un 86, qui est un excel cee lent - parait-il. - Et ils se quit — terent. « Au fait, pensa-t-il au coin de la rue, jai « Attends-moi, jen ai pour une eee dit-il - Vas-y, repondit son ami, jai tout mon oublié de lui dire que javais déménage De fait, il ressortit apres une poi- gnee de sae Bahn derniere | yeast ik ei et, regardant celui Les compléments circonstanciels aaa S Complétez le tableau suivant. | NATURE/ = |= FONCTION | catégorie grammaticale Comp. circonstanciel de... lugubrement dans cette tour isolée comme la besogne approchait de sa fin méme pour regarder la figure de sa femme, quand bien des semaines furent passées | comme la flamme dans le bec d'une lampe Le résumé 4 Quel est le résumé qui correspond au récit ? a) Un peintre s'enferme dans une tour avec sa jeune et belle épouse pour faire son portrait. Mais celle-ci est malade. Tout a sa peinture, il ne la soigne pas et elle en meurt. b) Un peintre, obsédeé par son art, s'enferme avec $a jeune femme dans une tour. II fait de son épouse un portrait étonnant, plus beau que l’original. Elle en meurt de dépit. & c) Un peintre veut faire de sa jeune et belle épouse un portrait plus vrai que la vie alle-méme. Mais il vole cette vie a la jeune femme, qui en meurt. e) eS eae - ep et as) de Vacances Le narrateur se prépare aux vacances, et aux devoirs de vacances... Il est allé acheter son matériel aux Magasins du Louvre, mais a dai renoncer a une boite de quarante crayons de couleurs ! Seid de mime, avec douse Pidarona-devcortbewha suafine on pect déja faire de bien bolles cartes. Ga hous alliona tradaifler |! dec: quell gna nosed alltarib faire ces dedoira de Vacances ! CRaque suyzel serail lrailé a fond, el pour cela, naus ne nous comlenterions pas des manuweld élémentaincs: dont now nou sewlians au collage, maid naua étudiartans les ques lions dans dea tanités 4. usage des classed stipdrceures (...). Gasiite, nota recopierions cos devoixs aans une rafure, en faiedsantit chaque fuller deux manger, une a daoite el une a gauche, comme dana fos fidnen. SL A fei wendade, un fisant: ces derains, fe professeur de fa classe dana laquelle naus-allions passer, Jeriail aussildl qu "iL avait affaire ’ bun excellent éfXe. Risnn doule, aucaourw-de f’ année qui Yenat de finin, nows n aviona pas Mh un aaaad fon: éhide sue pendant (es années anldrioures ; nous ations meme été tout juste pasoable, Ollalasmbctntansste, blatant, lea panies Vacances, ef puisque nous alfians ttre Mebinas, patisque plus rien ne nous y obfigerail, nae onkotinittan te trudspotis.chuus, (2 pre - miter jourdes Vacances dlail déja-st Poet adec bes. cottaes. en fiacre', que augmentent fe. sentiment de et fe ers ches Soyot’ parent fon grande, qut venaient de penne foun hachol®, ce-der- ; rier your dans 9 arioavant fe silence de la campagne nous emplisaait d’ une. joie parfaite, el nous ae spac inclinail nalurelfement iC" étude. Valery Larnaup,- Devoirs de vacances - in Enfantines. © Ed. Gallimard. Lae i 1.Fiacre “nous sommes au début du siécle. - 2, Foyot : grand restaurant parisien, - 3. Bachot :le baccalauréat. V’ordre du récit a es événements évoqués par le narrateur ens hee ordre d’apparition dans le texte. Ordre du récit e qui venait de finir ) er jour des vacances Les noms de couleurs fi bie 2 Complétez le texte. Julot, dune main experte, lanca la balle de auss] qu'une feuille de laitu = a C - Ge Ie e tennis, qui etait dun beau _ aa et se sauva courageusement citron. Helas, sa camarade de jeu, Marguerite, Pendant quelques jours, Marguerite se pro vetue d'une robe comme neige mena avec un ceil au beurre se tourna et recut la balle dans | ceil. Julot, qui passa par toutes les couleurs de i, COMME UNE tomate, courut i" beet REM Toulon consoler Marguerite, qui fondit en larmes. Mais, aussi qn ciel dete, semblait en voyant arriver la maman de la demoiselle, dire a Julot, quand il s‘approchait : - Gare Voil_ Ss —és ees core, Julot devint aux 5)... foutehauds!- Conjugaison “pia i a Recopiez, dans le premier paragraphe, les sujets et les verbes S (depuis « Avec quel soin nous allions...») en remplacant les conditionnels par des futurs et les imparfaits par des présents. NOUS. se aE rs ed pie - os Approfondissement AUT Za 4. Répondez aux questions. a) Dans quel but le narrateur veut-il faire ses devoirs de vacances avec beaucoup de « soin » et en traitant chague sujet ea fond»? 42 2 ba ee b) Relevez deux indications qui montrent l'importance qu'il attache a la « presentation » i ; c) Pour quelles raisons va-t-il travailler maintenant de tout son coeur? Donnez la nature des compléments circonstanciels en italique, " puis remettez ce récit dans ‘ordre chronologique. "1 - Au soir des noces, Alphonse apprend au narrateur qu'il n’a pu retirer la bague du doigt de la statue, quia refermé sa main. 2 - M.de Peyrehorade, aprés l’avoir accueilli, lui montre une merveilleuse statue de _ Vénus en bronze, que |’on vient de découvrir. La statue est belle, mais le visage a une expression cruelle. 3 - Le narrateur, archéologue et amateur d’antiquités, arrive a Ille, au pied du Canigou, dans les Pyrénées. 4- Dans la nuit, le narrateur entend des pas lourds dans |'escalier, se rendort, puis est réveillé par des cris et des lamentations. 5 - M. de Peyrehorade est si affecté qu’i! meurt de chagrin peu apres. Sa veuve fait fondre la statue en cloche pour |'église. Mais, depuis que cette cloche sonne a Ille, les _ vignes ont gelé deux fois. 6 - Il apprend que l'homme auquel il rend visite, M. de Peyrehorade, marie son fils __ Alphonse a Mile de Puygarrig. ‘ 7 -La jeune femme, bien qu'elle ait esprit égaré, parvient a dire qu'elle a vu, dans la nuit, une sorte de géant verdatre tenant son mari dans ses bras. e - Dans la chambre des jeunes époux, on a trouvé Alphonse, mort, et la jeune _ @pouse a demi folle. 9 - Le matin des noces, le futur époux fait une partie de jeu de paume avec des _ Espagnols. Pour étre plus @ I'aise, il enléve de son doigt la bague de mariage, quiil _ passe au doigt de la statue. - 10-Le jeune homme a été étouffé, comme si sa poitrine avait été prise dans un cercle _de fer. Au pied du lit se trouve la bague de diamant. AS - il triomphe, humilie son rival, un Aragonais au teint sombre, trés grand, qui _ promet de se venger et part rapidement pour la cérémonie, oubliant la bague. - 12 - LEspagnol est soupconné a cause de ses menaces mais il a un alibi et les _ @mpreintes trouvees ne correspondent pas. |! est donc relaché. ae an < D'apres Mérimée, La Venus d'ife. = __ Indiquez la nature (ou categorie grammaticale) des compléments circonstanciels : Pe Nee es t ~, . : , * i mM Lae i | Se er a Pee Beare Se peree Pray a ee aa Sh re MSO SO 7s sag b) . 5 epee : eee aT . 7 = i Seto eto eee Soe yD Mettez les phrases passives a l’actif, et inversement. 1 - J'ai toujours, depuis mon , re plus jeune age, été attiré par les réci 7 étranges. Pp ecits fantastiques, ou 3-La lecture d'un roman de science-fiction captivait tellement le jeune homme qu'il en oublia de monter dans I’autobus. 4 - Maupassant écrivit de nombreux contes fantastiques, mais mon préféré reste Sur l'eau. Imparfait ou passé simple ? Mettez les verbes a l’infinitif au temps qui convient. Au soir de la bataille de Waterloo, la plaine est parcourue par des maraudeurs, qui dépouillent les cadavres Le rodeur nocturne que nous venons ce faire entrevoir au lecteur __ (aller) de ce cote. I] _— £ _ (fureter) cette immense tombe. |! (regarder) ll __.__-___ (passer) on ne sait quelle hideuse revue des morts Il SSS (marcher) les pieds dans le sang. Tout acoup il _..__.__ (s arréter/. A quelques pas devant lui, dans le chemin creux, au point ou finir} le monceau des morts, de dessous cet amas d hommes et de chevaux (sortir) une main ouverte, eclairee par la lune Cette main ———_— (avoir) au doigt quelque chose qui - (briller), et qui hss (étre) un anneau dor. Lhomme . __ (se courber, _____— (demeurer) un instant avoir) plus accroupi, et quand il _(se relever) ilny danneau a cette main. fsentir/ que En ce moment il (avoir) un soubresaut. I! par derriére on le — —— — (tenir ) a D'aprés V. Hugo, Les Miseraares total général oe ee /AC Orso della Rebbia est retourné dans son petit village de Pietranera, en Corse, oui son pére a été assassiné. Colomba, Ja sceur du jeune homme, est persuadée que les coupables sont les Barricini. Ceux-ci, qui craignent Ja vengeance d’Orso, vont lui tendre une embuscade... Le chemin, ou plutét le sentier 4 peine tracé qu’il suivait, traversait un maquis récemment brulé, En ce lieu la terre était chargée de cendres blanchatres, et ¢a et la des arbrisseaux et quelques gros arbres noircis par le feu et entierement dépouillés de leurs feuilles se tenaient debout, bien qu’ils eussent cessé de vivre. En voyant un maquis brilé, on se croit transporté dans un site du Nord au milieu de |hiver, et le contraste de |'aridité des lieux que la flamme a parcourus avec la végétation juxuriante d'alentour les fait paraitre encore plus tristes et désolés. Mais dans ce paysage Orso ne voyait en ce moment qu'une chose, importante il est vrai, dans sa position : la terre étant nue ne pouvait cacher une embuscade, et celui qui peut craindre a chaque instant de voir sortir d'un fourré un canon de fusil dirigé contre sa poitrine regarde comme une espece d’oasis un terrain uni oj rien n’arréte la vue. Au maquis brilé succédaient plu- sieurs champs en culture, enclos, selon |'usage du pays, de murs en pierres seches a hauteur d’appui. Le sentier passait entre ces enclos, ou d’énormes chataigniers, plantés confusée- ment, présentaient de loin |’apparence d'un bois touffu. Obligé par la roideur de la pente a mettre pied a terre, Orso, qui avait laissé la bride sur le cou de son cheval, descendait rapidement en glissant sur la cendre ; et il n'était queére gu’a vingt-cing pas d’un de ces enclos en pierre a droite du che- min, lorsqu’il apercut, précisément en face de lui, d’abord un canon de fusil, puis une téte dépassant la créte du mur. Le fusil s’abaissa, et il reconnut Orlanduccio pret a faire feu. Orso fut prompt a se mettre en défense, et tous les deux, se couchant en joue, se regar- dérent quelques secondes avec cette émotion poignante que le plus brave éprouve au moment de donner ou de fecevoir la mort. « Misérable lache ! » s‘écria Orso... Mrnmce. Colomba, chap. XVIL -il soulagé de traverser un maquis brilé ? _ cv ae nm Ourquoi doit-il mettre pied a terre ? c) Pourquoi Orso traite-t-il son adversaire de lache ? Le genre des mots _wéi& 2 Quel est le genre de: a) épithéte FM b) pétale FoOM lwou wriow c) azalée F M d) orgue(s) F M Ste mot oasis Vs est férinin, e) obélisque F M f) météore F M La proposition relative i att Dans le texte, soulignez toutes les propositions relatives et encadrez leur antécédent. Le récit > a ae 4. Répondez aux questions. A) A quel endroit trés précis du texte (qui peut se trouver au milieu d'une phrase) commence l’action? B) Quelle remarque pouvez-vous faire sur le changement de tempownibanetes ae j onses) ? C) Quel est le but de la description qui précéde I’action (vous pouvez cocher plusieurs réponse: O lecteur comprenne mieux le déroulement a - Faire une description poétique | de I'action. du paysage. b - Provoquer I'intérét du lecteur par un effet de « suspense », d’attente dramatique O d'un événement attendu. d - Renseigner le lecteur sur un paysage typique de la Corse. e - Effrayer le lecteur en montrant tel k jugubre. ¢ - Décrire avec précision le décor afin que le un paysage !ug 29 mai 1953. Expédition sur l'Everest. Hillary et Tensing sont partis a l'assaut des derniers metres du « toit du monde », qui n’a encore jamais été paincu... —_ Tandis que je creusais des marches autour d'un ~ nouvel obstacle, jen vins a me demander combien de temps nous pourrions continuer ainsi. Notre feu du — - début était tombe et nous devions faire face a une lutte de plus en plus morne et penible. Soudain, il nvapparut que larete, devant nous, au Tiew de continuer a sélever, tombait brusquement ; nOUY plus bas, je pouvais voir le col Nord et le gla- 0 coer plan. une étroite aréte de e S s aN et sentiment fut de soulage- ( agel nent de ne race avoir de marches a : rdai Gaeaeing, et. Fite 6 son passe-mon- toee ses a le masque a ones orné de longues chandelles de glace qui lui cachait le visage, on ne pouvait se méprendre : une joie folle s était emparee de lui. Nous nous serrions les mains, puis Tensing me jeta le bras autour des epaules. Nous nous donnions de grandes claques dans le dos, jusqua en perdre haleine. Il était 11h 30. Je portai ensuite mon regard vers limmense étendue quis etalait autour de nous sur tout le cercle de l horizon. A lest, était notre voisin géant, le Makalu, encore inviolé et méme non reconnu ; la meme, au sommet de /Everest, mon réflexe dalpiniste me fit chercher un instant du regard le trajet possible jusqua la cime ! Tres loin, entre les nuages, la grande masse du Kanchenjunga se dressait sur la ligne du ciel. A louest, le Cho Oyu, notre vieil adversaire de 1952, dominait toute la scene, et nous pouvions voir les grandes chaines _inexplorées du Nepal sallonger dans les lointains. Sir Edmund Hitary, in Victoire sur /Everest, John Hunt. © Buchet-Chastel. —————ao LE GUIDE @ ee Compréhension eee 4 Répondez aux questions. a) Quiestlenarrateur? __ b) Relevez les mots ou expressions relatifs au regard. c) Dans quel ordre les sentiments suivants sont-il exprimés : joie - soulagement - curiosité - lassitude ? L’apposition a. att 2 Zz Retrouvez les villes, les pays, les personnages, les animaux qui se cachent derriére les appositions suivantes : a) As-tuvisitéle = ==, /e mpire du Soleil-Levant. b) Un jour, _____, la cité des Doges, sombrera sous les flots. c) Comment,tuaspeurd’une CSCC iS d'Athérna! d) ____, le petit caporal, était adoré de ses grognards. a L’analyse grammaticale > ae : $ Complétez le tableau suivant : erie Groupe apposé/épithéte a le Cho Oyu Le point de vue ae fk Ge Répondez aux questions. ituent, par rapport au narrateur, a) Dans le deuxiéme paragraphe, quelles expressions si Nature/cat. gram. du gr. apposé/épith. | «le col Nord » et «l'aréteide heigew?l 2 3 ur peut-il dire qu'il porte son regard « sur tout le cercle de I’horizon » : b) Pourquoi le narrate 19 Au cours de la guerre contre les Turcs, l'oncle du narrateur, le vicomte Médard de Terralba, a été atteint a bout portant par _ un boulet de canon. Quand on retira le drap qui couvrait le vicomte, on vit son corps effroyablement mutile. Non seulement il lui manquait un bras et une jambe. mais tout ce qu'il y avait de thorax et dabdomen entre ce bras et cette jambe avait été emporte. pulvérise par ce coup de canon a bout | portant. Pour la téte, il nen restait qu'un ceil, une oreille, une joue, la moi- tié du nez, la moitie de la bouche. la moitié du menton et la moitie du front: de Tautre moitié, i] ne subsistait quune bouillie. Pour resumer, il ne demeurait plus qu'une moitié de Jui, la moitie droite, du reste parfaite- ment conservée, sans une égratignure, a part |’énorme dechirure qui lavait separee de la moitie gauche reduite en miettes. Les medecins étaient ravis. «Quel cas magnifique ! - Silne mourait pas entre-temps, ils allaient essaver de le sauver. Et tous de soccuper de lui pendant que les pauvres soldats qui navaient recu qu'une fléche dans le bras mouraient de septicémie. Ils firent des coutures, des applications... Dieu sait ce quills firent! Quoi quiil en soit, le lendemain, mon | oncle ouvrait son unique ceil, sa demi-bouche, dilatait sa narine et respirait. La forte fibre des Terralba avait tenu. 1] etait, maintenant, vivant et pourfendu. Italo Cavyino, Le Vicomte paurtendu, 1955, © Ed Albin Michel. Compréhension fm «at | 4 Reconstituez les lignes... os. Ge Moitiés au Mepipte vont survivre, l'une faisant le Bien, l'autre le Mal. Elles finiront par se battre en ut a ; ; se blessant | une l'autre, ce qui permettra a un médecin de reconstituer un vicomte d'un seul morceau. “Me isez les mots : sage - bonté - méchant - moitié - entier - oncle - bon - méchanceté - étre - pourfendu. Cest ainsi que mon —______________ Médard redevint un homme Jn - = mélangé de | Coie cest-a-direun en apparence, de ce qu'il avait été avant d’étre ___ de I'une et l'autre ni ______. Mais il avait ———______________ ressoudées : aussi devait-il étre Le champ lexical A. ott 2 Relevez dans le texte tous les termes qui appartiennent au vocabulaire de l’anatomie. $ A quels métiers, quelles professions appartiennent ces termes ? a) Code civil, jurisprudence, barreau __ b) Peigne,ciseaux,brosse,rasoir, c) Tournevis, prise, disjoncteur, douille_ d) Truelle, burin, brouette, niveau e) Tracteur, engrais, moisson, génisse _ La tournure impersonnelle ee Classez les phrases dans le tableau selon leur tournure, personnelle ou impersonnelle. « il lui manquait un bras et une jambe... — Pour la téte, il n’en restait qu’un ceil, une oreille, une joue... - de l'autre moitié, il ne subsistait qu'une bouillie. - S’il ne mourait pas entre-temps...- Ils firent des coutures, des applications... - || était, maintenant, vivant et pourfendu ». Phrases a tournure personnelle Phrases 4 tournure impersonnelle La description mm at ¢ Répondez aux questions. , ? a) En quoi la description nous permet-elle de comprendre le titre du roman ______— b) Cette description vous parait-elle réaliste ou invraisemblable ?_ A Paris, 4 la veille de la Saint-Barthélemy (24 aout 1572), deux hommes s‘apprétent a entrer 4 la Belle-Etoile, une hotellerie. Le premier est le comte de La Mole, le second le comte Annibal de Coconnas. Celui des deux que nous connaissons, de nom du moins, montait un cheval blanc de race espagnole, et était vétu d'un pourpoint noir, garni de jais. Son manteau était de velours violet fonce ; il portait des bottes de cuir noir, une épée a poignée de fer ciselé, et un poignard pareil ; maintenant, si nous passons de son costume a son visage, nous dirons que c’était un homme de vingt-quatre a vingt-cing ans, au teint basané, aux yeux bleus, a la fine moustache, aux dents éclatantes, qui sem- blaient éclairer sa figure lorsque s'ouvrait, pour sourire d’un sourire doux et mélancolique, une bouche d’une forme exquise et de la plus parfaite distinction. Quant au second voyageur, il formait avec le premier venu un contraste complet. Sous son chapeau a bords retroussés, apparaissaient, riches et cré- pus, des cheveux plutét roux que blonds ; sous ce chapeau, un ceil gris brillait a la moindre contrariété d'un feu si resplendissant, qu’on eat dit alors un ceil noir, Le reste du visage se composait d'un teint rosé, d'une lévre mince, sur- montée d’une moustache fauve et de dents admirables, C’était en somme, avec sa peau blanche, sa haute taille et ses larges épaules, un fort beau cava- lier dans l’acception' ordinaire du mot, et depuis une heure qu’il levait le nez _ vers toutes les fenétres, sous le prétexte d’y chercher des enseignes, les femmes !’avaient fort regardé ; quant aux hommes, qui avaient peut-étre éprouvé quelque envie de rire en voyant son manteau etriqué, ses chausses col- lantes et ses bottes d’une forme antique, ils avaient achevé ce rire commencé par un Dieu vous garde ! des plus gracieux a l’examen de cette physionomie qui prenait en une minute dix expressions différentes, sauf toutefois l’expression bienveillante qui caractérise toujours la figure du provincial embarrassé, Ce fut lui qui s’adressa a J’autre gentilhomme qui, ainsi que nous l'avons dit, regardait I"hdtellerie de la Belle-Etoile. eg. 1. Lacception :le sens, Alexandre Dumas, La Reine Margot. ai aha 4 Répondez aux questions. 4 ) Quel ordre suit la description du premier personnage (le comte de la Mole) ? Et du second (le comte 1x personnages semble le plus élégant ? Citez des passages du texte qui justifient votre € de Dumas ces hommes font-ils penser ? Comprehension a | Les familles de mots i nt ? Retrouvez les mots du texte de la méme famille que les verbes : a) éclater ar i re ben b) exprimer | ¢) admirer bee eS d) distinguer @) examiner is? f) resplendir ; g) contrarier Rai h) accepter La mise en relief —_ ait ae a ‘eet ——_— s Transformez les phrases suivantes en utilisant les formes proposées pour mettre en relief I’élément souligné : a) (c'est... qui) Paul se rendit compte le premier de son erreur, | b) (voici) Le baron fit un geste de la main :« Mon chateau ! » c) (ily a... qui) « Quelqu’un veut te parler, me dit mon cousin.» ——__ d) (c’est...que) « Pierre et Jean ont appelé:ils n'arriveront quedemain.» ss | : ey ened ee een) Mem es Ot a ; Les personnages fe. st 4. Répondez aux questions. a) Au début du second paragraphe, quelle expression est utilisée pour peindre le rapport entre ces deux personnages ? Relevez quelques exemples qui justifient cette expression. Tr fl Ie ae Le commentaire de l'image maith ne Z 1) plage / riviére / cascade ») bleue / verte / rose 1) ) rouge / bleue / noi d) deux / trois / une ») droite / gauche g ue / noire petit / grand Le sorcier se tient, immobile, dans un sous-hois, | - _lui transmet un rameau vert. a deux pas dune [a| ed > VIC 1p : + < ; 7 __.__.. . Le visage Comme souvent, la scene est concentree dun du personnage, aux traits fins, retient particulie rement attention avec son regard énigmat ique et ses longs cheveux dans lesquels sont piques des fleurs de frangipanier. Son costume est inha cote du tableau ; a cette image empreinte de mystere soppose Tharmonie tranquille de la nature. A lavant-plan, un [{ caprideé taquine un oiseau en lui mordillant Vaile bituel chez Gauguin ; il porte une courte tunique Ce Marquisien a la grande cape [© [bh] ___---__-. retenue par une ceinture ne ate — a te identifie par certains colorée, et il a jeté sur ses épaules une grande auteurs comme etant Haapuani, non seulement CARO ete) fly 2 le meilleur danseur du village mais aussi le sor femmes voilées se cachent derriere un arbre - cier le plus repute d'Hiva Oa, le Tawa qui initia lune dentre elles porte un morceau d'étoffe Gauguin aux croyances et coutumes locales et | vers son visage et jette un regard peureux vers devint son ami le personnage central qui, de sa main |e} Catalogue de exposition Gauguin, Fondation Gianadda a — ats Rendez a chaque peintre son ceuvre (en vous aidant des indices proposes) Qui a peint qui ? Paul GAUGUIN, | Le Sorcier d'Hiva Oa » ou Le Marquisien a la cape rouge, 1902. Huile sur toile 92% 73 cm. Musee d'Art moderne et dArt contemporain, Liege. Raphaél | © Le Fifre (un autre portrait de ce peintre, Olympia, fit scandale). ® Portrait de Baldassare Castiglione (Castiglione est l'auteur du Courtisan, oeuvre écrite au début du xvi siecle). Léonard de Vinci Delacroix injustement oublié pendant trois siécles, est celui d'une piece du jeu | Eugene | @ Le Tricheur a I’as de carreau (le nom de ce peintre frangais 1593-1652, \ | d’échecs). Manet @ La Belle Ferronniére (un autre portrait de ce peintre est tres tres célébre). ; : , Georges de| ® Autoportrait (La Liberté guidant le peuple, Louvre, est le tableau le plus ; Compréhension LaTour | célébre de ce peintre, chef de file de |’école romantique). @ " | Réponder aux questions. a ha a | oa b) dans une ile du paciintie i ,le mot Morguisien désigne : | eave Lt b) un titre de noblesse |_| c)une fonction sociale {| Voici quelques phrases tirées d‘un conte fantastique =" de Théophile Gautier. 1 - Pour charmer le temps, |étranger chantait d’étranges poésies ____. 2 - Oluf a bientét quinze ans. Sous son front blanc comme la neige _____., scintille un ceil aux longs cils noirs. 3 - Si l'on allait au cimetiére, l'on trouverait plus d’une pierre abandonnee ____ 4 - Oluf, sur son grand cheval & formes d’éléphant, _____, savance dans la campagne. 5 - La noire terreur habite dans cette forét, _.___. 6 - Chose étrange, Oluf souffrait des blessures __._ _- et de celles ___ 7 - Oluf continua son chemin ; il portait en croupe la jeune chatelaine, __. D'aprés Théophile Gautier, Le Chevalier double. A- Remettez les relatives suivantes a leur place : a) qu'il faisait — b) ob chaque arbre, avec ses racines, semble couver a ses pieds un nid de dragons engourdis - c) qu'il recevait - d) que n’a rayée encore ni le patin du chasseur ni maculée le pied de |’ours - e) qui cette fois avait bien voulu I’écouter - f) dont il laboure les flancs a coups d’éperon — g) qui troublaient le coeur et donnaient des idées furieuses - h) ot la rosée du matin répand seule ses larmes. B - Quel est I'antécédent de chaque relative ? Sepa Se Seer eee Su AB ee pee ee: aie a ies ERD, i 0 Bec Py rer ei oer ee eer poe Naas 8 eee eg Fe & Reprenez le texte de Théophile Gautier. A - Dans la phrase 2, relevez une comparaison. Donnez le comparé, le comparant, le mot de liaison et l’élement commun. A a a 8: Relevez un mot qui montre que nous sommes bien dans un récit fantastique. Seen 3 Se A quelle époque se situe ce récit ? Justifiez votre réponse en relevant un champ one eetle > Voici trois portraits tirés du Comte de Monte-Cristo d’Alexandre Dumas : Le heros, Edmond Dantes :; C etait un jeune homme de dix-huit a vingt ans, grand, svelte. avec de noirs et des cheveux d ébene ; il y avait dans toute sa personne cet air de calme et de resolution particulier aux hommes habitueés depuis leur enfance atk le danger heaux yeux a lutter avec Le traitre, Danglars : aSSeZ Le nouveau venu était un homme de vingt ‘cing a vingt-six ans, d'une figure sombre, obsequieux envers ses supérieurs, insolent envers ses subordonnés L heroine, Mercedes : Une belle jeune fille aux cheveux noirs comme le jais, aux yeux veloutés comme ceux de la gazelle, se tenait debout adossée a une cloison, et froissait enive ses doigts effiles et d'un dessin antique une bruyere innocente. vs 1 - Relevez les traits appréciatifs dans les portraits d’Edmond et de Mercédés et les traits dépréciatifs dans celui de Danglars. Edmond: Mercédes : PSngliarse® 2s 8 os 458s eee 2 - Ne peut-on constater, dans les portraits d'Edmond et de Mercédés, un parallélisme de la description ? Que peut-on en conclure ? 3 - Quel portrait contient un présentatif ? Relevez-le : a. Complétez les phrases en utilisant les verbes proposés a la tournure impersonnelle (vous les conjuguerez au temps convenable). arriver - manquer - falloir - sembler — importer 1 - 'année derniére, a la fin de la course, il — ‘intervention de plusieurs hommes pour réussir 4 maitriser le cheval emballe. 2-l| strange que les enquéteurs ne puissent enfin résoudre l’énigme. Seies _._ que tous les voyageurs se regroupent au point de rendez-vous le plus tot possible, afin que nous puissions partir avant huit heures. 4- Méme quand il était plus jeune, il toujours a ce pauvre bougre cent sous pour faire un franc. Pru st souvent que l'on se perde dans le labyrinthe de cette immense forét ol’ beaucoup de sentiers ne semblent mener nulle part. Fite ia i . ( Anh “Sa "total général .... /AC i Gg), enise. Tee au Bonheur des Dames, décide de —-soulfrait comme d'une ironie, il Vaurait poussé a la rue. quitter ce grand magasin, dirigé par Octave Mouret, — Partez donc ! criatil dans un flot de larmes. Allez bien qu'elle aime celui-ci. Elle est convoquée par Mouret, _retrouver celui que vous aimez... Crest la raison, n'est-ce eae qui lui propose de l'épouser... Denise refuse... pas ? Vous maviez prévenu, je devrais le savoir a et ne pas vous tourmenter davantage. ‘Elle ‘continuait de se défendre par des Elle était restée saisie, devant la vio- 1 lence de ce désespoir. Son cceur écla- tait. Alors, avec une impétuosité denfant, elle se jeta a son cou, sanglota elle aussi, en bégayant : — Oh ! monsieur Mouret. c est vous que jaime ! Une derniére rumeur monta du Bonheur des Dames, |’ac- clamation lointaine d'une foule. Le portrait de madame Hédouin* souriait toujours, se Rit c'est impossible... - Btimes fréres ? J'ai ai jure de ne , point me marier, je ne puis = "Nous apporter deux enfants, de ses lévres peintes. Mouret - était assis sur le bureau. dans le million, qu'il ne yoyait plus. Hl ne lachait pas Denise, il la ser- eperdument sur sa poitrine. ait fou. Eh quoi ! méme a ce prix, tencore ! Au loin, id entendait la cla trois mille employes, remuant a plein bras sa praia eee Tea ee Pere anion! imbéeile qui était la ! Il en Emile Zota, Au Bonheur des Dames. + ain fc viilive extraordinaire d'un million. 9, Ancienne propriétaire du magasin, et premiere femme 3. La ville d’ot vient Denise, : Compréhension z aux questions. c) OU se passe cette scéne ? rn d) A quel moment du roman ? een CORRIGES Nathan Vacances FRANCAIS 42/3 4 Identifier le narrateur interne | pp.4-5 | 4 a) Il y a deux personnages : Sherlock Holmes, déguisé en vieux bibliophile, et son ami le docteur Watson. b) « Est-il possible que vous ayez réussi a sortir de ce gouffre infernal ? » — « Asseyez-vous et dites-moi comment vous étes sorti vivant de cet horrible abime ! » c) Watson recoit le vieux bibliophile (Holmes) dans son « cabinet » de médecin. 2 crypto = caché (crypte, décrypter) — gone = angle (polygone, hexagone) — ortho = droit, correct (orthographe, orthodontiste, orthophoniste) —- chromo = couleur (polychrome, chromatisme) — hydro = eau (hydravion, hydre, hydroélectricité) — sophie = sagesse (philosophie) — sym = ensemble (symphonie, sympathie). 3 je vous ai infligé : 2° pers. plur. COI (Watson) - m’écriai-je : 1" pers. sujet (Watson) -— me dit la voix : 1" pers. COI (Watson) — que vous soyez : 2° pers. plur. sujet (Holmes). tt a) Le narrateur est le docteur Watson. b) c’est un narrateur interne, ou narrateur- personnage. — c) ellipse du récit pendant l'évanouissement de Watson (« quand il se dissipa... ») montre que ce type de narrateur ne peut décrire que ce qu'il voit, ou ressent. 2 Héros et comparses 4 a) « Ul... fendit la branche d'un jet de feu » b) I fait un emplatre avec de la menthe sauvage broyée dans un peu d'eau. c) ours ne bouge pas quand l'enfant lui caresse le front ; il gronde mais légerement ; enfin il soupire d’aise sous la caresse de l'enfant et pousse sa grosse téte sous son aisselle : tout ceci montre que !’ours s'apprivoise, devient l'ami de l'enfant. Zz a) rescapé(e) — b) attachement - c) circonspection — d) impotent — e) murmure. 3 a) Une abeille rescapée piqua |'enfant noir au bras. b) Le murmure du vent, le chuchotement des eaux et les craquements des flammes bercaient leurs réves. 4 a) Quelques pieds de menthe sauvage furent broyés dans un peu d'eau par !’enfant. b) Un léger grondement fut émis par l’ours. Marce] et Lili— Tom Sawyer et Huckleberry Finn - d’Artagnan, Athos, Porthos et Aramis — Philéas Fogg et Passepartout — Robinson et Vendredi — Don Quichotte et Sancho Panca - Augustin Meaulnes et Fran¢ois Seurel. Reconnaitre l’ordre du récit | pp. 8-9 4 6-1-5-3-4-2 2. _.. matins - ... quotidien - ... décennie _.. minute -... temps - ... secondes —... Sol .. millésime — ... Pannee. l CORR IGES 3 lugubrement : adverbe, c.c. de maniere - dans cette tour isolée : groupe nominal, c.c. de lieu -_comme la besogne... : proposition subordonnée -_ canjonctive, c.c. de temps — meme pour regarder... : -__ infinitif prépositionnel, c.c. d’opposition — quand ____ bien des semaines... : proposition subordonnée ay conjonctive, c.c. de temps - comme la flamme... proposition subordonnée conjonctive, c.c. de cl Da son. ; =F _, a ia: ; } C'est le résumé c). Sia Et: a A Les ruptures de l’ordre - Ud-2/e-3/b-4/a—Sic. _ jaune - blanche — rouge - noir - vert - noir ‘arc-en-ciel-bleu-marrons. - Nous allons... sera... nous ne nous — pas... NOUS NOUS Servons... Nous nous recopierons... nous allons... wilaaffaire... - uel soin nous allions faire... », «nous es devoirs sans une rature... en larges... ». . e tout son coeur car il va étre Voblige a travailler. 4 naquit.., connut... s’éprit... obtint... permit... connut... s‘enfuit... se réfugia... écrivit... l'accueillit... mourut... fut... ° roman — intrigue - situation — héros — sentiments — rare — prose — rimes — images. ie Phrase 2: infinitif + préposition (infinitif prépositionnel) — phrase 3: groupe nominal - phrase 5 : a) proposition subordonnée conjonctive - b) proposition subordonnée conjonctive — phrase 7 : a) proposition subordonnée conjonctive — b) groupe nominal — phrase 9: a) groupe nominal - b) infinitif + preposition (infinitif prépositionnel) — phrase 10: _ a) proposition subordonnée conjonctive — b) groupe nominal - phrase 11 ; adverbe - phrase 12: groupe nominal. &® 1. Depuis mon plus jeune age, les récits fantastiques, ou étranges, m’ont toujours attire. | 2. Un grognement étrange qui montait du plancher attira soudain son attention. 3. Le jeune homme était tellement captivé par Ja lecture d'un roman de science-fiction qu’il en oublia de monter dans |'autobus. 4. De nombreux contes fantastiques furent écrits par Maupassant, mais mon préféré reste Sur l'eau. rh. allait — furetait — regardait - passait -— ~ marchait - s'arréta - finissait — sortait - avait — brillait — était - se courba — demeura — se releva — avait - eut — sentit — tenait. " Décrire 0 est soulagé de traverser un maquis ‘des arbres, des buissons pourraient ine embuscade. pied a terre car la pente est raide. dversaire de lache car celui-ci s'est © etraconter 2 a) F —b) M -c) F -d) orgue est masculin au singulier et féminin au pluriel !—e) M -f) M. 3 le sentier... qu'il suivait - des lieux... que la flamme a parcourus — celui... qui peut craindre (...) contre sa poitrine - un terrain uni... ou rien n'arréte sa vue — ces enclos... ol d’énormes chataigniers (...) bois touffu —- Orso... qui avait laissé (...) de son cheval - cette motion poignante ... que le plus brave éprouve (...) la mort. te A) Et il n’était guére qu’a vingt-cing pas d'un de ces enclos (...) lorsqu’il apercut... B) Le texte, jusque-la a l'imparfait, utilise le passé simple : l'action s’engage. C) betc. Reperer le point de vue 4 a) Le narrateur est sir Edmund Hillary, le premier vainqueur de |’Everest, avec le sherpa Tensing. b) Voir, regardai, je portai ensuite mon regard, chercher un instant du regard, nous pouvions voir. c) Le narrateur exprime d’abord sa lassitude, puis son soulagement, sa joie et enfin sa curiosité. 2 a) le Japon. — b) Venise. —c) chouette. - d) Napoléon Bonaparte. 3 le glacier de Rongbuk (nom propre) - notre voisin géant (groupe nominal), le Makalu - la grande masse du Kanchenjunga (nom propre) — le Cho Oyu, notre vieil adversaire de 1952 (groupe nominal). & a) « beaucoup plus bas » — « au premier plan ». —b) Il peut porter son regard sur « tout le cercle de l’horizon » car il est sur le toit du monde, rien ne fait obstacle a son regard. Décrire pourexpliquer xza 4 oncle — entier— bon - méchant — bonté - méchanceté - étre - pourfendu — moitié - sage. z « bras, jambe, thorax, abdomen, téte, ceil, oreille, joue, nez, front, narine. » CORRIGES 3 a) avocat b) coiffeur c) électricien d) macon e) agriculteur a. Tournures personnelles : « S'il ne mourait pas entretemps, ils allaient essayer de le sauver — Ils firent des coutures, des applications - II était, maintenant, vivant et pourfendu. » Tournures impersonnelles : « [] lui manquait un bras et une jambe — Pour la téte, il n’en restait qu'un ceil, une oreille, une joue... - De |’autre moitié, il ne subsistait qu'une bouillie. » — a) La description nous permet de comprendre comment et pourquoi le vicomte a été « pourfendu », coupé en deux. b) Cette description est invraisemblable : ce récit nest pas un récit réaliste ; c'est un conte, une « fable » sur la condition humaine. S Analyser le portrait EEE] 4 a) La description du premier personnage, comme I'auteur le note lui-méme, passe de ses vétements a son visage. Celle du second passe du visage a la silhouette, avant de se terminer par les vetements. b) C’est le comte de la Mole qui est le plus élégant : « pourpoint noir garni de jais ; manteau de velours violet foncé ; bottes de cuir noir » ; le second a un manteau « étriqué » et des bottes « d'une forme antique ». c) Ces deux hommes nous font bien sr penser au célébre d'Artagnan. 2 a) éclatantes b) expressions c) admirables d) distinction e) examen f) resplendissant g) contrariété h) acception 3 a) C'est Paul qui... b) Voici mon chateau! ¢) ly a quelqu’un qui... d) Ce n'est que demain qu’ils arriveront. ————<$ $$ _—— CORRIGES te a) « Il formait avec le premier un contraste complet. » « Au teint basane/un teint rosé, sa peau blanche. Au yeux bleus/un ceil gris, un ceil noir. A la fine moustache/une moustache fauve. » b) On peut les qualifier de héros car ils ont toutes les qualités qu'un lecteur demande aux héros : jeunesse, beauté, « distinction », force, courage. 4 Analyse 19 de l’image a A) b-B) a-C)b. 2 a) rivire — b) bleue — c) rouge - d) deux - e) droite - f) petit. Dev ® Edouard Manet Le Fifre musée d'Orsay @ i Raphaél Baldassare Castiglione Louvre @ ; Georges de La Tour Le Tricheur @ las de carreau Louvre ET @ A) lig 2/d-3/h-4/f-5/b -6/aet c- Pua. B) a) des blessures — b) cette forét — c) celles — d) la neige — e) la jeune chatelaine - f) son grand cheval — g) d'étranges poésies. A) comparé : « son front » - comparant : « laneige » — mot de liaison ; « comme » — élément commun : « blanc ». B) « dragons engourdis ». C) Le récit se situe dans un Moyen Age légendaire : « Oluf, son grand cheval, dragons, ours, éperon, chatelaine. » @ 1. Edmond : « grand, svelte, de beaux , yeux noirs, cheveux d’ébéne, air de calme et de résolution, hommes habitués a lutter... avec le danger. » — Mercédes : « belle jeune fille, aux yeux veloutés, doigts effilés et d'un dessin antique ». - Danglars : « figure assez sombre, obséquieux, insolent. » 2. Edmond Mercédés un jeune homme une belle jeune fille beaux yeux noirs au yeux veloutés cheveux d’ébéne | cheveux noirs comme le jais Le parallélisme montre que ces deux personnages se ressemblent, qu'ils sont destinés l'un a l'autre. 3. Le portrait d’Edmond contient un présentatif : « C’était un jeune homme... » fallut - semble — importe —- manquait — arrive, 1 Rapporter | des paroles 4 a) Les protagonistes de cette scene sont Octave Mouret, le directeur du Bonheur des Dames et son employée, Denise. b) Il est aussi question de Madame Hédouin, la premiere femme de Mouret, dont il est veut. c) Cette scene se passe dans le bureau d’Octave. d) Il s‘agit ici de la fin du roman. 2 a) N’ai-je pas trop souffert déja des commérages de la maison ? Voulez-vous donc que je passe aux yeux des autres et 4 mes propres yeux pour une gueuse ? Non, non, j'aurai de la force, je vous empécherai bien de faire une telle sottise. b) En lui disant: — Vous pouvez partir maintenant, vous passerez un mois a Valognes, ce qui fermera la bouche du monde, et j’irai ensuite vous y chercher moi-méme pour vous en ramener a mon bras, toute puissante. c) Elle lui dit qu’elle avait juré de ne point se marier et qu'elle ne pouvait lui apporter deux enfants. 3 la bergére : Denise - le prince : Mouret - le peuple : les clients et les employés — la bonne fée : Madame Hédouin. ky Roméo et Juliette —- Pyrame et Thisbé — Tristan et Yseult — Rodrigue et Chiméne — Orphée et Eurydice — Antoine et Cléopatre — Paul et Virginie — Pierrot et Colombine. | Le dialogue 1 2 théatral Cece 4 a) Harpagon pense a la cassette qu'on lui a dérobée. b) Valére croit qu'il parle de sa fille, Elise. c) Pour Harpagon, le trésor, c'est bien entendu sa cassette. d) Mais Valére pense bien sir a Elise, la jeune fille qu'il aime. e) Au théatre, cette confusion s'appelle un quiproquo. 2 HarpaGOon — Et cette cassette, comment est- elle faite ? Je verrai bien si c'est la mienne, Marrre JAcQuEs - Comment elle est faite ? HARPAGON — Oui. Marrre Jacques — Elle est faite... elle est faite comme une cassette. Le COMMISSAIRE — Cela s'entend. Mais dépeignez-la un peu, pour voir. Marrre JAcques — C’est une grande cassette, HARPAGON ~ Celle qu’on m’a volée est petite. Marrre JAcques — Eh oui! elle est petite, si on le veut prendre par la; mais je l'appelle grande pour ce qu'elle contient. Lr COMMISSAIRE — Et de quelle couleur est-elle ? Marrre Jacques ~ De quelle couleur # _ tte CORRIGES LE COMMISSAIRE — Oui. MAITRE Jacques — Elle est de couleur... la, d'une certaine couleur... Ne sauriez-vous m'aider a dire ? 3 a) mer, mer b) miroir c) tour Eiffel. Chose indispen- sable a la vie TRES Ro Argent, | ] objets précieux 4 3 Le dialogue romanesque Coe 4 a) « Drdle, insolent, maraud, un masque » ; Vallombreuse utilise le tutoiement. b) « monseigneur, monsieur le Duc, duc » ; Sigognac vouvoie le duc. & a) compliment b) inquiet c) poli d) humilité e) se taire f) inopportun g) timidité, pusillanimite. 3 a) Sa sceur (comparé) ressemblait a (mot de liaison) un éléphant (comparant) bien nourri (élément commun — grosseur). b) enfant (comparé) chantait (élément commun — beauté du chant) comme (mot de liaison) un rossignol (comparant). ¢) Telle (mot de liaison) une rose (comparant), la jeune fille (compare) ornait... grace (élément commun — beauté, grace). fe « de lui mettre un pied (ancienne mesure . 32 centimetres !) de rouge sur les joues ». v a) Le dialogue fait avancer I’action parce qu'il fait apparaitre l'antagonisme entre les deux hommes et qu'il va provoquer leur confrontation. b) Liéchange rapide des répliques est de duel verbal, qui prépare le vrai due ine sorte L, comme au théatre, un dialogue entre deux personnages, devant un public (les comédiens), dans un méme lieu, et qu'elle se termine par la sortie des personnages. V4 ia lettre iH err s iB . ‘ 2 Présent : je sais - futur : achéverai ; ae _Pronoms personnels 1" personne : je-_ Irson: & i om x cc) Ce passage est une scéne parce qu'on y trouve, 4, Des hommes criaient : « Les échelles sont cassées ! Personne ne sortira ! » Chaval dit 4 Catherine : « Tu veux donc que nous restions seuls dans la fosse, a crever de faim 2 » a 1.b-f-e-a-c-d. 2. a) Les deux interlocuteurs sont Archibald et son ami Algy. b) Algy utilise une sorte de style télégraphique : phrases nominales (sans verbe), comme les répliques « b » et « f», ou la premiére phrase de la réplique « a » ; il omet les pronoms personnels sujets « te présenterai... ». c) « quelques foutaises » « gaga » « pas trop mal » « un type » « bougrement sympa ». Leduvet |pareila |croulent | neiges au soleil d'avril Sa grande © navire aile Immense |pareil |hurlements |la mer/ urmure — des loups Routiers et capitaines 3 Relier © 2D des idées 1 a) Mirza —b) Usbek - ¢) aux peuples voisins qui ont envahi les terres des Troglodytes. d) les ambassadeurs des Troglodytes. e) juste/injuste f) Ils sont importants parce qu’ils opposent la justice des Troglodytes, peuple pacifique et vertueux, a l'injustice et a la méchanceté des peuples voisins, 2 adaddition: et (3, 9, 15, 19, 22) - disjonction : ou (17) Cause : car (6) conséquence : donc (16) Opposition ; mais (19). b) C'est la conjonction « et » qui est la mieux Teprésentée, — ¢) « ces paroles furent renvoyées avec mépris ; ces peuples sauvages entrérent armés... ». Les deux points remplacent la conjonction « et ». 3 c'est-a-dire - et - : — car — alors que - selon — donc - or - ou ~ ainsi. 4 Repérer les liens logiques 41 a) humoristique — b) vers 1871 —¢) Ilale méme age que Stivvings (« et nous, les autres éléves »), qui va au collége, et a donc entre dix et quinze ans. z2 Bronchites/canicule — rhume des foins/Noél - fiévre rhumatismale/ période de sécheresse — insolation/brouillard de novembre. 3 c.c. d’hypothése : « s'il survenait une épidémie... » — c.c. de cause : « parce qu'il souffrait de terribles maux de dents... - parce qu'on lui interdisait de faire des exercices... » - c.c. de conséquence : « si bien qu'il ne pouvait venir en classe ». te « alors que... ». T > 4 2? Raconter -f pour expliquer 4 a) Avant de se coucher, le narrateur a enveloppé les carafes de linges blancs et s'est passé de la mine de plomb sur le visage. Ainsi, si c'est lui qui, dans son sommeil, touche a la carafe, les linges seront salis. b) Durant son sommeil « on » a bu toute l'eau et le lait ; mais les linges sont propres. c) C’est done quelqu’un d’autre qui Ia fait. Zz 1 : barbouillai - 2 : étaient demeurés — 3: efit touché - 4 ; l'avais mise — 5 : avait bu - 6 : n'avaient pu — 7: posai - 8: était- 9: sens - 10: raconte - 11 : souriez — 12: est faite - 13: est. 3 a) personne... tous b) chacun ¢) la plupart d) rien e)on f) n'importe qui... n'importe quoi. qe a) Le narrateur utilise le pronom indéfini « on » parce qu'il ne connait pas l'identité, la nature de |'étre qui le « posséde », CORRIGES b) Quand il aura la certitude de son existence, j] utilisera un pronom personnel, « i] ». . ¢) Le journal intime convient particuliérement 4 ce sujet de roman parce que l'on peut suivre ainsi, jour aprés jour et grace 4 un point de vue interne, la progression de l'angoisse, de la peur, de la folie chez le narrateur. 4 2 Vers » l’argumentation 1 a) Zadig vient de Babylone. b) Il se dirige vers l'Egypte, pays traditionnel de la fuite. ¢) Zadig s'évanouit de douleur, de chagrin, en pensant a sa bien-aimée, la reine Astarté. d) Le « moyen de transport », les dromadaires. situe ce texte en Orient. 2 s évanouit : passé simple, indicatif - j ai fait : passé composé, indicatif - j’eusse été: plus-que-parfait, subjonctif - je serais : present, conditionnel. 3 Zadig : groupes nominaux : « son ami — cet illustre fugitif » - pronoms personnels: « I’ - il - m’ - j — je - moi » - pronoms relatifs : « qu’ — qui ». Astarté : groupes nominaux : « Ja reine -la troisieme » — pronom relatif : « qui ». fe « la plus aimable des femmes — la premiére reine du monde ». — a) L'argumentation est contenue dans le « discours », le monologue intérieur de Zadig. b) Ce passage est construit sur les oppositions suivantes : « deux femmes mont indignement trompé/la troisiéme, qui n'est point coupable », « j'ai fait de bien / source de malédictions » ; « comble de la grandeur/horrible précipice de l'infortune » ; « méchant/heureux ». c) Le lecteur peut donc accepter la conclusion de Zadig, au terme de son argumentation basée sur des oppositions : la vertu est inutile, puisque les bons sont malheureux et les méchants heureux. wip 1) Dés que le jour se léve... (c.c. de temps). 2) Bien qu’ils aient eu beaucoup de courage et de volonté... (c.c. d opposition), 3) Parce que tu as fait / commis des sottises... (c.c. de cause). vil 4) Pour qu’il puisse réussir cet examen... (c.c.de but), eee. §) Si nous nous levons de bonne heure... (c.c. de condition). | Tout d’abord, les enfants ou les adolescents perdraient beaucoup de temps devant leur console de jeux, ou leur ordinateur, et c'est du temps qu’ils ne consacrent donc pas a leurs études. En outre, beaucoup de ces jeux sont violents, car le but du jeu est de frapper, ou méme de tuer un adversaire, Cependant, on pourrait rétorquer que le but d’un jeu, quel qu'il soit, est de perdre du temps, et que c’est ce qui distingue une activité « ludique » d'une activité « utile ». Quant ala violence, il faudrait pouvoir prouver quiil y avait moins de violence quand ces jeux n'existaient pas, ce qui est loin d’étre le cas. De plus, certains psychologues expliquent que cette violence ludique est une violence de substitution, qui permet de canaliser, ou d’expulser la violence réelle. | En fait, comme pour toute chose, ces jeux ne sont ni dangereux, ni nuisibles, 4 condition de les dominer, etnon pas d’étre dominés pareux. Le style indirect Pa: Réécrivez les phrases suivantes : a) Transcrivez au style direct le passage au style indirect libre : « N'avait-elle pas trop souffert déja... telle sottise ». ceri nietlrciant = b) Transcrivez au style direct le passage au style indirect : « En lui disant... toute puissante ». a aEEnanieet $$ — c) Transcrivez au style indirect : « - J'ai juré de ne point me marier, je ne puis vous apporter deux enfants. » Sleitiditqu AR ee ea Jo TOD AERS Sis S Les types de personnages Ses. On a souvent dit que ce roman était un « conte de fées ». Retrouvez, dans le texte, les personnages suivants : La«bergere»: Leprinee? PARE heh oc fe peuple: Sauriez-vous reformer ces couples célebres ? | - Cha e CO) Romeo ery PAtre Orphee , Yseult , Pyrame Vj nine An torn 'Sinio colon Tristan Paul eet This Are 4 sne UWS, ya Chimene é ea Rodrigue” On vient de voler la cassette d’Harpagon. Celui- ci, aidé du commissaire, mene une enquéte. Il inter- roge Valere, son intendant, jeune homme de bonne famille qui n'a pris cet emploi que pour étre aupres de la jeune fille qu’il aime, Elise, fille d'Harpagon. IL avoue cet amour. Mais Harpagon croit qu'il avoue le vol de la cassette... ! VALERE - De grace, ne vous mettez point en colere. Quand vous m‘aurez oul’, vous verrez que le mal n'est pas si grand que vous le faites. HARPAGON - Le mal nest pas si grand que je le fais |! Quoi | mon sang, mes entrailles, pendard ! VALERE - Votre sang, mon- sieur, n'est pas tombe dans de mauvaises . mains. Je suis dune condi- tion’ a ne lui point faire de tort, et il n'y a rien en tout ceci que je ne puisse bien réparer. HARPAGON ~ Cest bien mon intention, et que tu a nities aux questions. | «ali are quand il Avaque « [s]on sang, [sles entrailles » ? me restitues ce que tu mas ravi.’ VALERE - Votre honneur, monsieur, sera pleinement satisfait. HARPAGON - Il n'est pas question d'honneur la- dedans. Mais, dis-moi, qui t‘a porté a cette action ? (..) VALPRE - Un dieu qui porte les excuses de tout ce qu'il fait faire :!Amour. HARPAGON - LAmour ? VALERE ~ Oui. HARPAGON ~ Bel amour, bel amour, ma foi ! !amour de mes louis dor! VALERE - Non monsieur, ce ne sont point vos richesses qui mont tente, ce n'est pas cela qui ma ébloui, et je proteste de ne rien pretendre a tous vos biens, pourvu que vous me laissiez celui que j ai. HARPAGON - Non ferai,* de par tous les diables ! Je ne te le laisserai pas. Mais voyez quelle insolence de vouloir retenir le vol qu il ma fait! VALERE - Appelez-vous cela un vol ? HARPAGON - Si je lappelle un vol ! un tresor comme celui-la |! VALERE ~ C'est un trésor, il est vrai, et le plus precieux que vous ayez sans doute ; mais ce ne sera pas le perdre que de me le laisser. Je vous le demande a genoux, ce tréesor plein de charme ; et, pour bien faire, il faut que vous me | accordiez. Moutrae, L Avare Acte V scene 3 1.Oul:écouté, - 2. Condition : rang social. — 3. Ravi: pris. 4. Non ferai : je ne le ferai pas. Compréhension d) A qui pense Valére ?_ e) Comment appelle-t-on, au théatre, cette confusion, cette méprise ? La ponctuation 2 Ponctuez le passage suivant : Vous utiliserez les signes suivants : virgules : 4 - points d'interrogation : 5 - points :9 - points de suspension :3 - points d’exclamation : 1 - point-virgule :1. HARPAGON - Et cette cassette ( ) comment est-elle faite (_) Je verrai bien si c'est la mienne ( ) Maitre JAcQues - Comment elle est faite (_ ) HARPAGON — Oui (_ ) Maitre Jacques - Elle est faite (_ ) elle est faite comme une cassette (_ ) Le commissaire — Cela s‘entend (_ ) Mais dépeignez-la un peu (_ ) pour voir (_ ) Maitre Jacques - C'est une grande cassette (_ ) HARPAGON - Celle qu’on ma volée est petite ( ) Maitre Jacques - Eh oui ( ) elle est petite (_ ) sion le veut prendre par la ( ) mais je l'appelle grande pour ce qu'elle contient ( ) Le commissaire — Et de quelle couleur est-elle (_ ) Maitre JAcQues - De quelle couleur (_ ) Le COMMISSAIRE - Oui ( ) Marrre Jacques — Elle est de couleur( )la( ) d'une certaine couleur ( ) Ne sauriez-vous m/aider a dire ( ) La métaphore aan. Retrouvez les mots absents dans les métaphores suivantes : — miroir - tour Eiffel - mer - LE GVIDE @ b) Létang reflete, a) Ce toit tranquille, ou marchent des colombes : . dy Entre les pins palpite, entre les tombes ; Profond .. + 4s s . “y te Midi le juste y compose de feux La silhouette snitiadane Pat ie, Ine: toujours recommencee ! Du saule noir Paul Verlame Paul Valéry ‘ Ry ORCL CO ois secsteenctenteonsnseeret le troupeau des ponts bele ce matin. Guillaume Apollinaire 4. Complétez le tableau a l'aide des définitions suivantes : Personne aimée —- Personne de la méme famille - Argent, objets précieux - Chose indispensable a la vie. La double me- prise nest pos- sible que grace a@unemploi mé- taphorique des mots sang et tre- 50r. Pour Vamour d'Isabelle, le baron de Sigognac, gentilhomme pauuvre, a suivi une troupe de comédiens errants, sous le nom de Capitaine Fracasse. Au cours d'une répétition, la jeune fille est courtisée par le duc de Vallombreuse. Sigognac, en costume, intervient. Le duc s’élance mais s’arréte soudain ; son adversaire, pense-t-il, n ‘est qu'un comédien... Cependant il nétait pas dans sa nature de laisser une offense impunie dou quelle vint, et se rapprochant de Sigognac, il lui dit :« Drole, je te ferai rompre les os par mes | meee - Prenez garde, monseigneur, répondit Sigognac du ton le plus tranquille et de lair le plus detache du monde, jai les os durs et les batons s'y briseront comme verre. Je ne regois de volee que dans les comedies. = Quelque insolent que tu sois, maraud, je ne te ferai pas honneur de te battre : _moi-meme: Cest une ambition qui passe tes merites, dit Vallombreuse. = Cest ce que nous verrons, monsieur le Duc, repliqua Sigognac. Peut-étre bien, ayant moins de fierte vous battrai-je de mes propres mains. es = Je ne réponds pas a un masque’, fit le duc en prenant le bras ~ de Vidaline qui s etait rapproche. am ~ Je vous montrerai mon visage, duc, en temps et lieu opportun, reprit ognac. ie arois quil vous sera plus désagréable encore que mon faux nez. Mais brisons la. Aussi bien jentends “Les comediens admiraient son courage mais. connaissant la qualite’ du baron, ne s etonnaient pas comme les eurs de cette Scene, interdits d'une telle auaaee. L émotion d isabelle evait été si vive que le fard ue en Aiea hikes » A peine pouvait-elle se tenir sur ses jambes, et si la Soubrette ne lui eit soutenu le coude, . elle aurait pique du nez sur les planches en entrant en scene. (..) Elle aimait tendrement -Sigognac, etla pensée dun guet-apens, ou tout au moins d'un duel, a quoi il etait exposé, la trou- batt plus quon ne saurait dire. Théophile Gaunes, Le Capitaine Fracasse. - 1. Moi-méme : un noble ne peut se battre avec un roturier, 2. Masque : le masque du Capitaine Fracasse. 3. Sonnette : “qui annonce le début de la piéce. 4. Qualité : le fait qu’il soit noble. 5. Pied : ancienne mesure de longueur (0,324 m). Compréhension ili tee Fs % 4 = ‘ a rz . ia p ; : = : i F E dépréc pee parle duc qui montrent son mépris, — === on les maniéres de panier qui montrent la politesse de Sigognac. — —-__ a Les antonymes 7 2 Trouvez les antonymes des mots suivants : a) offense Bd a b) tranquille c) insolent WS ae d) fierté BEPPOOUGNP i ee ee f) opportun g) audace La comparaison gp LE GVIDE @ $ Compleétez le tableau suivant : a) Sa sceur ressemblait a un éléphant bien nourri. b) L’enfant chantait comme un rossignol c) Telle une rose, la jeune fille ornait le el de sa grace. s'y briseront (fragilité) 3 Comparant verre » 4. Relevez dans le texte une hyperbole (expression exagéreée) : Les marques du récit wl ¢ Répondez aux questions. a) En quoi le dialogue fait-il avancer l’action ? _________- b) A quoi fait songer I’échange rapide des répliques (pensez a ce que les dernieres lignes du texte annoncent) ? __—§_$_$___-- ¢) Pourquoi ce passage est-il une « scene » 7 ________ Beas a Ae ; . ee 4 Reconstituez l'emploi du temps de la marquise. ~ rement. Restaient les lettres, véritable chronique de la Cour et de la __ chére fille, je ne la trouve plus, et tous les pas qu'elle fait léloignent de moi. Je m’en allai donc @ Sainte-Marie, toujours pleurant et tou- - jours mourant, I! me semblait qu'on m‘arrachait le cur et |'dme, et en Pour la marquise de Sévigné, le départ de sa fille vers la Provence, apres qu'elle eut épousé le marquis de Grignan, constitua un véritable déchi- Ville sous Louis XIV. La marquise de Grignan a quitté Paris le 4 février.. | A Paris, vendredi 6 février 1671 Ma douleur serait bien médiocre si je pouvais vous la dépeindre: je ne Ventreprendrai pas aussi. J'ai beau chercher ma effet. quelle rude séparation! je demandai la liberte d’étre seule. On me mena dana la chambre de Mme du Housset, on me pit du feu. Agnes me regar- dait sans me parler: c’était notre marché, J’y passai jusqu’a cing heures sans ceas- ser de sangloter ; toutes mes pensées me paisaient mourir... Je revins enfin a huit heures de chez Mme de La Fayette. Mais en entrant ici, bon Dieu ! comprenez-vous bien ce que je sentis en montant ce degré’ ? Cette chambre ow j‘entrais toujours, hélas ! jen trouvai les portes ouvertes. mais je vis tout démeuble, tout dérangé, et votre pauvre petite fille’ qui me représentait la mienne. Comprenez-vous bien tout ce que je souppris ? Les réveils de la nuit ont été noirs. et le matin je n’etais point avancée d‘un pas pour le repos de mon esprit. L'aprés-midi se passa avec Mme de La Troche a ‘Arsenal. Le soir, je regus votre lettre, qui “me remit dans les premiers transports, et ce soir j acheverai celle-ci chez M. de Coulanges, ou j'apprendrai des nouvelles. Car pour moi, voila ce que je sais, avec les douleurs de tous ceux que vous avez laissés ici. Toute ma lettre serait pleine de compliments’, si je voulais. 1.Degré sescalier. Mme de Sévigné habitait au second étage, sa fille au premier. 2. Petite fille : Marie-Blanche ; 4gée de deux mois et demi, elle ne pouvait faire le long et difficile voyage. 3. Compliments : les regrets de leurs amis. Comprehension La situation d’énonciation selling 2 Classez les mots soulignés dans le tableau Madouleur ; ma ché -j ? ’ Ma ur; ma chére fille ; je demandai ; notre marché ;igi : comprener-vous -ce deard. votre pauvre petite fille ;!a mienne ; votre lettre -ce soir :jachéverai ; je aoe. / SE degre ; cette chambre ; a a ; al é Sais —— — ———__- aa Temps grammaticaux : $$. Sr RPPIETEE 94 5540k9 aa ‘ \ he Ls i Be . 1) Soulignez la phrase rapportée directement (style direct), S 2) Soulignez la phrase rapportée indirectement (style indirect). a! 3) Soulignez la phrase rapportée au style indirect libre. i 4) Met e ‘au style direct les phrases soulignées en 2) et 3). piranha taker te em EE ene ae leek be Fu gn pegs ae mrcape tins men an rsa enh ma my a nae - Y ane ace nem ager ail A a ol kh ae ie gata ieee he a ee ae ee —— ~ — ~ _ ei le - tae ‘ é @D Le dialogue romanesque. _ Archibald jeune écervele londonien, s ennuie a son club, Mais soudain.. f = ‘ Algy suivit la direction de son doigt et eut juste le temps dapercevolr Aurelia comme elle disparaissait dans le taxi, : ; = ig 4 + af Oui, dit Archibald, en baillant. Oui est-elle, si elle a un nom ? al Pars. } a bef : an vidit Archibald en haillant de nouveau, Alors je ne lai jamais rencontreée. i ie “af P a - bs he * ibald bailla pour la troisieme fois, itil, j sssaleral de men souvenir. Parle-moi delle. Je veux dire, est-ce des méres ou quelques foutaises du meme genre ? pique au vit Jeveux dire, cette fille pas trop mal ? ems he Pas Aurélia. La tante. Elle pense que B rl Tuas du entendre parler des Lice endre parler de Shakespeare. Il est bien connu. Garcon qui écrivai pieces. Seulement la tante dAurélia dit que non. Ele jul ecrivait des Bacon les écrivait pour ul. la 1 - Indiquez dans chaque case la lettre de la réplique disparue acon a ecrit Shakespeare soutient quun type nomme c PG. Wodehouse, Mr, Mulliner raconte, Omnibus. dr a) Seulement une tante. Elle vit avec elle dans Park Street. Elle est gaga. - b) Cette fille ? ~ ¢) Pense que qui a écrit quoi ? demanda Archibald intrigué, car les noms lui a a etrangers. - d) Bougrement sympa de sa part, dit Archibald, d’‘un ton approb i Bien sar, il devait peut-étre de l'argent 4 Shakespeare. - e) Te SERNA a ei Elle sera sUrement a Ascot. Viens nous y rejoindre. - f) Fille appelée eateries 2 - a) Qui sont les deux interlocuteurs ? ' T b) L’un des deux personnages a une maniére de parler particuliére. Précisez. c) Relevez des expressions familiéres. «pos our pus pants ow veoh) a qa Comparaisons : complétez le tableau suivant: a) Le duvet de ses flancs est pareil/ A des neiges d'avril qui croulent au soleil (Sully Prudhomme) - b) Sa grande aile l’entraine ainsi qu'un lent navire (Sully Prudhomme) - ¢) J'entends un immense murmure/ Pareil aux hurlements de !a mer et des loups. (Leconte de Lisle) - d) Comme un vol de gerfauts hors du charnier natal/ Fatiqués de porter leurs miseres hautaines/ De Palos d ivres d'un réve héroique et brutal (Hérédia). e Moquer, routiers et capitaines/ Partaient, En réponse & son ami Mirza, qui lui demande ce que sont la justice et la vertu, Usbek raconte V’histoire de deux peuples, les bons et les mauvais Troglodytes. La lettre XIII est consacrée @ la vertu des bons Troglodytes. Je ne saurais assez te parler de la vertu des Troglodytes. Un deux disait un jour :« Mon peére doit demain labourer son champ ;je me léverai deux heures avant lui, et, quand il ira a son champ, il le trouvera tout laboure. (...) On vint dire a un autre que des voleurs avaient enleve son troupeau :«J en suis bien faché, dit-il ; car ily avait une génisse toute blanche que je voulais offrir aux Dieux. » ( ) Tant de prospérités ne furent pas regardées sans envie ; les peuples voisins sassemblerent, et, sous un vain’ pretexte, ils résolurent denlever leurs troupeaux. Des que cette resolu- tion fut connue, les Troglodytes envoyérent au devant deux des ambassadeurs, qui leur parlérent ainsi : - Que vous ont fait les Troglodytes ? Ont-ils enleve vos femmes, derobe vos bestiaux, ravage vos campagnes ? Non : nous sommes justes, et nous craignons les Dieux. Que deman- dez-vous donc de nous ? Voulez-vous de la laine pour vous faire des habits ? Voulez-vous du lait de nos troupeaux ou des fruits de nos terres ? Mettez bas les armes ; venez au milieu de nous, et nous vous donnerons de tout cela. Mais nous jurons, par ce qu ily a de plus sacré, que, si vous entrez dans nos terres comme ennemis, nous vous regarderons comme un peuple injuste, et nous vous traiterons comme des bétes farouches. » Ces paroles furent renvoyées avec meépris : ces peuples sauvages entrerent armeés dans la terre des Troglodytes, quiils ne croyaient defendus que par leur innocence. SSS Monresouieu, Les Lettres persanes, Lettre XII]. 1. Vain : futile, faux. j Compréhension __.& al b) Quel est le destinateur ? a a d) Qui le prononce ? e) Relevez deux antonymes dans le discours. f) Pourquoi ces deux adjectifs sont-ils importants ? La coordination TAs) 2 Relevez les différentes conjonctions de coordination du texte. a) Classez-les selon leur sens. b) Quelle est la conjonction la plus fréquente?_ c) Quel signe de ponctuation est utilisé par I'auteur pour relier les idées sans utiliser de conjonction ? Relevez un exemple (une phrase). L’articulation du récit ee Replacez les mots de liaison ou les signes de ponctuation qui manquent. ainsi - c‘est-a-dire - et - selon - donc - car - :- alors que - ou - or Lhistoire que raconte Usbek est un apologue, dans leur vertu la force et le courage pou) un recit qui contient une vert se défendre et pour triompher. Montesquieu, la legon que donnent les Troglodytes peut ____ sappliquer a tous les te morale. cette verité morale est la suivante __ un peuple, ici les bons Troglodytes ne peut vivre et survivre que sil est vertueux. peuples, et tout dabord a la société de son —__.___ les peuples qui ne pratiquent pas époque. ____ cette verite est toujours vrai i} % : Been veh LIM “ir s0uUrrait-on resu la vertu, comme les voisins des Troglodytes, Etre vertueux __ perir pourré ( sont des peuples désunis, __________ es mer cette histoire Troglodytes, lorsquils sont attaqués, trouvent Un dréle de cas... Le narrateur évoque le souvenir d’un de ses cama- rades de college, un nommé Stivvings, surnommé | Sandford et Merton. ~ fh bien ! cet élave était réguiiére- ment malade au moins deux fois par » semaine, si bien qu'il ne pouvait venir en classe. Aucun éléve na } jamais été malade aussi souvent que ce Sandford et Merton. S'il survenait une épidémie quel- conque dans un rayon de vingt kilométres autour de fui, il contractait le mal et en souffrait fortement. || prenait des bron- chites en pleine canicule’, et il avait le rhume des foins a Noél. Apres une période de sécheresse qui dura six semaines, il fut terrassé par une fiévre rhumatismale’ ; et en sortant par un brouillard de novembre, il revint chez lui avec une insolation’. Une année, on mit ce pauvre garcon sous les anesthésiques, pour Jui arracher toutes ses dents, et on lui posa un ratelier, parce quill souffrait de terribles maux de dents : ceux-ci furent alors remplacés par des névraigies et des douleurs d'oreilles. | ne restait jamais sans ‘un thume, excepté une fois pendant les neuf semaines ou i] eut |a - scarlatine ; et il avait toujours des engelures. Lors du choléra de _ 1871, notre voisinage en fut par exception épargné. |i n'y eut dans toute la paroisse qu'un seul cas avéré :ce cas était le jeune Stivvings. Quand il était malade, on le faisait rester au Jit, et manger du poulet, des flans et du raisin de serre ; mais il ne cessait de sanglo- ter, parce qu’on lui interdisait de faire des exercices latins et qu'on lui enlevait sa grammaire allemande. Et nous, les autres éléves, qui aurions volontiers sacrifié dix trimestres de notre vie scolaire pour obtenir la grace d’étre malades un seul jour, et qui n’avions aucun désir de donner 4 nos parents le moindre prétexte d'étre fiers de nous, - nous ne pouvions attraper un simple torticolis. Jerome K. Jerome, Trois hommes dans un bateau. Coll. Le Livre de Poche Jeunesse, © Hachette Livre. 1. Période de trés forte chaleur. 2. Les rhumatismes sont souvent dus a I'humidité. 3. Maladie causée par une exposition prolongée au soleil. Compréhension __.d al Quel indice vous permet de répondre a cette question ? L’opposition 2 Relevez, a la fin du premier aragr qui marquent une oppositi eth ches an teeth tes mots on de sens, en les classant: Maladies Climat, époque Les propositions subordonnées nd = s Relevez, dans le texte, des subordonnées conjonctives : — complément circonstanciel d’hypothése (condition) — complement circontanciel de cause (2) — complement circonstanciel de conséquence Formez une subordonnée conjonctive, complément circonstanciel d’opposition. Utilisez l'une des conjonctions suivantes : Pendant que - alors que - si bien que - parce que. Quand il était malade, on le faisait rester au lit, ...........--.- eee ee seen eee eet nous, les autres éléves, nous ne pouvions attraper un simple torticolis. La «these » tt f ihe Quelle est, d’aprés vous, la thése qu’illustre l’exemple de Stivvings. a) Quoi que I’on fasse, il est difficile d’échapper a son destin. O b) Certaines personnes possédent ce qu’elles ne voudraient pas avoir, VY et d'autres désirent ce qu’elles n’ont pas. j ot ¢) Dans la vie, les bonnes actions ne sont pas toujours recompensces. L Dans son Journal, le narrateur raconte comment, TS aapbna compveren nvearnens jour apres jour, il est « possédé » par un étre invisible, — une créature surnaturelle qu'il nomme le Horla... 6VY DE MAUPASSART ena oe Le 6 Juillet St ie Je deviens fou. On a encore bu toute ma carafe cette Z - / lor la nuit ; - ou plutét, je lai bue | : Mais, est-ce moi ? Est-ce moi ? Qui serait-ce ? Qui ? So ot Oh ! mon Dieu ! Je deviens fou ? Qui me sauvera ? 10 Juillet Je viens de faire des épreuves surprenantes. Décidément, je suis fou | Et pourtant ! Le 6 juillet, avant de me coucher, j'ai placé sur ma table du vin, du lait, de l'eau, du pain et des fraises. On a bu - j’ai bu - toute l'eau, et un peu de lait. On n’a touché ni au vin, ni au pain, ni aux fraises. (...) Le 9 juillet enfin, j'ai remis sur ma table l'eau et le | lait seulement, en ayant soin d'envelopper les carafes — en des linges de mousseline blanche et de ficeler les bouchons. Puis, j’ai frotté mes lévres, ~ ma barbe, mes mains avec de la mine de plomb’, et je me suis couche. L'invincible sommeil m’a saisi, suivi bientét de l’atroce réveil. Je n’avais point remué ; mes draps cux-mémes ne portaient pas de taches. Je m’élangai vers ma table. Les linges enfermant les bouteilles étaient demeurés immacules. Je déliai les cordons, en palpitant de crainte. On avait bu toute |’eau ! on avait bu tout le lait ! Ah ! mon Dieu !.., _ Je vais partir tout 4 l’heure pour Paris. PULIAS. aM AdY Brats ee Bee ree iC LeMOUNE MAUPASSANT, Le Horla,, a leer 1, Mine de plomb ; substance qui sert a fabriquer les mines de crayons. Compréhension i a si: ae €) Quelles « précautions » prend le narrateur avant de se coucher le 9 juillet au soir ? Pourquoi fait-il cela ? rh ag mn sin pe ei eet eee b ‘Que s'est-il passé durant son sommeil ? gS Peete uae 2 Pe TEAS ore ii. Conjugaison Jem sd a: — le texte de la premiére version du Horia emps et au mode qui conviennent, (* Mettez les verbes au signale un temps composé.) 1: barbouiller Puis, au moment de me mettre au lit, je me (1) : 2:demeurer les lévres et la moustache avec de la mine de plomb ae, 3 : toucher A mon réveil, tous les objets (2*) D shelire ion a : 3 F Immaculés bien qu'on y ive a ey d serviette n’‘était point posée comme je 6 : pouvoir i * eg aie eee ‘et, de plus, on (5*) de l'eau, et du ait. Or ma porte fermée Jreté , Facey avec une clef de stireté et m P ca , 3 és volets cadenassés par prudence 8: tre laisser pénétrer personne. 9: sentir Alors, je me (7) . cette redoutable question. Qui donc (8) 10: raconter la, toutes les nuits, pres de moi ? 1 oe Je (9) , Messieurs, que je vous (10) 12: faire eee vite. Vous (11) , Votre opinion (12*) uw :étre eect GIS un fou.» Les pronoms indéfinis s Remettez chaque pronom indéfini a sa place: nimporte qui — on - personne - rien - n‘importe quoi - tous - chacun - Ja plupart. a) ine croyait le pauvre homme, et ___ pensaient qu'il était fou. b) _______retourna chez soi, plutdt effrayé. c) _.._____ d’entre nous croyaient fermement a l’existence d’étres surnaturels. d) _____ ne le fera changer davis, j'en ai peur. e) ______ peut dire ce qu’on veut, l'histoire est étrange. f) A propos de ce genre d’histoires, ====—S——S—__—raconte La cohérence narrative .».@0 —_ a. q Répondez aux questions sur le texte de Maupassant. a) Pourquoi le narrateur utilise-t-il le pronom indéfini « on » ? b) Quel pronom utilisera-t-il pour désigner le Horla quand i! aura la certitude de son existence man s . ® ' . "4 4 . 4 fi IF ¢) Pourquoi ce type de texte - le journal intime — convient-il particuli¢érement au sujet cu rc Zadig, grace a ses vertus, a été nommeé Pre- mier ministre par le roi. Mais il aime en secret la reine Astarté, qui partage sa flam- me. Ils sont dénoncés par des envieux. Zadig doit fuir Babylone, aidé par son , Geert Cador. Cador, dans le moment meme, fit placer deux dromadaires des plus légers a la course vers une _ porte secrete du palais ; il v fit monter Zadig, quil fallut porter, et qui était pres de rendre lame. Un_ seul domes: tique accompa: gna ; et bientot Cador, plonge A Réponder aux questions. dans [étonnement et dans la douleur, perdit son ami de vue, Cet illustre fugitif, arrive sur le bord dune colline dont on voyait Babylone, tourna la vue sur le palais de la reine, et sévanouit; ilne reprit ses sens que pour verser des larmes et pour souhaiter la mort. Pnfin, apres sétre occupe de la destinee déplorable de la plus aimable des femmes et de la premiére reine du monde, il fit un moment de retour sur lui:méme, et sécria : « Quest-ce donc que la vie humaine ? O vertu ! a quoi mavez- vous servi ? Deux femmes mont indignement trompe ; la troisieme, qui nest point coupable, et qui est plus belle que les autres, va mourir! Tout ce que jai fait de bien a toujours éte pour moi une source de malédictions, et je nai été éleve au comble de la grandeur que pour tomber dans le plus horrible précipice de Tinfortune. Si jeusse ete mechant comme tant dautres, je serais heureux comme eux. » Accablé de ces réflexions funestes, les yeux chargés du voile de la douleur la paleur de la mort sur le visage, et Ame abimée dans |'exces dun sombre désespoir, il continuait son voyage vers | Egypte. VoLnAIRE, Zadig ou la destinée ’ Coramrthemsion al Conjugaison 2 Donnez le t emps et le mode des formes suivantes prises dans le texte : s‘évanouit j'ai fait j'eusse été je serais Les substituts dunom Re = S Relevez les reprises nominales et pronominales des personnages. ane ‘Noms propres” a Zadig Astarté | Groupes nominaux | | Pronoms personnels Pronoms relatifs L’argumentation dal ¢ Répondez aux questions. a) Quel est le passage qui contient une réflexion, une argumentation ? _ b) Sur quelles oppositions ce passage est-il construit ? b) Vers quel pays se dirige-t-il ? a t amené, provisoirement, a tire! de la qu d) Mis a part les noms propres, quel détail situe le c) Quelle est donc la réponse que le lecteur es texte en Orient? « O vertu ! A quoi m'avez-vous servi ? » yi Remplacez les groupes en italique par des propositions " subordonnées conjonctives de méme fonction et de méme sens. Indiquez cette fonction (complément circonstanciel de...) 1) Dés le lever du jour, le chant de milliers d’oiseaux se fait entendre dans les bois qui entourent la maison. eee eet oR tee des By) . $e oe) Malgré leur courage et leur volonté, les joueurs ne purent remonter les deux buts ~ qu’ils avaient encaissés en début de rencontre. BOWERS cnt ito he bite) 3) A cause de ses sottises, nous ne pourrons aller passer la journée au parc aquatique. s Pe rICIGE go) 4) Pour réussir cet examen, il lui faudra travailler davantage. 12>] eee ee 5) A condition de nous lever de bonne heure, nous ne rencontrerons pas trop de ~ randonneurs sur les pentes de la dent d’Oche. PNMRCIE See td Se a 1 ‘t : & A partir du texte suivant, remplissez le tableau. Este: | Le malheur de Zadig vint de son bonheur méme, et surtout de son mérite. Il avait tous les jours des entretiens avec le roi et avec Astarté, son auguste épouse. Les 1 charmes de la conversation redoublaient encore par cette envie de plaire qui est -alesprit ce que la parure est a la beauté ; sa jeunesse et ses graces firent insensi- _blement sur Astarté une impression dont elle ne sapercut pas d abord. Astarte se livrait sans scrupule et sans crainte au plaisir de voir et dentendre un homme cher a son époux et a Etat ; elle ne cessait de le vanter au roi; elle en parlait a ses ___ femmes, qui encherissaient encore sur ses louanges ; tout servait a enfoncer dans son coeur le trait quelle ne sentait pas. Elle faisait des présents a Zadig, dans Bree lesquels il entrait plus de galanterie quelle ne pensait ; elle croyait ne lui parler Bm. gquen reine contente de ses services, et quelquefois ses expressions étaient d'une femme sensible. D’apreés Vouraire, Zadig, chap. 8, la Jalouse. ze a2 *iir +. et toes hey Wet, a sy <> Vers l’'argumentation. ms * Recopiez a leur place les arguments et la conclusion Sujet : Les jeux vidéos sont-ils nuisibles, ou dangereux ? Arguments : — que cette violence ludique est une violence liser, ou dexpulser la violence réelle - a condition de les dominer, et non pas d'étre ~ que le but d'un jeu, quel qu il soit, est de perdre tingue une activite « ludique » d'une activité « utile: ~ beaucoup de ces jeux sont violents, car le but tuer un adversaire - les enfants ou les adolescents perdraient beaucoup de te le de jeux, ou leur ordinateur, et c'est du temps quils ne leurs études - il faudrait pouvoir prouver qu'il y avait moins de violence taient pas, ce qui est loin d'étre le cas On entend dire parfois que les jeux vidéos sont nuisibles, voire danvereux Tout dabord, En outre, ___ Cependant, on pourrait retorquer de substitution, qui permet de cana domineés par eux du temps, et que c'est ce du jeu est de frapper, ou meme de mps devant leur conse consacrent donc pas a quand ces jeux nexis qf L’apposition L'apposition n’est pas, a proprement parler, une fonction grammaticale, c’est un type de construc- tion. Un mot, ou un groupe de mots, est apposé lorsqu'’il est séparé, par une virgule, d'un autre mot, ou groupe, qu'il qualifie, ou avec lequel il entre- tient un rapport d’identité. a) Nature ou catégorie grammaticale. Le mot apposé peut étre ; ~ uN Nom ou UN groupe nominal. L‘Everest toit du monde. ~ un adjectif. L'alpiniste, épuisé, s‘arréta, b) Epithéte. On parlera d'épithate lorsque le mot nest pas séparé du mot, ou groupe, qu'il qualifie. Cette construction peut étre directe (Une haute montagne, le mont Ventoux) ou indirecte (le Pic du Midi). ¢) Attention a la confusion entre le complément du nom et l'épithéte construite indirectement ! Dans Les conquérants de |'Everest, « de |’Everest » est complément du nom : dans La chaine de Himalaya, « de \'Himalaya » est épithéte, car « chaine » et « Himalaya » désignent la méme chose. F L'argumentation U'argumentation se rencontre dans les textes de type argumentatif. C’est une démonstration, un raisonnement qui vise & convaincre |'interlo- cuteur de la vérité d’une thése (opinion, idée générale) a l'aide d’arguments. Ces arguments s'appuient sur des exemples concrets, des cita- tions, etc. LU’argumentation, pour convaincre, doit tenir compte de |’interlocuteur (son age, sa situation, ses opinions...). Elle met en jeu tout un ensemble de moyens (connecteurs logiques, vocabulaire valorisant ou dévalorisant, ponctuation ou intona- tion, figures de style...) tout en s'appuyant sur le discours (écrit ou oral) de l'interlocuteur, par exemple pour montrer la fausseté, totale ou par- tielle, des arguments qu'il emploie. La discussion, l’échange oral, la plaidoirie de l'avo- cat, le discours politique, le pamphlet, etc. sont des types de textes ou de discours argumentatifs. ee re + tie: Zz Les compléments circonstanciels eS Ces compléments expriment les circonstances de 4 l'action. Son En général, ils peuvent étre supprimés ou déplacés S dans la phrase (ce n‘est pas le cas des compleé- vat ments essentiels de lieu construits avec un verbe © de mouvement : exemple : il va d Paris). > Les compléments circonstanciels indiquent le lieu, oS le temps, la maniére, le moyen, le but, la cause... IIs 3 = peuvent étre de différentes nature oy catégories ic grammaticales : groupe nominal, adverbe, forme i en -ant, infinitif, pronom, subordonnée conjonc- i tive ou participiale. j S 1) dans lejardin lieu groupe nominal ‘am €é | . 2) toujours temps adverbe 3) en chantant maniere forme en -ant wu 4) pour réussir but préposition + and « di = infinitif S ce | 5)grdcedeux cause _préposition + a pronom 6) avecdebons moyen préposition + outils groupe nominal 7) pendantque temps subordonnée d'autres jouent conjonctive fe ah La coordination La coordination sert 4 relier deux propositions, deux groupes. On utilise soit des conjonctions de coordination (mais, donc, ou, car, ni, et, or), soit aes adverbes (ainsi, puis, cependant...). Les conjonctions de coordination ont une valeur logique : fh et (addition, plus rarement opposition), ni(méme valeur, mais dans les phrases negatives ou (disjonction, choix), donc (conséquence, conclusion), car (cause), mais (opposition), a, — or (opposition basée sur un element nouveau a3 A la différence de la subordination, la coordination relie des éléments de méme nature ou fonction = - La mise en relief Camme son nom l'indique, la mise en relief (ou forme emphatique) consiste 4 mettre en valeur, pour des raisons expressives, un élément de la phrase. Ainsi, dans la phrase Le comte arriva a Paris au petit matin, on peut choisir de mettre en valeur le sujet : Cest fecomte qui arriva.. ou les comple- ments circonstanciels : Cest au petit matin que... Cest a Paris que... ) th Je nom du personage Higu 2. Ce dialogue a ss Les présentatifs. Les plus utilisés sont les suivants : ~ Cest, ce sont, c'est... qui, ce sont... qui. (Ce fut ui qui s‘adressa...) ~ily a,ily avait... {ily avait une auberge...) ~ Voici, voila... (Voici un fort beau cheval.) D’autres sont plus littéraires, comme « i! est » (i est une riviére, coulant au fond des bois...) & tanarration Les différents types de narrateurs : - Le narrateur interne. C'est celui des textes a la premiére personne ; il peut étre le héros (narra- teur-personnage) ou bien un simple temoin, comme dans certains contes fantastiques. ~ Le narrateur externe, C'est celui des textes a la troisiéme personne ; il n‘intervient pas dans le récit, sinon par de bréves remarques (retournons ees er ee Oe PPh set ces Les différents « points de wue » : ~ Le point de vue « total ». C'est celui du narrateur § Seneatient aus Bait Aout sur ses Personnages "ac aang ; Die e personnage ne peut raconter que qu'il sait ou ce qu'il voit (voir textes 1,4, 16, 17); * dans les textes 4 la troisieme personne, _ quand une scéne, une personne, un paysage sont qe -décrits a travers le regard particulier d'un person- : ee ee {a jeune fille s L'ordre du récit Un auteur peut raconter une histoire en suivant fordre des événements ou en le modifiant : jl peut choisir de respecter ordre chronologique, i! peut aussi revenir en arriére (au cinéma on parle de flash-back) ou évoquer un événement futur (anti- cipation). Pour relater la journée malheureuse d'un collé- gien, l'auteur racontera le lever de l'éléve (E1), un voyage difficile sous la neige (€2), puis l'arrivée tardive au collége (E3). Pour rendre le récit plus intéressant, il a la possibi- lité de raconter immédiatement l'arrivée du collé- gien essoufflé et les conséquences de ce retard... |! racontera ensuite, pour expliquer ce retard, le diffi- cile voyage en car sous la neige. Ordre chronologique :Evénement 1 £2 £3 Ordre modifié (narratif) :Evénement 3 E2 £1 0 Les paroles rapportees Quand un narrateur rapporte, transcrit un « dis- cours », des paroles, par exemple un dialogue, i! peut les rapporter soit directement (de facon directe) soit indirectement (de facon indirecte). Paroles rapportées directement. Le narrateur transcrit les paroles telles qu’elles Seraient prononcées dans la réalite, Un tiret signa- le le changement d’interlocuteur et de courtes phrases, appelées incises, précisent qui parle, et comment il parle. - Partez donc ! cria-t-il dans un flot de larmes. Paroles rapportées indirectement. Style indirect : Les paroles rapportées sont précédées d'une pro- position qui précise qui parle, et comment. i ne lachait pas Denise... en lui disant qu'elle pouvart partir maintenant, qu'elle passerait un mois a Style indirect libre : i est identique au style indirect mais sans la prin- cipale introductive ; il est ainsi plus elégant. N'avait-elle pas trop souffert déja des commeérages de la maison ? pe es Ey et a er - 7 a _ = > ay Tran sformations : On vous demandera souvent de passer du style direct au Style indirect, ou l'inverse. I! faut faire attention au changement de temps et au jeu des pronoms. H lui demanda : « Reviendrez-vous demain ? » : ee UP lagi demande si elle reviendrait le lendemain. nN Les pronoms indéfinis ll existe plusieurs types de pronoms (voir 12). Les pronoms indéfinis peuvent étre variables : qucun(e) pas unfe), lun(el/les un(e)s, Pautre/les autres. cha- cun(e), fous, toutes... ; Ou invariables : tout, personne, nen, on, Nimporte qui/quoi, quelque chose... Le pronom on peut désigner un groupe déterminé (on est tous venus) ; une personne ou un groupe indéterminé (on m’a dit que.) ; quelqu’un que l'on ne veut pas nommer (on a fouillé dans mes affaires) Ou, Comme dans Le Horla, un étre fantastique. 42 Les pronoms Le plus souvent, les pronoms servent 4 représenter un nom, un adjectif, un infinitif, une proposition : Peureux, ne le suis, en effet. Coa Dans cette phrase, le pronom personnel le repre- sente l‘adjectif peureux ; le est ici attribut du sujet je. Les pronoms peuvent avoir la méme fonction que fe nom : sujet, attribut, COD, CO!, COS, comple ment circonstanciel.. Dans ii le lui donne, |! est le sujet, le est fe COD, lui est le COS. Voici les principales categories de pronoms : ~ les pronoms personnels : je tu, il, me, toi, lui... ~ les pronoms personnels reflechis : me, fe, sé... ~ les pronoms relatifs : qui, que, quoi, dont, 02, fequel... - les pronoms démeonstratifs : ce, ceci, cela... ~ les pronoms possessifs : le mien, le tien, le ndtre.... ~ les pronoms indéfinis : on, plusieurs, tout... (voir 11) ~ les pronoms interrogatifs : qui ?- que ? - quov ?... S te e , ao | Se sf a an vac e nat! a I : r b

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